Chine: texte intégral de la Loi anti-sécession. Voici le texte intégral de la Loi anti-sécession adoptée le 14 mars 2005 à Beijing lors de la 3e session de la 10e Assemblée populaire nationale: Loi anti-sécession Article 1.
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La loi antisécession est une loi de la République populaire de Chine, adoptée le par le parlement de la République populaire de Chine pour pallier la possible déclaration d'indépendance de Taïwan. Elle va dans le sens de la politique d'une seule Chine. Elle fut votée à 2 896 voix pour et 2 abstentions. Introduction[modifier | modifier le code]
Taiwan dénoncela loi anti-sécession - 10 mars 2005. Taïwan a qualifié mardi 8 mars le projet de loi anti-sécession, qui doit être adopté par le Parlement chinois, de "chèque en blanc" à l'armée dans sa volonté d'"annexer Taïwan par la force".
Manifestation géante à Taïwan contre la loi chinoise anti-sécession. Le président Chen Shui-bian et des centaines de milliers de Taïwanais ont protesté, samedi 26 mars dans les rues de Taïpeh, contre une loi chinoise autorisant l'usage de la force pour empêcher l'île de déclarer son indépendance.
La manifestation a commencé en début d'après-midi dans une dizaine de rues de la capitale, symbolisant les dix clauses de la loi adoptée la semaine dernière par les députés chinois et dont l'article 8 légitime une intervention armée si Taïwan s'acheminait vers une séparation formelle. Elle devait culminer par un rassemblement devant les bureaux de la présidence avec des lâchers de ballons, de colombes et des chants marquant le désir de paix des Taïwanais, ont expliqué les organisateurs. Dénonçant le nombre équivalent de missiles chinois pointés sur Taïwan, des autocollants antiguerre ont également été fixés sur 706 petits enfants. Samedi, 30 000 policiers ont été mobilisés pour éviter tout dérapage et violence.
La Loi anti-sécession. La Chine a adopté le 14 mars 2005, une loi dite « anti-sécession ».
Cette loi a été adopté afin de contrer les idées indépendantistes du gouvernement taiwanais et de permettre la réunification de la Chine et l’île de Taiwan. La République de Chine (RDC) est la première république démocratique d’Asie. Elle a été fondée le 1er janvier 1912, après une révolution ayant entraîné la chute de la dernière dynastie impériale des Ching, mais fut plongée dans une guerre civile et menacée par l’empiètement étranger durant ses premières 35 années.
Au lendemain de la IIe guerre mondiale, son Assemblée constituante a adopté en 1946 une constitution. Loi antisécession chinoise : appels des Etats-Unis et de l'UE à la modération. La Maison Blanche a jugé lundi 14 mars "regrettable" l'adoption par le Parlement chinois d'une loi antisécession visant Taïwan, affirmant qu'elle risquait de remettre en cause la stabilité dans la région.
Cette loi prévoit en effet le recours à la force si Taïwan déclarait son indépendance. "Nous considérons l'adoption de la loi antisécession comme regrettable. Cela ne sert pas la cause de la paix et de la stabilité dans le détroit de Taïwan", a déclaré le porte-parole de la présidence américaine, Scott McClellan. "Nous nous opposons à tout changement unilatéral du statu quo. Nous ne voulons pas d'initiatives unilatérales qui pourraient accroître les tensions dans la région", a-t-il ajouté. Réactions UE, USA. L'UE prudente après l'adoption de la loi chinoise "antisécession" AFP | 14.03.05 | 17h40 L'Union européenne a accueilli avec une prudence embarrassée lundi l'adoption par la Chine d'une loi "antisécession" ciblant Taïwan, qui arrive à un moment délicat pour les 25 alors que ceux-ci planchent sur une levée de leur embargo sur les ventes d'armes à Pékin.
La présidence luxembourgeoise de l'UE n'avait toujours pas réagi officiellement à la nouvelle en milieu d'après-midi, alors que des concertations étaient en cours entre les capitales de l'Union. Principale avocate de la levée de l'embargo, la France s'est efforcée de déconnecter les deux dossiers, tout comme la Commission européenne qui a souligné que les Européens n'avaient "aucunement l'intention" de modifier l'équilibre stratégique en Asie.
Tout en défendant la même ligne, des diplomates en poste à Bruxelles ne masquaient pas en coulisses un relatif embarras. La communauté internationale apprécie la Loi anti-sécession. Loi anti-sécession : un pied de nez aux Etats-Unis - Informations et actualité Chine - QuestionChine.net. [16 mars 2005] • François Danjou Les débats sur la nouvelle loi, longuement commentée à l’Assemblée nationale Populaire (ANP) à Pékin, semblent passer à côté de l’essentiel.
Certains y voient une menace directe à la paix et aux intérêts américains (Pacific Forum). D’autres considèrent qu’elle a incité Washington et Tokyo à inclure explicitement Taiwan dans leurs préoccupations de sécurité. Les Chinois affirment sérieusement (et tentent d’en convaincre les autres) qu’elle est une garantie supplémentaire de paix puisqu’elle fixe "légalement" les limites des dérives taiwanaises et, renforçant la dissuasion contre les menées indépendantistes, elle stabilise le détroit. Les Taiwanais on réagi très vivement et se disent choqués. Cafés Thucydide. Intervenant : Barthélémy Courmont, docteur en Sciences politiques, est chercheur à l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), où il travaille sur les États-Unis, les questions nucléaires et les nouvelles menaces.
Parmi ses publications récentes : L’Asie orientale face aux périls des nationalismes (Lignes de Repères, 2006). Hiroshima et la bombe atomique (Caen, Éditions du mémorial, 2005). Terrorisme et contre-terrorisme : l’incompréhension fatale (Paris, Cherche midi, 2003). L’ère des conflits asymétriques (Paris, PUF, 2003). Les guerres asymétriques : conflits d’hier et d’aujourd’hui, terrorisme et nouvelles menaces (avec Darko Ribnikar, Paris, PUF, 2002).
Présentation : En 1949, la République populaire de Chine est fondée par Mao Zedong et fait ainsi basculer une majeure partie de l’Asie dans le camp communiste. Sources Marie-Claire Bergère, La Chine de 1949 à nos jours, Armand Colin, Collection U, Paris, 2000 (3ème édition). Lettre de la délégation chinoise à l'ONU précisant sa position face à Taiwan. Page d’accueil Ministère Politiques et Activitéss Lettre adressée au Secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan et remise à Mme Louise Fléchette, Vice-Secrétaire générale des Nations Unies par M.
Wang Guangya, Représentant permanent de la Chine auprès des Nations Unies N e w Y o r k Son Excellence Monsieur Kofi Annan Secrétaire général des Nations Unies Excellence, Je tiens à mentionner les lettres A/60/192 et A/60/193 qui vous ont été adressées récemment par le Tchad et un nombre infime de pays et, d’ordre de mon gouvernement, à vous exposer solennellement ci-après notre position : 1. Hu Jintao: La position de la Chine contre l'"indépendance de Taiwan" ne changera jamais.
Le président chinois Hu Jintao a déclaré dimanche à Beijing que le gouvernement chinois ne changera jamais sa position contre l'"indépendance de Taiwan", et souhaite que les Etats-Unis traitent la question de Taiwan de manière appropriée afin de soutenir le développement pacifique des relations entre les deux rives du détroit de Taiwan. "Quoi qu'il puisse arriver concernant les relations entre les deux rives, notre adhésion au principe d'une seule Chine et notre opposition aux activités sécessionnistes de 'l'indépendance de Taiwan' ne changeront jamais, et ne peuvent pas être changées", a déclaré Hu à son homologue américain George W.
Bush à Beijing. Chine : plus de vigilance face à l'idée de "l'indépendance de Taiwan" Le porte-parole du bureau des affaires de Taiwan du Conseil des Affaires d'Etat Ma Xiaoguang a mis en garde les populations originaires des deux rives du détroit de Taiwan, face au danger que représente l'expression de points de vue historiques prônant "l'indépendance de Taiwan". "Les forces sécessionnistes, à travers le slogan "Indépendance pour Taiwan", cherchent à nier les réalisations de la nation chinoise au cours de la guerre contre le Japon et effacer les contributions de compatriotes de Taiwan dans la lutte contre le pouvoir colonial japonais et la victoire face aux agressions japonaises", a déclaré M.
Ma, lors d'une conférence de presse. Les sécessionnistes cherchent également à semer la discorde parmi les compatriotes entre les deux rives du détroit de Taiwan, et saboter le développement pacifique des liens de part et d'autre , a ajouté M. Ma. Déclaration du porte-parole du Ministère des Affaires étrangères Hong Lei au sujet des élections à Taiwan. Taiwan Relations Act. The Taiwan Relations Act (TRA; Pub.L. 96–8, 93 Stat. 14, enacted April 10, 1979; H.R. 2479) is an act of the United States Congress. Since the recognition of the People's Republic of China, the Act has defined the non-diplomatic relations between the people of United States and the people on Taiwan. Background[edit] At The Third Plenum in 1978, Deng Xiaoping became the paramount leader of the People's Republic of China (PRC), definitively ending Maoist rule and beginning the reform era of Chinese history. During his speech at the plenum, he outlined a new Chinese foreign policy, whereby the Soviet Union - not the United States, as in the past - was identified as the main national security threat to China.
The Act was passed by the United States Congress and signed by President Jimmy Carter in 1979 after the establishment of diplomatic relations with the PRC and the breaking of relations between the United States and Taiwan. Provisions[edit] Definition of Taiwan[edit] [edit] Admission de la République populaire de Chine par l'Organisation des Nations unies. Léon Trivière, «Pékin à L'O.N.U., Taipei exclu» «...Assumant le leadership du tiers-monde, il est probable que la Chine infléchira notablement les relations des divers pays ou groupes de pays, y compris leurs rapports au sein de l'O.N.U. (...)
Les hégémonies «verticales» (États-Unis, U.R.S.S., Grande-Bretagne, France) sont contestées. Les pays en voie de développement multiplient leurs «contacts horizontaux»; ils font preuve d'une plus grande solidarité et tendent à pratiquer une diplomatie non engagée.