Limite de Hayflick. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Les cellules mitotiques[modifier | modifier le code] Au début des années 1960, à l'Institut Wistar de Philadelphie, Leonard Hayflick modifia la technique de culture en procédant de façon méthodique : une culture primaire confluente[2] (première phase d'une culture de cellules a nombre limité de divisions cellulaires )de fibroblastes est mise en suspension et divisée en deux parties égales. L'IMMORTALITÉ BIOLOGIQUE : FICTION OU RÉALITÉ ? Hydre (zoologie) L'hydre, ou Polype d'eau douce, est un pluricellulaire complexe d'apparence végétale.
Les généticiens considèrent que ce polype est immortel, notamment grâce à ses capacités régénératrices. En France, on connaît trois espèces : Hydra fusca, l'hydre brune ; Hydra grisea, l'hydre grise, et Hydra viridis (ou Chlorohydra viridissima), l'hydre verte, dont la couleur est due à des chlorelles symbiotiques. Carl von Linné crée en 1758 le genre Hydra, en lui donnant ce nom parce que l'animal, après avoir eu la tête tranchée, voit une nouvelle tête lui repousser, un peu comme l'hydre de Lerne, de la mythologie grecque antique, un serpent monstrueux à sept têtes qui repoussaient à mesure qu'on les coupait, si on ne les abattait pas toutes d'un coup.
L'expression « Polype d'eau douce » a été créée par Réaumur (1683-1757), le grand naturaliste auquel Abraham Trembley avait envoyé quelques spécimens de l'animal pour étude. Hydre fixée sur la vitre d'un aquarium. La reproduction sexuée. Hydre. A. Hydre d’eau douce. « Le cancer est aussi vieux que l’existence des organismes multicellulaires apparus sur la Terre et il ne sera jamais éradiqué ».
C’est ce qu’a déclaré de manière lapidaire le Professeur Thomas Bosch de l’Université de Kiel en Allemagne. Autant dire que ce n’est pas rassurant du tout. Malgré les immenses progrès réalisés à l’aide des outils modernes de la génétique moléculaire qui ont permis d’identifier les gènes impliqués directement dans l’apparition de nombreux cancers et les avancées thérapeutiques conséquentes tant en chimiothérapie qu’en immunologie ciblée, il faut se rendre à l’évidence et c’est difficile à admettre, on n’arrivera probablement jamais à bout de cette maladie qui atteint des dizaines de millions de personnes dans le monde chaque année. Et quand ce sont des biologistes spécialisés depuis de nombreuses années dans la recherche sur le cancer qui font ce genre de déclarations il y a de bonnes raisons de les croire.
Le saviez-vous ? L’hydre est immortelle - ZoObsession. L’hydre, un petit cnidaire d’eau douce, est capable de se régénérer même après avoir été découpé en petits morceaux.
Son nom est d’ailleurs une référence à l’Hydre de Lerne, la créature mythologique aux multiples têtes qu’Héraclès eut tant de mal à vaincre. Sa tête ne contient pas de cerveau mais des cellules spéciales dites « de commandement » qui ont le pouvoir d’organiser les cellules qui les entourent en un corps neuf. Lorsqu’une hydre est éparpillée en de nombreux morceaux, il est même possible que plusieurs organismes se reforment. Ainsi, lorsqu’elle est attaquée, il est très probable que l’hydre survive, voire même qu’elle prospère en se multipliant.
D’après le biologiste Daniel Martinez, ses capacités cellulaires exceptionnelles la rendent immortelle : “J’ai débuté mes expériences avec la volonté de prouver que l’hydre ne pouvait pas échapper au vieillissement. VOIR AUSSI : Le saviez-vous ? Suivez-nous ! Le saviez-vous ? Le rat-taupe nu ne vieillit pas - ZoObsession. Le requin du Groenland : recordman de longévité - ZoObsession. Ce requin encore mystérieux détient le record de longévité des vertébrés.
Les scientifiques estiment qu’il est capable de vivre presque 3 siècles. Véritable curiosité de l’Arctique, sa chair toxique est utilisée pour préparer le Hákarl, un plat traditionnel islandais. Selon une étude menée sur 28 femelles, ce squale peut vivre au moins 272 ans. Il a donc le record de longévité des vertébrés, surpassant la baleine boréale et les grandes tortues terrestres.
Acide hyaluronique : tout savoir sur cette molécule repulpante. À ce jour, l’acide hyaluronique est la molécule hydratante la plus puissante dont on dispose.
Découverte en 1934 dans l’humeur vitrée de l’œil de bœuf, l’acide hyaluronique, ou hyaluronane, est l'association d’un acide uronique et d’un aminoglycane. Cette sorte d’ "éponge" à eau, naturellement présente dans notre organisme, assure, entre autres, le rebondi de la peau et la fraicheur du teint. Et comme sa production baisse de 6 % à chaque décennie, entraînant relâchement cutané et rides, des formules synthétisées et des traitements esthétiques permettent de compenser.
Quels soins à base d'acide hyaluronique adopter à la maison ? La cosmétique formule l'acide hyaluronique sous des formes différentes selon le type de soin :