EN VIDÉO. Hong Kong : Occupy Central vu par les médias chinois. Hong Kong : la révolution des parapluies s'essouffle. HONG KONG. Occupy Central est "illégal", selon la presse chinoise. Au quatrième jour d’Occupy Central, les manifestants sont déterminés à poursuivre le bras de fer avec le gouvernement.
Pékin, par la voix de ses médias officiels, accuse l’étranger de manipulation. Les rassemblements qui paralysent le centre de Hong Kong depuis quatre jours sont “des actes illégaux et menaçants”, a déclaré Leung Chun-ying. Chargé de faire appliquer la “réforme politique”, le chef de l’exécutif de Hong Kong se trouve en première ligne face aux protestations des Hongkongais qui critiquent sa gestion policière des manifestations – avec des tirs de gaz lacrymogène les premiers jours – et demandent sa démission.Et le mouvement Occupy Central semble faire bouger les lignes.
Le 29 septembre, les autorités locales ont décidé de ralentir la procédure, et de remettre à plus tard la “consultation publique” pour la réforme électorale qui est à l’origine de la contestation. Wei Lan. Hongkong : pourquoi les « parapluies » se rebellent. Depuis le week-end des 27 et 28 septembre, la « révolte des parapluies » a vu descendre dans les rues de Hongkong des dizaines de milliers de manifestants.
Dimanche, les forces de l'ordre ont usé de gaz lacrymogène pour disperser étudiants et militants, qui réclament davantage de démocratie et la modification du mode de scrutin censé désigner le chef de l'exécutif local. Des débordements auxquels l'ancienne colonie britannique, sous tutelle chinoise depuis 1997, n'était pas habituée. L'origine du mouvement Les manifestants s'insurgent principalement contre un nouveau mode de scrutin pour désigner le dirigeant du territoire. Annoncé fin août, il prévoit pour 2017 l'élection au suffrage universel du nouveau chef de l'exécutif hongkongais parmi deux ou trois candidats triés sur le volet par un comité de 1 200 grands électeurs. La procédure actuelle n'inclut pas le suffrage universel mais est moins restrictive sur les candidats. Révolution des parapluies à Hong-Kong : l'épilogue d'un mouvement numérique.
Ils ferment leurs derniers parapluies qui leur servaient à se protéger des gaz lacrymogènes des policiers.
Alors qu'à Hong-Kong, les autorités ont commencé jeudi à évacuer les derniers lieux d'occupation des manifestants pro-démocratie, ce sont les symboles de onze semaines de mobilisation qui continuent à disparaître progressivement, notamment de la place Admiralty, épicentre du mouvement des parapluies qui a rassemblé jusqu'à des dizaines de milliers de manifestants. Comme ses débuts, l'épilogue des manifestations à Hong-Kong est raconté en temps réel sur les réseaux sociaux malgré les tentaives réussies ou avortées de la censure chinoise. Les manifestations d'Hong-Kong, aussi appelées #OccupyHK, #OccupyCentral, #Umbrellamovement ou #Umbrellarevolution, font d'ailleurs partie des événements les plus commentés sur Twitter de l'année 2014. L'arrivée des policiers. Les débuts de l'évacuation du principal campement.
Le "parapluie jaune" défait. Manifestations de 2014 à Hong Kong. Manifestations de 2014 à Hong Kong« Révolution des parapluies » Manifestants dans la soirée du 10 octobre 2014.
Les manifestations de 2014 à Hong Kong (en anglais : 2014 Hong Kong protests) désignent une série de manifestations survenues à Hong Kong en septembre et octobre 2014. Les manifestations sont menées par des militants pro-démocrates, regroupés au sein du collectif Occupy Central with Love and Peace (讓愛與和平佔領中環), plus communément appelé Occupy Central (佔領中環), à l'initiative de Benny Tai (戴耀廷)[1],[2]. Ces derniers s'opposent au gouvernement chinois et à son projet (avorté l'année suivante[3]) de limiter la portée du suffrage universel pour l'élection du chef de l'exécutif de Hong Kong en 2017[4],[5]. À la fin septembre, cette protestation prend le nom de révolution des parapluies (雨傘革命), en raison de l'utilisation de parapluies par les manifestants pour se protéger des gaz lacrymogènes[4],[6],[7].
Présentation de Hong-Kong - France-Diplomatie - Ministère des Affaires étrangères et du Développement international. Hongkong en chinois Xianggang ou Hong Kong en chinois Xianggang. Région administrative spéciale de la Chine, au S.
-E. de Canton, comprenant, outre la petite île de Hongkong, Kowloon et de petites îles. Superficie : 1 077 km2 Population : 7 195 000 hab. (estimation pour 2014) Capitale : Victoria À une latitude tropicale, presque dépourvu de plaines, Hongkong est constitué de pics granitiques (Victoria dans l'île de Hongkong, 550 m ; Lantau dans l'île du même nom, 936 m ; Tai Mo Shan dans la péninsule, 958 m). Il tombe 2 150 mm de pluies en moyenne par an, mais le sous-sol est dépourvu de nappe phréatique. L'île de Hongkong fut cédée en 1842 à la Grande-Bretagne qui acquit la presqu'île de Kowloon en 1860 et obtint en 1898 un bail de 99 ans sur les Nouveaux Territoires et sur 235 îles au large de Hongkong. 1.
Le 1er juillet 1997 à 0 heure, Hongkong est rattachée à la République populaire de Chine en tant que « région administrative spéciale » (RAS). 1.1. Hong Kong. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Hong Kong (chinois : 香港 ; pinyin : Xiānggǎng ; Wade : Hsiang¹-kang³ ; cantonais Jyutping : Hoeng¹gong² ; cantonais Yale : Hēunggóng ; littéralement : « port aux parfums » ou « port parfumé »), officiellement Région administrative spéciale de Hong Kong de la République populaire de Chine, est la plus grande et la plus peuplée des deux régions administratives spéciales (RAS) de la République populaire de Chine (RPC), l'autre étant Macao. Elle compte environ sept millions d'habitants que l'on appelle Hongkongais.