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Voip veille technologique

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Logiciels/Applis VoIP

VoIP via navigateur. Whatsapp. Skype. Les USA veulent faire passer les téléphones fixes à la VoIP. Et si l’avenir du téléphone était la VoIP ? C’est une réflexion que mène en ce moment la FCC (l’ARCEP américaine), qui a invité hier des opérateurs comme AT&T ou Verizon à tester l’utilisation d’un signal numérique plutôt qu’analogique, via un protocole IP, sur la base du volontariat. Autrement dit, de tout faire passer par la VoIP. Une sorte de Skype généralisé. Rassurez-vous, dans les années à venir, vous n’appellerez pas vos correspondants en tapant 109.xxx.xx… l’idée est en fait de supprimer les commutateurs ancestraux pour des protocoles internet.

La chose permettrait de nouvelles fonctionnalités, on citera en premier lieu la visioconférence. Les opérateurs peuvent déjà se porter volontaire, pour tester la chose dans des zones peu denses, sachant que les clients peuvent refuser de participer à l’expérimentation. Merci à Loke pour l’info ! La téléphonie sur IP : un nouvel argument pour les hébergeurs. Solution miracle pour réduire les coûts de téléphonie, la TOIP promue par Free et Numéricâble s’ouvre désormais à de nouveaux acteurs. La voix sur IP, comme on la connaît sur Skype, n’est pas tout à fait la TOIP (Telephony over IP) mais elle intéresse de plus en plus les hébergeurs en quête de nouveaux services. « La voix sur Ip n’est pas une application informatique comme les autres », précisait Juan Lopez, le directeur général de Cirpack, un des rares fabricants français, présent cette semaine au Cebit. « Il faut maintenir une bonne synchronisation ce qui nécessite un excellent réseau ». Depuis une bonne dizaine d’années, les vendeurs de centraux téléphoniques traditionnels comme Alcatel, Siemens, Nortel, ont arrêté cette activité ou ont disparu et seuls Avaya, Mitel ou Cisco, les spécialistes du Pbx IP ont surnagé à la faveur de la progression des réseaux IP. .

Une offre économique La facturation une source de problèmes. TOX: une alternative à Skype qui chiffre vos connexions pour garantir votre anonymat - Geekologie.me. Vous connaissez sans doute tous Skype, la célèbre messagerie de Microsoft, et bien voici une alternative qui n’est pas encore tout à fait disponible (voir plus bas), mais qui ne saurait tarder. TOX est un logiciel libre de messagerie et open-source qui va vous permettre de faire sensiblement la même chose qu’avec Skype. Vous allez bien entendu pouvoir envoyer des messages, passer des appels vocaux ou des appels vidéos, mais il y a une grosse différence: les connexions sont entièrement et fortement chiffrées de façon à garantir votre anonymat et votre sécurité.

Dans la logique, Barack Obama et les Américains ne devraient pas pouvoir vous espionner. Sinon le logiciel est conçu pour être très simple à utiliser, gratuit et sans aucune publicité. TOX est pour le moment encore développement et sur la page du site, le bouton de téléchargement ne marche pas encore. Le logiciel devrait être disponible pour le grand public et pour les systèmes Windows, Mac, Linux, et même Android et iOS. WhatsApp vs Skype, Hangouts et Viber : quelle application de VoIP consomme le moins de data. Pour faire suite à la récente arrivée des appels vocaux au sein de WhatsApp, le site Android World a réalisé un petit test comparatif visant à évaluer quelles applications consommaient le plus de données en VoIP. Des chiffres qui importent peu lorsqu’on est connecté en Wifi mais qui peuvent devenir un sérieux critère de sélection une fois en 3G/4G. Quelle application de VOIP est la plus économe ?

Afin de proposer le test le plus fiable possible, l’équipe a effectué huit appels d’une minute, en Wifi et en 3G pour chacune des quatre applications. Test durant lequel l’appelant et le destinataire de l’appel devaient lire le même texte. Bien que le fait que les données proviennent de l’émetteur ou du destinataire ne change pas grand chose sur le total consommé, cela permet d’obtenir des résultats plus cohérents.

Via. Hausse des prix de la téléphonie IP chez Numericable. Ecrit par François Le Gall le mardi 12 novembre 2013 à 11h32 L'analyse de la grille tarifaire publiée par Numericable le 7 novembre dernier montre que le cablo-opérateur a augmenté les tarifs de de son service de téléphonie sur IP. Les hausses de prix touchent aussi bien les coûts de mise en relation que les minutes de communication, que ce soit vers un mobile en France et vers les fixes et mobiles à l'international. Pour les nouveaux abonnés ne disposant pas d'un service de téléphonie sur IP incluant les appels vers les mobiles, la minute vers portable en France augmente de 2 centimes et passe ainsi de 0.25€ à 0.27€.

Une hausse similaire concerne également le coût de connexion qui est désormais de 0.27€ par appel. Pour les communications vers l'étranger, l'augmentation des prix varie de 2 à 5 centimes la minute comme le montrent les visuels ci-dessous. Grille tarifaire du 12 août 2013 Grille tarifaire du 07 novembre 2013. Téléphonie IP : quels avantages ? La téléphonie sur IP séduit les entreprises avant tout grâce aux réductions de dépenses qu’elle permet : appels intersites gratuits, appels lointains à tarifs très bas, pas de frais de câblage supplémentaires. Mais la téléphonie IP propose encore d’autres avantages… La téléphonie IP permet la transmission des communications vocales via des réseaux au protocole IP (en clair, par Internet dans la plupart des cas) et permet la convergence de tous les postes informatiques d’une entreprise en un seul réseau unifié.

Bien. Mais quels sont les avantages concrets pour l’entreprise ? Atout n°1 de la téléphonie IP : la réduction des coûts Coûts d’installation Economie sur les frais de câblage si vous possédez déjà un réseau Internet d’entreprise. Coûts de communication La téléphonie IP demande peu de bande passante. Pour les appels en dehors de l’entreprise, les coûts sont également bien plus réduits qu’avec la téléphonique traditionnelle. Autre facteur de réduction des prix : la concurrence.

Souplesse. Loi Renseignement : un Patriot Act à la française. La Loi Renseignement a atterri au sein de l’Assemblée Nationale il y a quelques jours, au milieu du brouhaha entourant le premier tour des élections départementales. Cette loi, portant le doux nom de « Police et sécurité : Renseignement », vise à aller encore plus loin que la première loi de Bernard Cazeneuve, déjà décryptée dans ces colonnes. Les dégâts de la première loi Cazeneuve La rigolade a commencé assez récemment, avec les premières fermetures arbitraires de sites web jugés dangereux (ce que la première Loi Cazeneuve autorise).

Je citerai un cas bien précis : islamic-news.info, qui a fait partie des cinq premiers sites « bloqués ». Ce site d’informations, géré par une et une seule personne qui a d’ailleurs fait une lettre ouverte sur Numerama, est construit sur un herbergeur français (OVH), donc tombe sous le coup de la Loi Pour la Confiance Numérique : l’Etat pouvait simplement demander la fermeture du site à OVH. Loi Renseignement : Le Patriot Act à la française Indignez-vous !