DAGR de Daremberg et Saglio (CIRCUS) Les fêtes romaines. Les Romains ont déployé, dans l'organisation de leurs fêtes, leur esprit précis et formaliste, qui contraste profondément avec la libre initiative et la variété de l'esprit hellénique.
Leur premier soin est de classer les fêtes selon leur qualification. Nous en avons déjà dit quelque chose dans les articles Calendrier et Fastes. Ils distinguent en premier lieu les jours de fête (festi) des jours où l'on peut vaquer à ses affaires (profesti), classant à part ceux qui sont à demi fériés (endotercisi). Le jour de fête est caractérisé par le chômage des affaires publiques, spécialement de la justice, le repos accordé aux non-libres et imposé aux libres, les prêtres ne devant même pas voir un homme travailler; de plus, en ces jours, avaient lieu des sacrifices, des banquets. En somme, les cérémonies religieuses et le chômage sont les deux traits typiques. Ces jeux étaient associés à certaines des fêtes romaines que nous allons maintenant passer en revue. Funérailles). Jeux du cirque. Dans l'Antiquité, compétitions sportives ou dramatiques, de caractère liturgique à l'origine, et qui se déroulaient en présence de la foule.
Les origines Très populaires en Grèce, les jeux publics, auxquels prenaient part des représentants des cités, étaient à l'origine des concours athlétiques (lutte, course, pugilat, disque, courses de chars, etc.), auxquels s'ajoutèrent plus tard des concours musicaux et poétiques. Les plus célèbres étaient les grands jeux d'Olympie, de Delphes, de Némée, de l'Isthme. Ils avaient toujours lieu en l'honneur d'un dieu. Pour en savoir plus, voir l'article jeux olympiques de la Grèce antique. Les jeux du Cirque. Selon la mythologie romaine , les jeux du cirque furent institués par Romulus lorsqu'il voulut attirer à Rome les Sabines, afin de procurer des épouses à ses compagnons.
Comme ils furent d'abord célébrés en l'honneur du dieu Consus ou Neptune équestre, on les nomma Ludi Consuales. Circus Maximus. Circus Factions. Circus Maximus. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Tour, à l'extrémité est du Circus Maximus Les derniers restes, au sud-est de l'édifice Circus Maximus signifie en latin : « le plus grand cirque ». Selon Pline, il pouvait accueillir environ 250 000 spectateurs[1], et plus encore dans ses dimensions maximales, atteintes au IVe siècle, où les catalogues des Romains citent le chiffre de 385 000 spectateurs[1], ce qui en fait de loin le plus grand édifice de spectacles sportifs de l'Histoire. Il a été plusieurs fois rebâti et élargi après avoir été ravagé par des incendies, notamment celui de 64 sous l'empereur Néron. Histoire[modifier | modifier le code] Sous le règne de Tarquin l'Ancien, vers le VIe siècle av. En 46 av. En 1587, l'obélisque de Constance II est dégagé. Aujourd'hui[modifier | modifier le code] Le Circus maximus reste à ce jour la plus vaste enceinte sportive que le monde ait connue. Architecture[modifier | modifier le code] Obélisques[modifier | modifier le code] Circus Maximus. Events and uses[edit] The Circus was Rome's largest venue for ludi, public games connected to Roman religious festivals.
Ludi were sponsored by leading Romans or the Roman state for the benefit of the Roman people (populus Romanus) and gods. Most were held annually or at annual intervals on the Roman calendar. Others might be given to fulfill a religious vow, such as the games in celebration of a triumph. The earliest known triumphal ludi at the Circus were vowed by Tarquin the Proud to Jupiter in the late Regal era for his victory over Pometia.[2] Ludi ranged in duration and scope from one-day or even half-day events to spectacular multi-venue celebrations held over several days, with religious ceremonies and public feasts, horse and chariot racing, athletics, plays and recitals, beast-hunts and gladiator contests.
Circus-Maximus-Model.jpg (JPEG Image, 815 × 541 pixels) Le Grand Cirque, Circus Maximus. Les courses de char dans l'antiquité romaine. Par André Thévenet Tiré de Historama N°304, mars 1977 Les passions populaires soulevées par les exploits européens des footballeurs de Saint-Étienne les Verts, et par le renouveau de l'équipe de France les Bleus engagés dans la course à la qualification pour la Coupe du Monde soulèvent parfois les critiques des esprits chagrins.
Ces personnes ignorent sans doute qu'aucune société ne peut se passer de fêtes au sein desquelles communie tout un peuple. Les grandes manifestations sportives sont les dernières fêtes d'un Occident gagné par la morosité. Mais jadis il n'en allait pas autrement et, pour certaines civilisations de l'Antiquité l'organisation des loisirs, des jeux et des fêtes était une des premières tâches des gouvernants. Char romain. Le cirque est l'image du ciel. Les jeux du Cirque : courses de chevaux.. Chez les anciens Romains, les cirques étaient de vastes pistes sablées destinées aux jeux publics, surtout aux courses de chevaux et de chars.
On les a utilisés aussi, dans la Rome impériale , pour d'autres exercices que les courses de chars. Il y avait par exemple des exercices de voltige à cheval faits par des cavaliers qui portaient le nom spécial de desultores, « sauteurs ». Ils faisaient tous les tours de force et d'adresse que nous voyons faire aux écuyers de nos cirques. La figure ci-dessous, empruntée à une mosaïque découverte dans les caves du palais Farnèse à Rome. Pompa circensis. The presiding magistrate at the pompa circensis[1] rode in a two-horse chariot; behind him are the young nobiles who led the parade on horseback (4th-century opus sectile from the Basilica of Junius Bassus) Description[edit] The most detailed description of the pompa circensis during the Republican era is given by Dionysius of Halicarnassus, based on eyewitness observation and the historian Fabius Pictor,[2] who says he is describing the original Ludi Romani; Fabius may, however, have been more influenced by what he saw in the pompa of the Saecular Games in 249 BC.
The procession was led by boys of the nobility (nobiles) riding on horseback, followed by boys on foot who were future infantrymen. Next came the charioteers and athletes who would compete in the games.[3] Plan_Rome_Caen_Circus_Maximus_Colisée.jpg (JPEG Image, 2816 × 2112 pixels) - Scaled (36%) Cirque sous César. Cirques de Rome. Dans l'ancienne Rome seule il y avait une douzaine de cirques; les plus importants étaient le Circus Maximus; le Circus Flaminius, construit au Champ de Mars en 220 av.
J. -C. par le censeur C. Flaminius; il avait donné son nom à la IXe région de la ville, qui comprenait la majeure partie du Champ de Mars; le Circus Vaticanus, bâti dans les jardins de la première Agrippine et plus tard agrandi par Néron, sur la rive droite du Tibre, là où est la sacristie de Saint-Pierre ; l'obélisque qui forme aujourd'hui le centre de la décoration de la place de Saint-Pierre provient de ce cirque; le Circus Romuli, ainsi appelé de Romulus, fils de Maxence, le dernier eu date des édifices de ce genre à Rome, bâti en 310 ou 311, et dont les ruines très bien conservées se voient sur la gauche de la voie Appienne, tout près de Rome, un peu avant le tombeau de Coecilia Metella.
Et l'Aventin.
Les courses de chars à l'antiquité by benoit noctali on Prezi. Les métiers du cirque, de Rome à Byzance. Www.uni-regensburg.de inscriptions CIL.