N'Guyen Lê « Dark Side Nine » magique aux Jazzitudes en Pays d'Auge. Photographie Alain Lambert.
Lisieux, le 21 août 2016, par Alain Lambert —— Fin 1972, nous avions loué un car, toute une bande de lycéens de Cherbourg, pour aller au concert de Pink Floyd le 3 décembre au parc des expos de Caen, où le groupe, avec ses anciens morceaux, présentait son nouvel opus, qui ne sortirait que l'année suivante, et qui nous avait un peu surpris, et bien plu, malgré le changement de cap. En 2013, c'est au Havre, au Volcan maritime, qu'on pouvait apprécier La Compagnie Inouïe dans sa réinterprétation de La Face Cachée de la Lune [voir notre chronique]. En 2014, N'Guyen Lê recréait à son tour l'album mythique chez ACT avec Youn Sun Nah et le big band de la NDR [voir notre chronique], l'adaptant ensuite pour neuf musiciens pour la scène.
Dimanche 21 août 2016, le « Dark Side Nine » est à Lisieux dans le cadre de la 17e édition du stage Jazzitudes, avec une centaine de stagiaires, régionaux et nationaux, comme la quinzaine de professeurs. Théâtre de Lisieux. Nguyên Lê le magicien nous révèle la face cachée de la lune… - Jazz sous les pommiers. (Stéphane Barthod le 06/05/2016) « Celebrating The Dark Side of the Moon », c’est le projet des superlatifs : la reprise d’un album mythique, des arrangements qui réinventent les compositions originales… Après avoir été créé avec le NDR Big Band, c’est en nonet qu’il tourne désormais, et il y avait là encore un challenge à retranscrire la musique pour cette formation.
Nguyên Lê © Stéphane Barthod Pour l’occasion, Nguyên Lê s’est offert un casting à la hauteur de ses ambitions, avec Sylvain Gontard à la trompette, Daniel Zimmerman au trombone, Stéphane Guillaume et Céline Bonacina – la princesse de Normandie, comme la présente le guitariste – aux saxophones, Illya Amar au vibraphone, Romain Labaye à la basse et Nicolas Viccaro à la batterie. À la voix, après Youn Sun Nah et Himiko Paganotti, c’est Leila Martial qui reprend le flambeau. Céline Bonacina © Stéphane Barthod Une des difficultés de cette reprise est d’allier sophistication des arrangements et énergie rock. > Lire. Musique et soirées Grenoble : The Dark Side Nine, vendredi 5 février à 20h à l'Hexagone (Meylan) - Nguyên Lê, côté obscur de la Lune - article publié par Stéphane Duchêne. The Dark Side Nine, vendredi 5 février à 20h à l'Hexagone (Meylan) Le musicien et compositeur de jazz français d'origine vietnamienne s'attaque au mythique album des Pink Floyd "The Dark Side of the Moon".
Le résultat, barré, sera à découvrir vendredi sur scène. On le sait, et c'est désormais devenu, sans mauvais jeu de mots, une vieille lune musicale : l'album The Dark Side of the Moon, considéré comme le pinacle (et aussi le chant du cygne, mais c'est un autre débat) du groupe Pink Floyd, est sans doute l'album préféré des testeurs de chaîne hi-fi. Ce, du fait d'une richesse en matière de production, signée Alan Parsons, qui permet d'éprouver toutes les possibilités d'un bon matos – sa pochette pourrait également servir à régler les contrastes d'un téléviseur. Mais Dark Side, qu'on l'aime ou le déteste, est aussi et surtout l'un des albums les plus cités de l'Histoire du rock. Stéphane Duchêne The Dark Side Nine, vendredi 5 février à 20h à l'Hexagone (Meylan) Vous aimez cet article ?
THE DARK SIDE NINE - CultureJazz.fr. Ils entrent en quintet, Nguyên Lê à la guitare, Gergo BORLAI à la batterie, Romain LABAYE à la basse électrique, Illya AMAR au vibraphone et électronique et Himiko PAGANOTTI au chant.
Une pulsation cardiaque s’installe suivie de la voix triturée de Paganotti avec les premiers sons à la guitare. Tout ça est très électro. Vade retro les luddites !!! Nguyên Lê célèbre« Dark Side of the Moon » Il nous avait bluffés avec «Songs of Freedom» où il reprenait Led Zep, Clapton, les Beatles, Janis Joplin, dans des versions d’une originalité confondante.
Cette fois, c’est à un album mythique de Pink Floyd que le guitariste franco-vietnamien s’attaque: le NDR Big Band et des arrangements de Michael Gibbs, tout comme la voix de Youn Sun Nah illuminent ce «Celebrating The Dark Side of The Moon», et il s’agit bien de célébration plus que de «cover». Imprégné de cultures multiples – musique traditionnelle vietnamienne, jazz, rock – Nguyën Lê insuffle trente années plus tard une nouvelle force à ce chef-d’œuvre, sa sonorité de guitare explorant les rives de Jimi Hendrix. L'INTERVIEW #2 de Nguyên Lê "Celebrating Dark Side Of The Moon" par Gilbert d'Alto. The luminous side of Pink Floyd par Nguyên Lê @ Jazz magazine. Ce soir, 5 février, le New Morning faisait le plein autour de Nguyên Lê “celebrating the Dark Side of the Moon” d’après le célèbre album de Pink Floyd.
New Morning, Paris (75), le 5 février 2015. Nguyên Lê (guitare électrique, électronique et séquences, arrangements), Himiko Paganotti (voix), Sylvain Gontard (bugle), Georgi Kornazov (trombone), Stéphane Guillaume (flûte, saxes soprano et ténor), Céline Bonacina (saxes baryton et alto), Illya Amar (vibraphone, machine), Romain Labaye (guitare basse), Gergo Borlai (batterie). La semaine dernière, je me faisais appeler Arthur, ou plutôt Gontran, pour avoir avoué que je n’avais jamais vu aucun des films dont Fred Pallem faisait jouer les musique à son Sacre du tympan (ne pas connaître Rabbi Jacob ! Heureusement qu’en plus je n’ai pas avoué que j’étais homosexuel !) Et je n’ai pas été déçu. Et Pink Floyd ? Demain soir, j’irai à l’Atelier du Plateau entendre le projet du bassiste Ronan Gilfoye autour de James Joyce. Le guitariste Nguyên Lê recrée "Dark side of the Moon" de Pink Floyd @ Culture box. Brillant guitariste et compositeur, Nguyên Lê, né à Paris le 14 janvier 1959, aime ponctuer sa carrière d'hommages aux grandes œuvres des autres : Jimi Hendrix ("Purple", 2002), les classiques rock et soul ("Songs of Freedom", 2011) mais aussi les musiques du pays de ses parents ("Tales from Viêt-Nam", 1996).
Dans son dernier disque, le musicien se penche sur le légendaire concept-album de Pink Floyd. ***** @ La Voix du Nord. Nguyên Lê « Celebrating the Dark Side of the Moon » de l'émission Jazz Club. Lê 9574 Jazz News FR 2015 01 00. Nguyên Lê : une ode lumineuse à la face sombre de la lune. Nguyên Lê, Celebrating The Dark Side Of The Moon with Michael Gibbs et NDR.
Bigband, ACT 2014 (ACT 9574-2). Nguyên Lê (guitare électrique, électronique), Youn Sun Nah (voix), Gary Husband (batterie), Jürgen Attig (basse électrique), NDR Bigband (Jörg Achim Keller, direction). Enregistré au NDR Bigband studio du 2 au 6 décembre 2013 à Hamburg. 30 novembre 2014, par Alain Lambert —— Pink Floyd, le jazz, et les big bands ? D'autant que Nick Mason, le batteur du Floyd a donné son aval. D'autant que le Floyd a lui aussi eu recours aux cuivres de Ron Geesin dans Atom Hearth Mother en 1970... Bref, tout est réuni, sans oublier Youn Sun Nah au chant, Gary Husband à la batterie et Jürgen Attig à la basse fretless, pour réinventer cet album mythique de 1973, dont on a entendu déjà plusieurs évocations par la Compagnie Inouïe [voir notre chronique] ou Dream Theater par exemple. Et le tout fonctionne à merveille. Alain Lambert30 novembre 2014 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8.
Jazzmag Choc. Celebrating The Dark Side Of Te Moon @ Jazz News - Top du Mois. Nguyên Lê et la face cachée des Pink Floyd @ Open jazz / France Musique. The Dark Side of the Moon revisité par Nguyên Lê @ RTL. Passe à Table Jazz mag. Du rock dans le jazz @ France Info. Le guitariste Nguyên Lê propose une relecture d'un album culte "The dark side of the moon".
Il fallait oser s’attaquer à un tel monument de l’histoire du rock Il est vrai que Nguyên Lê n’en est pas à son coup d’essai : il a rendu un hommage à Jimi Hendrix dans un disque paru en 2002 et il évoquait les grandes heures du rock dans son précédent opus Songs of freedom. Mais Nguyên Lê ne voulait pas s’en tenir à une simple réinterprétation du répertoire du célèbre album des Pink Floyd.
Nguyên Lê – CD : « Celebrating The Dark Side Of The Moon » @ Mac & Guitare. CD Disponible ici A l’origine ce CD n’était qu’un vague projet au sein du label ACT qui demanda à Nguyen Lê de participer… Nguyen, emballé par ce projet, proposa de faire les arrangements, avec à ses cotés Michael Gibbs, le Big Band de la NDR, et la délicate participation de la chanteuse Youn Sun Nah qui, une fois de plus, donne le meilleur d’elle-même sur 3 titres de cet album.
Vous pourrez retrouver l’interview de Nguyen Lê dans mon émission vers la 52 ème minute : En 2011 déjà, on avait eu une délicieuse surprise avec son album «Songs Of Freedom », reprises de titres Pop-Rock totalement hallucinants qui démontraient une fois de plus tout le génie de cet artiste, car Nguyen Lê n’excelle pas seulement à la guitare mais également sur les arrangements et la production. Ngyyên Lê – site Web Thierry DocMac W3 blues & Jazz Radio. Celebrating The Dark Side Of The Moon @ DJAM. Celebrating The Dark Side Of The Moon @ Qobuz. 24 11 14 MDL CATALAN ML 38 R1. Nguyen Le Celebrating The Dark Side Of The Moon @ All About Jazz.
It's a bold concept; take Pink Floyd's iconic Dark Side of the Moon (Harvest, 1973) and reinterpret it in a big band jazz setting. With upwards of forty million copies sold, every note, every nuance of Floyd's eighth album is so firmly entrenched in the minds of the band's legion devotees that to tamper with the work in any way is to leave oneself open to facile criticism.
French-Vietnamese guitarist Nguyên Lê, however, is nothing if not adventurous. Lê has already demonstrated on Purple: Celebrating Jimi Hendrix (ACT Music, 2007) and Songs of Freedom (ACT Music, 2012)—his tribute to classic pop and rock songs of the 1960s and 1970s—that he can breathe new life into old material without being overly reverential.
Celebrating the Dark Side Of The Moon @ Jazz Camera. All reviews by John Watson. Nguyên Lê’s The Dark Side of the Moon @ Marlbank. Nguyên Lê with Michael Gibbs & NDR Bigband, Nguyên Lê celebrating The Dark Side Of The Moon, review: 'intriguing' A jazz arrangement of Pink Floyd’s Dark Side of the Moon – it seems a completely mad idea, as perverse as turning Dante’s Comedy into a ballet on ice. What makes it so unlikely is that Pink Floyd’s album is wonderful mostly because of its sound. True, there are some interesting harmonic turns here and there. I particularly like the suave chord sequence that leads back into the tune of Breathe. And there are one or two tunes you can actually sing along to, like Money.
But that’s not why this album has sold more than 40 million copies. Strip that sound-world away, as this arrangement does, and one’s first impression is that the mystery has been stripped away too. Celebrating The Dark Side Of The Moon @ ACT Music. March, 1973... A quartet known for its psychedelic inclinations delivered a fortress of an album: The Dark Side of The Moon was a musical UFO featuring the most advanced technology of the period, a stratospheric record which mirrored society and our errant human ways. Pink Floyd was about to write an essential chapter in rock history and enjoy planetary fame; even today, their album is still one of the greatest sellers of all time.The idea behind a new reading of it came from ACT-director Siggi Loch and NDR producers Stefan Gerdes and Axel Dürr, whose radio Big Band is no secret for jazz fans. Their idea may have been a bold initiative, but the project implied an orchestra capable of linking tradition with today, and it looked to have every chance of succeeding because it would involve not only Michael Gibbs – composer, arranger, old f...
‘celebrating The Dark Side Of The Moon @ AP Reviews. Nguyên Lê, Celebrating The dark side of the moon - Disco cover de 2014 - Toques Toques.