Du géocentrisme à l’héliocentrisme. La Renaissance. André Vésale. Blason André Vésale, né Andries Wytinck van Wesel à Bruxelles le 31 décembre 1514 et mort à Zakynthos le 15 octobre 1564, est un anatomiste et médecin brabançon, considéré par de nombreux historiens des sciences comme le plus grand anatomiste de la Renaissance, voire le plus grand de l’histoire de la médecine.
Ses travaux, outre qu’ils ont fait entrer l’anatomie dans la modernité, mettront fin aux dogmes du galénisme qui bloquaient l’évolution scientifique depuis plus de mille ans aussi bien en Europe que dans le monde islamique. Vésale ne se détache pas entièrement de l'œuvre de Galien, pour lequel il a une très grande admiration.
Le fait de le critiquer, de souligner ses erreurs n'est pas un signe de mépris comme dans toute démarche scientifique, c'est un processus normal qui s'appelle l'objectivité. Il reprend d'ailleurs un certain nombre d'éléments de l'œuvre de Galien. « André Vésale » est la forme francisée de son nom latin Andreas Vesalius. Vésale et son ami Gemma à Montfaucon. Les communautés savantes européennes à la fin du siècle des Lumières. Les communautés savantes européennes à la fin du siècle des Lumières Dossier La science, l'espace et les cartes Mots clés: XVIIIe siècle • Académies des sciences • Centres de recherche • République des sciences Le présent article traite de la localisation des savants européens à la fin du XVIIIe siècle.
Une première méthode consiste à cartographier la «République des sciences» à partir de la Liste des astronomes connus actuellement vivants établie par Jean III Bernoulli entre 1776 et 1779. Une seconde méthode localise les membres et correspondants des six principales académies scientifiques de l'époque, soit celles de Paris, Londres, Berlin, St-Pétersbourg, Stockholm et Bologne. À ce jour, les historiens de la période dite moderne (XVIe-XVIIIe siècles) ont accordé assez peu d’attention à la localisation des activités scientifiques. L’idée que la science puisse avoir une géographie ne va pas de soi. La «République astronomique» de Jean III Bernoulli. Abraham Darby. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Abraham Darby (1678-1717)[modifier | modifier le code] Il quitte Bristol en 1709 pour devenir forgeron dans le village de Coalbrookdale, à une dizaine de kilomètres de Birmingham, dans le Shropshire, où le minerai de fer et le charbon sont disponibles[3]. Peu fortuné, malgré la vente de sa part dans la fabrique, il met en hypothèque sa nouvelle entreprise pour obtenir un prêt de 1600 livres sterling[4].
À cette époque, l'acier était produit en petite quantités, au creuset. La méthode permettait d'obtenir une cémentation partielle en plaçant au four du minerai de fer entouré de charbon de bois, l'un des rares produits qui pouvait être utilisés pour atteindre la température de fusion de l'acier (1 500 °C). D'autres maîtres de forges de la région commencèrent à utiliser ses méthodes. La maison qu'il fit construire juste au-dessus de ses hauts-fourneaux, achevée l'année de sa mort, se visite.
Iron Bridge sur la Severn. Abraham Darby, et le prix de l'acier fut divisé par deux !