Jean-Bernard Pouy. Didier Daeninckx. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Didier Daeninckx Didier Daeninckx à la Fête de l'Humanité en 2006. Œuvres principales Meurtres pour mémoire (1984)La mort n'oublie personne (1989)Histoire et Faux-Semblants (2007)Le chat de Tigali (1988)Cannibale (1998)Le Reflet (1994) Issu d'une famille modeste, Didier Daeninckx prend le parti d'orienter son œuvre vers une critique sociale et politique au travers de laquelle il aborde certains dossiers du moment (la politique des charters, le négationnisme, etc.) et d'autres d'un passé parfois oublié (le massacre des Algériens à Paris le ).
Un auteur reconnu[modifier | modifier le code] Didier Daeninckx (1/5) - Littérature. La violence a changé, le polar aussi, par François Côté. Souvent figé dans une structure narrative conventionnelle, le roman policier est aussi, parfois, une véritable chronique sociale révélatrice des mœurs cachées, des non-dit et de la violence d’une société.
A ce titre, il reflète un univers que « la loi et l’ordre » ne parviennent pas à délimiter et s’inscrit donc, de plain-pied, dans un registre politique. Depuis plusieurs années, une nouvelle génération d’auteurs français, dans un style direct et cru, a entrepris de dépoussiérer radicalement ce genre romanesque. Le néo-polar raconte la violence quotidienne - celle, sans aura, des petits délinquants, des loubards et des « dealers », - le racisme ordinaire, les bavures policières, les tentations terroristes... Il décrit, sans complaisance, quelques-uns des plus graves malaises de la civilisation actuelle. AU début des années 70, la fameuse « Série noire » de Gallimard coulait des jours tranquilles. Taille de l’article complet : 2 728 mots. Vous êtes abonné(e) ? Vous n'êtes pas abonné(e) ? Jean Laborde (journaliste) Jean Amila. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Jean Amila Œuvres principales Au balcon d’HiroshimaNous sommes tous des assassinsJusqu'à plus soifLe Boucher des Hurlus. Frédéric H. Fajardie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Frédéric H. Fajardie Œuvres principales Compléments Frédéric H. Biographie[modifier | modifier le code] Fajardie, grandit dans la librairie parisienne de son père où il lit de très nombreux romans et nouvelles. Il publie son premier roman noir Tueurs de flics, en , il s'agit d'une adaptation très libre de l'Orestie, un mythe de la Grèce antique.
À partir de 1986, il commence à publier des romans de facture plus classique, collection dite « blanche », mais continue son œuvre dans le roman noir. A. D. G. Noir comme polar : L'essentiel du polar. Le roman noir français Après avoir écrit des romans populaires sous différents pseudonymes (Frank Harding, Léo Latimer, Jean de Selneuves ou Lionel Doucet) Léo Malet cet ancien poète surréaliste, anarchiste et autodidacte publie sous son nom le premier roman noir français 120, rue de la gare (1943) et crée son héros récurrent Nestor Burma .
Essai transformé d'acclimatation de la figure du détective américain dans la France d'après-guerre. Il écrit aussi La vie est dégueulasse (1948), Le soleil n'est pas pour nous (1949) puis Sueur aux tripes (1969) formant ainsi sa trilogie noire.Il retrouve Burma en 1954 et entame les Nouveaux mystères de Paris en quinze volumes pour autant d'arrondissements de Paris (il manque toujours les VIIème, XIème, XVIIIème, XIXème et XXème que Malet trouve défigurés par les promoteurs).Egalement a explorer : son Journal secret (1997). C'est dans la droite lignée d'Irish que l'on trouve le Frédéric Dard d'avant San Antonio. Francis Ryck. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Francis Ryck Œuvres principales Drôle de pistoletHeures Ouvrables Francis Ryck, de son vrai nom Yves Delville, né le à Paris et décédé le à Paris, est un écrivain français, auteur de romans policiers et d'espionnage. Il a également utilisé les noms de plume d'Yves Dierick[1] et de Edo Ryck[2]. Biographie[modifier | modifier le code] Léo Malet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Malet. Léo Malet Œuvres principales Il a écrit sous différents pseudonymes : Frank Harding, Léo Latimer, Lionel Doucet, Jean de Selneuves, Noël Letam, Omer Refreger, Louis Refreger et, en association avec les écrivains Serge Arcouët et Pierre Ayraud sous le pseudonyme collectif de John-Silver Lee. Biographie[modifier | modifier le code] À son arrivée à Paris en 1925, il fréquente les milieux anarchistes[1], dont le foyer végétalien de la rue de Tolbiac qu'il décrivit plus tard dans plusieurs romans. Lié au groupe surréaliste de 1930 à 1949, il écrit de la poésie. C'est en 1942 que Léo Malet se lance dans le roman policier avec 120, rue de la Gare, mettant en scène son célèbre détective Nestor Burma.
Jean Patrick Manchette.