La biodiversité en danger. En quoi la perte de Biodiversité est une menace à court et moyen terme pour l’espece humaine. En quoi la perte de Biodiversité est une menace à court et moyen terme pour l’espece humaine Nombreuses sont les personnes se sentant peu ou pas concernées par la disparition d’espèces ici ou là sur la planète. Cet état d’esprit provient essentiellement du manque de compréhension (et d’études) sur l’impact immédiat qu’a cette diminution de la diversité sur notre environnement et sur nos modes de vie, incluant l’aspect économique à court et moyen terme.
Sommet de Rio oblige, une équipe internationale de 17 scientifiques vient de compiler deux mille analyses sur le sujet afin de mieux cerner les différents impacts de la perte de biodiversité et son échelle d’influence sur notre environnement. en trouvant ses ressources vitales, en produisant de la biomasse et en décomposant et recyclant les nutriments essentiels à la vie.
On pouvait imaginer quelques perturbations partielles ainsi qu’un vide comblé par d’autres espèces prenant la place de celles éteintes, il n’en est rien. Quand l'économie se penche sur la biodiversité. Alors que l'année de la biodiversité sera officiellement lancée le 12 janvier à Berlin par l'ONU et que la lutte contre l'érosion de la nature s'impose comme un enjeu majeur du siècle, la question de l'évaluation économique de la nature se pose. À l'heure où le produit intérieur brut est devenu l'indicateur de référence de nos sociétés et des décideurs, les initiatives se multiplient pour donner une valeur à la nature. Les travaux de Pavan Sukhdev, économiste indien, visant à obtenir une vision globale des services rendus par la nature, ou le rapport de Bernard Chevassus-au-Louis proposant de donner une valeur économique à la biodiversité s'inscrivent dans la lignée du rapport de Nicholas Stern qui chiffrait le coût du changement climatique.
Mesurer la biodiversité : une nécessité pour lutter contre son érosion Depuis le sommet de la terre de Rio et la conférence de Johannesburg en 2002, le suivi de la biodiversité est considéré comme une urgence. Ressource en eau, gouvernance mondiale et sécurité. Un monde hétérogène. Les prélèvements d’eau sont fortement concentrés géographiquement, puisque les cinq pays les plus utilisateurs d’eau (Inde, Chine, Etats-Unis, Pakistan, Fédération Russe) cumulent 60 % du total au niveau mondial. L’Asie (61 % de la population mondiale), compte pour 68 % de l’eau consommée dans le monde. Facteurs explicatifs : densité de population très élevée et l’importance de la riziculture.Le continent américain (13 % de la population) représente environ 14% du total mondial. Total incluant les Etats-Unis, troisième au rang des plus gros consommateurs. Facteurs explicatifs : niveau de développement élevé et du recours très important à l’irrigation.L’Afrique avec une consommation de 9 %.
La situation mondiale est don marquée par une forte hétérogénéité des situations d’un pays à l’autre, à l’intérieur d’un même pays, du fait de la distribution spatiale de la ressource, du fait de ses usages. Prospective. « On peut nourrir 10 milliards d’humains en bio sans défricher un hectare » Jacques Caplat est agronome et géographe. L’idée que les rendements en bio sont plus faibles qu’en conventionnel est récurrente… Si l’on considère que l’agriculture bio, c’est faire la même chose qu’en conventionnel moins la chimie, alors oui, c’est certain. Mais ça n’est pas ça du tout ! Que faut-il comparer, alors ? Le système conventionnel s’est construit sur l’idée qu’on peut augmenter les rendements en sélectionnant les semences. On les isole et on regarde comment on peut les faire produire au maximum dans un contexte artificiel. On obtient alors de très hauts rendements, mais ils n’ont plus aucune relation avec la réalité biologique.
Ce concept fonctionne de façon optimale avec un mélange de cultures sur une même parcelle. Vous soutenez que l’agriculture bio est le seul système viable dans les pays tropicaux… Le système conventionnel ne marche qu’en milieu tempéré. Que disent les études scientifiques sur cette question ? Cette transition est-elle possible ? Je suis sceptique et déçu. Production scientifique - Institut de recherche pour le développement (IRD) Recifs coralliens. Les aquariophiles tentent de reproduire au mieux les conditions physiques et chimiques du milieu récifal pour le bien être de leurs pensionnaires.
Le défi de l'aquariophile est aujourd'hui de concevoir un aquarium véritablement tourné vers l'exemple de la nature. Cette démarche serait bien incomplète sans la compréhension du milieu naturel, en effet les conditions de développement des animaux varient selon la situation géographique, locale et même suivant la position dans le récif. Les récifs coralliens 600 000 km² sont le résultat du développement d'un animal (le corail) sur un support (une côte continentale, une île). Un polype se reproduit, trouve les conditions favorables à son épanouissement, se développe pour former un récif, un macro et microcosme en constante évolution.
Pour comprendre cette fabuleuse histoire des récifs nous nous attarderons sur : Le corail, Le récif et enfin Les biotopes récifaux. Pour une gestion rationnelle des ressources en eau au Maroc - Institut de recherche pour le développement (IRD) Marquée par un climat semi-aride, la région marocaine de Marrakech Tensift-El Haouz doit faire face à des besoins en eau toujours plus importants, en raison de la croissance démographique, du développement économique et de l’essor des infrastructures touristiques.
L’eau disponible, provenant en grande partie des neiges de l’Atlas, est déjà entièrement mobilisée, notamment pour l’irrigation des cultures. Seule une gestion rationnelle et rigoureuse de l’eau permettra à cette région de se développer tout en veillant à la durabilité de cette ressource. Le programme de recherche franco-marocain Sudmed mené par le Centre d’études spatiales de la biosphère (CESBIO) de Toulouse, en collaboration avec des institutions marocaines - l’Université Cadi-Ayyad, les services de l’État et la Direction de la Météorologie Nationale - porte sur l’étude intégrée des ressources en eau de cette région.
OCDE 05/11/14 Biodiversité, eau et gestion des ressources naturelles - L'économie et les politiques de la biodiversité : la réponse de l'OCDE. L’OCDE apporte son concours aux gouvernements en leur procurant le socle analytique dont ils ont besoin pour élaborer des politiques de biodiversité économiquement efficientes, écologiquement efficaces, et équitables sur le plan redistributif. Son analyse des politiques publiques est axée sur l’évaluation économique de la biodiversité et des services écosystémiques, et sur l’utilisation d’incitations économiques et d’instruments de marché pour faciliter la conservation et l’exploitation durable de la biodiversité et des services écosystémiques qui lui sont associés. Les travaux de l’Organisation viennent aussi étayer la mise en œuvre de la Convention des Nations Unies sur la diversité biologique.
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