Introduction au hardware hacking. Hack in Paris c'est pour bientôt, histoire de vous remettre à jours avec certaines des conf présentées, je vous fait de nouveau profiter des articles ecrits par mes amis de Sysdream Par Damien Cauquil Présentation de l’auteur Damien Cauquil est un passionné d’informatique, d’électronique et de systèmes embarqués et surtout le Directeur du Labo de recherche de Sysdream.
Sysdream est un cabinet d’audit et de conseil. Vous pouvez aussi retrouver Damien sur son blog. En bref : bientôt un embryon numérique contre les maladies génétiques ? La société états-unienne GenePeeks propose de mélanger artificiellement les génomes de futurs parents pour établir le risque de maladies génétiques. © Lunar caustic, Wikipédia, cc by 2.0 En bref : bientôt un embryon numérique contre les maladies génétiques ?
- 1 Photo Jusqu’ici, pour connaître le risque de maladies génétiques de son futur bébé, il fallait réaliser une amniocentèse, un examen du liquide amniotique qui permet de détecter des problèmes chromosomiques chez le fœtus. Mais aujourd’hui, le laboratoire GenePeeks propose de connaître ce risque avant même la conception. Comment ? Selon les auteurs, ce service de simulation de la fécondation, appelé « matchright technology » serait surtout utile pour une future mère à la recherche d'un donneur de sperme. Aux États-Unis, les banques de sperme et les cliniques de fertilité sont actuellement les seules à avoir recours à ce procédé.
A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Première : régénération d’un organe abîmé dans des souris vivantes. Faire du neuf avec du vieux : des souris âgées traitées in vivo ont pu retrouver un thymus digne de leur jeune âge par la simple induction d’une seule protéine, nommée FOXN1.
Un nouveau pas dans la médecine régénérative. © Rama, Wikimédia Commons, cc by sa 2.0 Première : régénération d’un organe abîmé dans des souris vivantes - 2 Photos On a peut-être l’âge de nos artères, mais pas forcément celui de tous nos organes. Car tous les tissus ne vieillissent pas à la même vitesse. Le thymus est l’un des premiers à subir les affres du temps. Ces processus de vieillissement suscitent de nombreuses questions à l’Homme depuis toujours qui cherche à comprendre comment les annihiler afin de conserver une jeunesse et une vie éternelle. Une nouvelle étape dans cette science moderne vient d’être franchie par des scientifiques écossais, dont Clare Blackburn, de l’université d’Édimbourg, qui ont réussi l’exploit de régénérer in vivo un thymus de souris âgées pour lui donner l’apparence du neuf.
La narcolepsie serait une maladie auto-immune. La narcolepsie est un trouble neurologique qui se caractérise par des envies rapides et irrépressibles de dormir.
Elle se manifeste souvent à l'adolescence et touche deux fois plus d'hommes que de femmes. © Marco P. Sanchez, Flickr, cc by nc sa 2.0 La narcolepsie serait une maladie auto-immune - 2 Photos Caractérisée par une somnolence anormale dans la journée, la narcolepsie est fréquemment associée à une cataplexie, autrement dit une perte soudaine de tonus musculaire. Environ 30.000 patients seraient concernés en France. Des chercheurs de l’université Stanford en Californie (États-Unis) ont voulu creuser la question. Le vaccin contre la grippe H1N1 aurait causé quelques cas de narcolepsie. © Sanofi Pasteur, Flickr, cc by nc nd 2.0 Cette étude est basée sur des résultats précédents montrant que la narcolepsie était en partie due à la mort des cellules cérébrales qui produisent l’hypocrétine, un neuropeptide stimulant l’éveil.
Sclérose en plaques : certains lymphocytes T bloquent l’inflammation. La sclérose en plaques est une maladie auto-immune du système nerveux central, c’est-à-dire le cerveau et la moelle épinière.
Elle évolue très lentement et handicape la vie quotidienne 15 à 20 ans après le début des premiers symptômes. © DR Sclérose en plaques : certains lymphocytes T bloquent l’inflammation - 2 Photos Les différents acteurs de l’immunité patrouillent en permanence l’organisme à la recherche des envahisseurs et des cellules cancéreuses. Une fois leur proie repérée, ils agissent de concert pour l’éliminer le plus vite possible, avant qu’elle n’altère les organes. Cependant, dans certains cas, le système immunitaire peut engendrer l’effet inverse et se retourner contre les tissus qu’il est censé protéger. Certains médicaments permettent de réduire la durée et l’intensité de certains symptômes de la sclérose en plaques. Sclérose en plaques : enfin une stratégie prometteuse. De forme étoilée, les astrocytes assurent de nombreuses fonctions importantes, axées sur le support et la protection des neurones.
Chez les personnes atteintes de sclérose en plaques, ils produiraient une protéine inhibitrice de la réparation de myéline. En la ciblant, les chercheurs espèrent inhiber la progression de cette maladie. © Karin Pierre, Institut de physiologie, UNIL, Lausanne, Alliance européenne Dana pour le cerveau (EDAB) Une molécule d’ARN à l’origine des maladies auto-immunes. Pathologie infantile, la maladie de Kawasaki est due à une inflammation excessive de certaines artères.
La langue des enfants malades présente un aspect caractéristique visible sur cette image. Dans cette nouvelle étude, les chercheurs ont découvert une molécule d’ARN associée à cette maladie. Pourra-t-on l’utiliser comme cible pour la soigner ? © Kim, Yonsei Medical Journal Une molécule d’ARN à l’origine des maladies auto-immunes - 2 Photos Éparpillés à travers le corps, les différents acteurs du système immunitaire coordonnent leurs efforts pour protéger les tissus contre les envahisseurs. Malgré les nombreuses recherches sur le sujet, les raisons pour lesquelles le système immunitaire se dérègle subitement restent encore mystérieuses. Le facteur de nécrose tumorale alpha (TNFα pour tumor necrosis factor alpha en anglais) est une importante cytokine impliquée dans l’inflammation.
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