Légendes célestes : Astronomie indigène | Astronomie indigène : Les Pieds-Noirs des Prairies de l'Amérique du Nord | L'Étoile du Nord et l'Étoile du matin - la planète Vénus. L’Étoile fixe ou Étoile du Nord est essentielle à la navigation dans l’hémisphère nord. La femme qui a épousé l’Étoile du matin - Cette légende explique la naissance de l’Étoile du Nord et la manière dont nous avons reçu l’une de nos plus importantes cérémonies. Selon le peuple pied-noir des Prairies de l’Amérique du Nord, c’était l’été lorsque deux jeunes filles sortirent de leur cabane pour dormir. Elles se réveillèrent avant l’aube, et l’une dit à l’autre : « Je voudrais épouser cette belle étoile qui brille tant. » Peu de temps après, les deux mêmes jeunes filles ramassaient du bois dehors.
Elles allaient rentrer à la maison avec leurs fagots lorsqu’une des cordes qui retenait le fagot transporté par la jeune fille qui voulait épouser l’étoile se rompit. Pendant que la jeune fille la réparait, un jeune homme s’approcha et lui dit qu’il la cherchait. . - Raconté par Mme Wolf Plume, Amsskaapipikani, en 1911. Légendes célestes : Astronomie indigène | Astronomie indigène : Les Pieds-Noirs des Prairies de l'Amérique du Nord. Les Pieds-Noirs vivent dans les prairies du sud de l’Alberta, au Canada, et dans le Montana, aux États-Unis. Notre peuple est formé de trois tribus : Les Siksikas vivaient habituellement dans les parties nord et est de notre territoire. Ce nom se traduit Blackfoot ou « Pied-Noir ».
Les Kainahs vivaient dans la partie centrale de notre territoire. Kainah signifie « Nombreux chefs ». Nous sommes également appelés les Gens du sang. Les Piégans campaient le long des pentes du côté est des Rocheuses et dans la partie sud de notre territoire. Même si nous avons une langue et une culture communes, certaines de nos pratiques sont différentes d’une tribu à l’autre. Traditionnellement, nous formions un peuple de nomades. Les Pieds-Noirs vivent dans les prairies du sud de l’Alberta, au Canada, et dans le Montana, aux États-Unis. Les Siksikas vivaient habituellement dans les parties nord et est de notre territoire. Traditionnellement, nous formions un peuple de nomades. Musée Glenbow Earl Old Person. Légendes célestes : Astronomie indigène | Astronomie indigène : Les Anishinabes du centre de l'Amérique du Nord. Animation de l'histoire de l'ours. Vidéo Nimishomis, grand-père, d’où viennent la Lune et les étoiles?
Qui les a mises là? Grand-père, s’il te plaît, raconte-moi leur histoire. Noshins, mon petit-fils, je ne sais pas tout, mais je connais les choses qui m’ont été enseignées par mes ancêtres. Je peux te raconter certaines légendes maintenant, car c’est l’hiver. En été, alors que toutes les plantes sont éveillées et que les animaux vagabondent, nous ne pouvons pas parler de ces choses car les esprits pourraient nous entendre dire quelque chose qui les offense. Nous pouvons raconter ces légendes seulement en hiver, pendant que les esprits se reposent. Nimishomis, parle-moi des étoiles. Dans les temps anciens, Noshins, il n’y avait aucune étoile. Un jeune garçon, appelé Petit-Ours, vivait avec son grand-père, nommé Grand-Ours, dans le monde céleste.
Une nuit, assis près du feu avec son grand-père, comme toi et moi maintenant, Petit-Ours lui posa des questions à propos des deux lunes. Légendes célestes : Astronomie indigène | Astronomie indigène : Les aborigènes australiens | Les aborigènes australiens. Au moment du contact avec les Européens, les aborigènes australiens ne formaient pas une société unique et homogène. De nombreux groupes se distinguaient par divers aspects de leur organisation culturelle et sociale.
Dans le Territoire du Nord (Northern Territory) seulement, on parlait plus de 100 langues différentes. On estime qu’avant 1788, environ 700 langues étaient parlées en Australie et dans le détroit de Torrès. L’existence de réseaux sociaux étendus signifiait que les gens devaient parler plusieurs langues pour pouvoir communiquer.
Par exemple, les Arrernte du centre de l’Australie pouvaient parler jusqu’à 10 langues et dialectes. De la même manière, la musique et la danse, les systèmes de parenté, les formes d’art et les cérémonies différaient de façon spectaculaire d’une région à l’autre. Les noms et les légendes des aborigènes à propos de certaines étoiles varient d’un endroit à l’autre en Australie. . © Le Réseau canadien d'information sur le patrimoine, 2003. Légendes célestes : Astronomie indigène. Sciences 9 | SK Curriculum. Sciences 9 : RA et indicateurs Examiner comment diverses cultures, passées et présentes, y compris celles des Premières nations et des Métis, comprennent ou représentent les phénomènes astronomiques.
Décrit les points de vue des Premières nations et des Métis sur l’origine du système solaire et de l’univers. Détermine comment les récits des Premières nations et des Métis expriment les visions du monde de ces cultures en ce qui a trait aux phénomènes astronomiques. Explique l’importance accordée par de nombreuses personnes et cultures aux solstices d’été et d’hiver et aux équinoxes de printemps et d’automne. Nomme les caractéristiques communes que l’on retrouve dans les récits passés et présents décrivant l’origine du monde selon diverses cultures et dans la littérature fantastique. Nicolas Copernic et l'héliocentrisme. La première attaque d’importance contre les conceptions des Anciens fut portée par un chanoine polonais, Nicolas Copernic, au milieu du XVIe siècle.
Né en 1473, Copernic fut convaincu très jeune, probablement par la lecture d’Aristarque de Samos, que la Terre n’occupait pas le centre du monde. Il consacra son temps libre à accumuler observations des corps célestes et calculs de leur orbite, dans le but de mettre au point un nouveau système du monde : l’héliocentrisme (du grec hélios : le Soleil). Nicolaus Copernicus : Torun, 1473 – Frombork, 1543 De Revolutionibus Copernic publia le résultat de ses travaux en 1543 dans De Revolutionibus (Des révolutions). Dans cet ouvrage, le Soleil occupait le centre du monde et c’est autour de lui que les autres corps tournaient, avec dans l’ordre, Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter et Saturne. La Terre, qui d’après les Anciens et l’Eglise était le centre du monde, se voyait ramenée au rang de simple planète en orbite autour du Soleil.
Les Amérindiens | Le ciel des prmiers habitants | L'Univers | AstroLab. Les Amérindiens Les étoiles faisaient partie intégrante de leur vie Les Amérindiens du Canada avaient, avant l'arrivée des Européens, une conception très imagée du ciel étoilé. Pour plusieurs peuplades, tout ce qui se trouvait dans la nature était vivant, y compris les objets célestes comme la Lune, le Soleil et les étoiles.
Chez les Amérindiens, la Terre est plate et les objets célestes tournent autour. L'étoile polaire, qui est toujours fixe dans le ciel, était connue des premières nations. Plusieurs étoiles étaient regroupées en constellations, la plupart étant associées à un mythe dans lequel l'histoire servait à transmettre un enseignement aux plus jeunes. Un jour de printemps, Mère Ourse se réveilla après avoir hiberné tout l'hiver. Après avoir chassé tout le printemps et l'été, les chasseurs les plus lents et les plus lourds, en commençant par les deux hiboux, volèrent de plus en plus bas et perdirent éventuellement la piste de Mère Ourse.
Légendes amérindiennes. Légendes célestes : Astronomie indigène. Les débuts de l'astronomie. Les hommes observaient déjà le ciel il y a des dizaines de milliers d’années. Des phénomènes tels que le déplacement du Soleil dans le ciel ou les changements d’aspects de la Lune leur étaient familiers. La mesure du temps Peu à peu, ils commencèrent à utiliser ces phénomènes à leur avantage. Le mouvement du Soleil dans le ciel, depuis l’est à l’aube jusqu’à l’ouest au crépuscule, pouvait leur servir à mesurer le temps au cours de la journée. Le cycle des phases de la Lune leur permettait d’établir un calendrier très utile pour fixer la date de fêtes religieuses. Un autre phénomène plus lent s’avéra également d’une grande utilité. Les Anciens avaient compris que ce mouvement était lié au cycle des saisons. A ses débuts, l’astronomie était donc essentiellement un outil de mesure du temps. L’établissement de calendriers fiables nécessitait en conséquence une observation très attentive du ciel.
Des descriptions du monde Le miracle grec Ces sphères n’étaient pas figées, mais en rotation.