Dyson va-t-il réussir son pari dans le véhicule électrique ? Après les aspirateurs, les sèche-cheveux et les sèche-mains, la voiture électrique.
C’est la prochaine étape du chemin atypique de l’entreprise britannique Dyson depuis la construction de ses premiers prototypes électroménagers dans les années 1980. Ce parcours, soutenu par des investissements continus dans la mise au point de produits innovants, permet au fabricant d’afficher aujourd’hui plus de 4 milliards de livres sterling de chiffres d’affaires et un bénéfice de 1,1 milliard. Les gammes de traitement de l’air, les aspirateurs futuristes ou encore les sèche-cheveux Airwrap se vendent en effet toujours très bien. Sans conteste, une des clés du succès de Dyson réside en la personne de son fondateur, Sir James Dyson. Maître dans l’art du storytelling, James Dyson a su créer autour de sa personnalité une marque forte, avec une identité claire, qui se différencie par un design de rupture et des technologies avancées.
Véhicule « androgyne, tout-terrain » Flou sur les batteries.
Retour vers le réel (?) Notre culture occidentale, tout entière empreinte d’un cadre de pensée largement hérité des Grecs, n’a jamais eu beaucoup de considération pour le réel.
Chacun se souvient de la métaphore de la caverne chez Platon qui inaugure une pensée tout entière tournée vers les Idées et non vers la matérialité, la concrétude et le réel. De fait, notre héritage culturel européen nous a toujours largement invité à penser que l’Idée d’une chaise avait beaucoup plus de valeur que cette chaise sur laquelle vous êtes présentement assis.
Dans quelle mesure peut-on alors promettre le réel ? C’est cette question que pose l’affiche annonçant la venue en juin prochain à Paris de Neil Young pour une série de concerts. Le rebelle canadien connu pour ses textes poétiques et sa résistance continuelle au travers de notre société libérale et consumériste s’affiche accompagné d’un groupe de musiciens se dénommant « Promise of the real ». Daniel Boorstin : image, artifice et vacuité Le diktat du conformisme. Ne taxez pas les robots, formez les salariés ! L’industrie française souffre sur le long terme d’un manque d’investissement.
Nous sommes pris en tenailles entre des pays à bas salaires dont l’offre est meilleur marché et ceux qui peuvent vendre cher des produits de qualité grâce à un outil de production performant. Soutenir l’investissement productif. Notre cerveau, roi des réseaux. De nos jours, le monde s’organise de plus en plus sous forme de réseaux.
Réseaux sociaux mais également routiers, téléphoniques… Qu’en est-il en biologie ? Et plus précisement, pour notre organisme et pour notre cerveau ? La question est de savoir si chaque région de notre cerveau fonctionne de façon isolée ou au contraire forme un réseau cérébral. Le cerveau est l’organe le plus mystérieux et pourtant l’un des plus importants de notre organisme. Chef d’orchestre du corps, en perpétuelle activité, il dirige et régule tous nos comportements, du contrôle du mouvement à la formation d’une pensée ou d’une émotion. On a longtemps pensé que ces zones avaient des fonctions distinctes (vision, audition, olfaction…), et œuvraient de manière isolée pour produire des comportements spécifiques. Facebook dans notre cerveau… Le parallèle entre le réseau social Facebook et le réseau cérébral n’a pas échappé aux scientifiques ! Mais comment les aires cérébrales communiquent-elles ? Quels développements pour les territoires numériques de la FrenchTech ?
La 3e édition de la Digital Week de Nantes s’est achevée le 25 septembre dernier.
En 10 jours, ce sont quelque 200 évènements consacrés aux cultures du numérique qui se sont tenus un peu partout en ville. Artistes, chercheurs, entrepreneurs et aussi nombre de curieux ont participé à des échanges et des explorations autour des enjeux d’un numérique toujours plus pervasif. En 2016, ces évènements sont nombreux, très nombreux. À tel point qu’il devient difficile de se différencier. Certains cèdent parfois à la surenchère, à l’image du salon Viva Technology, qui pour sa première édition s’est enorgueilli d’avoir réuni, au début de l’été à Paris, pas moins de 5 000 start-ups.
Il fait peu de doute que le mouvement FrenchTech – ce label français mis en place par le gouvernement et attribué à des pôles métropolitains reconnus pour leur capacité à faire émerger et croître un écosystème de start-up – constitue l’un des principaux moteurs de cette fièvre événementielle. La ville intelligente.