Le Nom des Gens - Extrait exclusif ! Avis sur le film Réalité (2015) - No reason par Adrien Beltoise. Il faut que vous sachiez une chose : j'ai un problème avec Quentin Dupieux.
D'une, je pense que c'est un gars qui a un melon de la taille d'une montgolfière et je déteste les gens qui prennent de haut à quelque niveau que ce soit. D'autant plus quand, depuis 4 ans, leur art est d'une vacuité confondante. De deux, il est suivi aveuglement (c'est un artiste décalé m'voyez...) par une communauté qui me hérisse les poils du cul par son auto-revendication iconoclaste, marginale et hautaine. Back to work! #MasterofNone. "A l'origine" : la rédemption passe par l'autoroute.
L'art et l'hommage. Critique de Testament de Vickie Gendreau - Artichaut magazine. Certains disent que Vickie Gendreau est une étoile filante de la littérature québécoise, tout comme la poète Marie Uguay.
Les deux écrivaines ont à peine eu le temps de laisser leur trace dans le milieu littéraire avant d’être brutalement arrachées à la vie par un cancer du cerveau: Uguay en 1981 et Gendreau, tout récemment. Rendre hommage à la jeune écrivaine disparue en juin 2013 est l’une des motivations qui a poussé le metteur en scène Éric Jean à adapter le premier roman de Gendreau, Testament, au théâtre. C!RCA à la Tohu - Des tableaux vivants faits de chair et d'os. C!
RCA De la troupe australienne C! RCA. À la Tohu du 15 au 25 février. Ballet des corps qui s'entrechoquent, chorégraphie explosive, épreuve de force et fragilité assumée: la troupe C! RCA fait la preuve par trois que l'art de la piste peut être retourné en tous sens, surtout quand des électrons libres venus d'Australie y insufflent leur ADN enflammé. Sur le plateau nu de la Tohu, léché de lumière blanche, les artistes de C!
La troupe de Brisbane dirigée par Yaron Lifschitz flirte une fois de plus avec les limites du corps humain, explore l'envers de la performance, furetant du côté de la douleur et de l'étrangeté. Nuit #1 : La nuit la plus longue – Cinéma. Après avoir attiré l’attention des cinéphiles du monde entier avec ses premiers courts métrages, la réalisatrice Anne Émond passe enfin au format long avec Nuit #1, où elle retrouve Catherine De Léan qu’elle a dirigée dans le court Sophie Lavoie.
Comme de nombreuses personnes de sa génération, Anne Émond sentait que les choses ne tournaient pas rond lorsqu’elle a commencé à réfléchir à l’état d’esprit qui guidait les actions des gens qui l’entouraient. Alors qu’ils auraient dû s’intéresser à l’édification de grands projets de société, à la construction de nouvelles utopies ou à la recherche de solutions pour faire face aux problèmes d’ordre économique et écologique qui risquaient de les submerger de toutes parts, la majorité d’entre eux semblaient prisonniers d’un désespoir engendré par un cynisme contagieux et destructeur. 36e Festival international du film de Toronto - Un Café de Flore enlisé dans l'ambition de son projet. Toronto — À Toronto, on va aussi voir des films québécois (et on en rate quelques-uns) à cause des horaires de fou.
Entre les séances en salles obscures, le beau temps nous réchauffe dans cette ville alliant toujours un côté froid à sa proverbiale efficacité. C'est moins olé! Olé! Que chez-nous, le gros marché du film fait rimer art et business, mais que de stars et d'effervescence! Le nouveau quartier général du festival, le Bell Lightbox, au pied de la Tour de CN, sert d'étoile polaire à qui perd le nord.
Au milieu de tout ça, j'ai pu rattraper Café de flore de Jean-Marc Vallée, lancé ici après Venise. Autre film québécois, infiniment moins ambitieux, cette fois. À la suite d’une rencontre amoureuse d’un soir, Clara (Catherine de Léan) et Dimitri Storoge livrent leurs secrets et le vide de leur existence à leur partenaire. Coup de cœur Que Toronto soit la grosse rampe de lancement pour les films visant les Oscars, est chose entendue. Site complet. Actualités. Freshlyground @ the Montreal Jazz Festival (part 3)
#Vu @luckypeterson au jazzmtl. Prend aux tripes dès le premier accord. Classique, brillant et efficace. - JeMeRegarde. Misteur Valaire à la place des Festivals - Tout pour les yeux. La première fois qu'on a vu Misteur Valaire sur scène, c'était en 2008, au Café Campus.
Puis, le quintette électro-jazz sherbrookois a eu droit à une promotion au Club Soda, et encore une autre au Métropolis. Hier soir, c'est la place des Festivals qui leur était offerte par le FIJM. Un parcours en crescendo. Sous un ciel fâché qui n'a versé ses gouttes qu'à mi-parcours, Misteur Valaire et toute sa visite s'est bien défendu en mettant le paquet. Rock dehors mais guimauve dedans (ou l'inverse) #vu (mais déçu) - JeMeRegarde.