Mosaïque des Jeux du cirque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Histoire d'une découverte[modifier | modifier le code] Cette mosaïque est également connue sous le nom de mosaïque « Macors », du nom de Paul Macors, propriétaire du clos[1] sur lequel ont été découvertes les mosaïques dans le quartier d’Ainay entre 1806 et 1809. Selon les chroniqueurs de l’époque, elle aurait été découverte à trois endroits différents mais proches : soit à l'angle sud-est des rues Victor-Hugo et Jarente[2], soit 24 rue Jarente[3] ou bien encore 39 rue Victor-Hugo[4].
Sur le lot VI, la mosaïque dite « du cirque » est mise au jour le 18 février 1806 par des ouvriers qui creusent un réservoir. Enfouie sous un mètre de terre végétale[5], elle ne présente aucun indice de ruine. Du 5 au 20 juin 1806, les Lyonnais et autres curieux peuvent visiter la mosaïque moyennant une participation qui payera l’effort des ouvriers. Le terrain de M. On se demande encore aujourd’hui ce qui a autant retardé le déplacement de la mosaïque. F. Revue Archéologique, Cirque de Carthage.
Amphithéâtre et cirque romains de Barcelone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'amphithéâtre romain de Barcino est un amphithéâtre romain, actuellement invisible, situé à Barcelone, en Espagne. On suppose aussi qu'un cirque romain a existé dans un autre quartier de la ville. Hypothèse[modifier | modifier le code] De plus, sous l'église on a trouvé une couche de sable sur laquelle existait un cimetière plus récent, entre les IVe et VIIe siècles[3]. L'église précédant l'actuelle s'appelait, d'ailleurs, d'une façon très significative Sancta Maria Arenae ("Sainte-Marie-des-Arènes"), un nom habituel pour les églises commémoratives construites à l'intérieur de quelques amphithéâtres[4]. Au bout, la rue Argenteria se trouverait, la preuve la plus évidente de l'existence d'une via romaine menant de la porta principalis sinistra des murailles romaines (actuellement place de l'Ange) aux portes de cet amphithéâtre.
Controverse[modifier | modifier le code] Quelques autres amphithéâtres romains[modifier | modifier le code] Cirque de Tarragone. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le cirque de Tarragone est un cirque romain construit à la fin du Ier siècle [1] , sous le règne de Domitien, dans la ville de Tarraco, l'actuelle Tarragone, capitale de la province romaine Hispania Citerior Tarraconensis en Espagne. C'était l'édifice où se déroulaient les courses de chevaux et de chars. Il était situé entre la Via Augusta et le forum de la province. Sa forme était allongée et mesurait 325 mètres de longueur et 115 mètres de largeur[1], pour une capacité d'environ 24 000 spectateurs[2]. Il présente la particularité d'avoir été édifié à l'intérieur de la ville, fait qui lui donne par conséquent des caractéristiques architecturales très particulières. Le cirque de Tarragone est l'un des éléments de l'« ensemble archéologique de Tarragone », inscrit sur la liste du patrimoine mondial par l'UNESCO, sous l'identification 875-004.
Restes archéologiques du cirque : les gradinsRestes archéologiques du cirque : la piste. Musées gallo-romains. Cinq siècles de découvertes Dès le XVIe siècle, les érudits lyonnais se passionnent pour les ruines, les inscriptions et les objets, statues, monnaies, céramiques… dont ils constituent les premières collections.
Au début des années 1980, Lyon sera une ville pionnière en matière de protection du patrimoine, avec la mise en place systématique des fouilles préventives, préalables aux grands travaux urbainsEnrichies par près de cinq siècles de découvertes, les collections du Musée abordent tous les chapitres de la vie publique et privée d’une capitale de l’Empire. > La plus grande ville de la Gaule Dans l’Antiquité, Lugdunum n’avait pas le rang de capitale de la Gaule : au sens administratif, elle n’était que la capitale de la province de Lyonnaise.
Mais c’était la plus grande ville de la Gaule, métropole économique et religieuse. Fondée sur la colline de Fourvière en 43 avant J. > Hommes et Dieux Sacrifice à CybèleCet autel commémore un sacrifice offert à la déesse Cybèle, en 160 après J.