Les services de santé trop peu adaptés aux personnes LGBT. Santé Les services de santé trop peu adaptés aux personnes LGBT Le jeudi 21 avril 2016.
Les femmes en ménopause ont besoin de meilleures conditions de travail. Santé Les femmes en ménopause ont besoin de meilleures conditions de travail Le mardi 19 avril 2016 La présence de femmes en ménopause sur le marché du travail coûterait 370 000 $ par année, selon une récente étude américaine.
Invitation des ami.e.s et allié.e.s de la FQPN- AGA 2016/ Évènement 40 ans de luttes. Le mythe de notre grosse santé publique démoli par les faits (2e partie) La légende des bienfaits de la concurrence du privé Voulez-vous bien m’expliquer pourquoi c’est aux États-Unis que ça coûte plus cher par habitant au niveau de la santé?
Pourtant, aux States, le système de santé est privatisé. Selon la légende des fanatiques du privé, ça devrait être le contraire. Ils devraient pourtant payer beaucoup moins cher puisqu’il y a dans ce pays plein d’hôpitaux privés, souvent détenus par des transnationales dont les actions sont cotées à la Bourse, qui sont censées se faire une vive concurrence et ainsi faire abaisser les coûts et les prix drastiquement. Le mythe de notre grosse santé publique démoli par les faits. (Première partie) Basons-nous sur des faits et non sur des préjugés Oh que non, pour établir les «vrais faits réels» de notre système de santé publique, que certains qualifient de vache sacrée, je ne prendrai pas les données issues des syndicats (infirmiers/ères et médecins) et non plus les chiffres du patronat et de ses organismes de recherche qu’il finance (par exemple C.D.
Howe Institute, Conference Board, Fraser Institute ou encore l’Institut du Québec installé aux Hautes Études Commerciales (HEC)). Ce dernier Institut est dirigé par le libéral Robert Gagné et par l’ex-ministre des finances, Raymond Bachand, devenu lobbyiste et administrateur de banque. Fusions des établissements de santé : des cadres à bout de souffle en Estrie. Un reportage de Jean Arel « Quand les gens doivent gérer plusieurs sites comme ça, le transport se fait toujours sur le temps personnel.
Donc, ils amputent leur vie personnelle, leur vie familiale, ils augmentent le nombre d'heures de travail », déplore Yves Bolduc, président-directeur général de l'Association des gestionnaires des établissements de santé et de services sociaux. M. Bolduc affirme que les commentaires qu'il recueille sont loin d'être positifs, et il estime qu'avec sa loi 10, le Québec a fait fausse route. Un an du CIUSSS de l'Estrie : l'APTS dresse un sombre bilan. Gel d'embauche, perte de 298 postes équivalents à temps complet résultant de la réorganisation administrative seulement, tentative de déplacer des personnes salariées sans considération pour les conventions collectives toujours valides, énumère le syndicat. « Cette fusion, avec les perspectives de transferts et de déplacements qu'elle entraîne, crée beaucoup d'anxiété au sein des équipes de soins, déclare Emmanuel Breton, porte-parole régional de l'APTS.
«La direction gère cet énorme établissement - où coexistent plusieurs conventions collectives distinctes - en voulant disposer du personnel comme il lui convient. Or, travailler à Granby ou à Mégantic, ce n'est pas la même chose. » Dans ces conditions, les syndiqués s'inquiètent de la prochaine étape de réorganisation clinique, qui leur fait craindre le pire. La prise de médicaments en hausse chez les travailleurs de la santé. La prise de médicaments a grimpé de près de 30% chez les travailleurs du réseau de la santé dans la dernière année, conséquence directe de la détresse et de l'épuisement engendrés par la réforme Barrette, affirme la CSN.
En mars 2015, le montant des réclamations mensuelles s'élevait à 8,5 millions$, alors qu'il se situe aujourd'hui autour de 11 millions $ par mois, a fait état jeudi Louis Proulx, conseiller au comité des assurances de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSS-CSN), qui représente 128 000 employés de la santé à travers le Québec. «La réforme Barrette a un coût social énorme pour les travailleurs du réseau. La détresse psychologique est en hausse, ainsi que les problèmes musculo squelettiques», a signalé M. La periode la plus noire pour les usagers. Les inégalités sociales de santé débutent dès le plus jeune âge. Parler d’« inégalités sociales », c’est reconnaître qu’une partie des écarts observés en termes de santé ne provient pas de causes naturelles, mais de l’influence d’un certain nombre de facteurs économiques et sociaux tels que les revenus, les modes de vie ou encore l’accès aux soins.
Ces différences ont été largement étudiées à l’âge adulte, mais elles s’observent aussi dès le plus jeune âge. L’enfance constitue à ce titre une période particulière en termes de santé dans la mesure où un grand nombre d’habitudes y sont acquises, mais aussi en raison des risques sur le long terme des problèmes de santé des enfants. Lacunes étonnantes dans la compréhension du cancer de l'ovaire. «Alors que des progrès ont été faits ces dernières décennies dans la recherche sur ce cancer, l'essentiel reste à découvrir», constate le professeur Jerome Strauss, doyen de la faculté de médecine de l'Université de Virginie qui a présidé le comité à l'Académie chargé du rapport commandé par le Congrès américain et publié mercredi.
S'étonnant de «lacunes surprenantes dans les connaissances fondamentales et la compréhension du cancer de l'ovaire», les auteurs soulignent également qu'il ne devrait pas être considéré comme une maladie unique, mais plutôt comme une constellation de différentes tumeurs associées à l'ovaire. «Plus on comprendra la biologie des différents types de cancers de l'ovaire ainsi que leur origine dans l'organisme, plus rapidement nous pourrons faire des avancées dans la prévention, le dépistage, la détection précoce, le diagnostic et le traitement», insiste Jerome Strauss. Le Québec ferme la porte à près de 200 médecins français. Un texte de Sophie Langlois Il y a un mois, Radio-Canada révélait que les facultés de médecine du Québec refusent des médecins étrangers compétents, dont les diplômes sont reconnus, même s'il y a des besoins et des places vacantes en résidence.
Nous apprenons maintenant que les médecins français ont aussi beaucoup de difficultés à pratiquer au Québec, malgré l'entente France-Québec signée en 2008, qui devait faciliter l'intégration des médecins des deux côtés de l'Atlantique. L'entente permet aux médecins québécois d'obtenir un permis et de travailler en France en moins de deux mois. Pour les médecins français, les démarches au Québec prennent souvent plus de deux ans, et elles n'aboutissent pas toujours. « En fait, vous nous prenez encore pour ces "maudits Français" », dit en boutade le secrétaire général adjoint de l'Ordre national des médecins français, le docteur Jackie Ahr.
Classification: des ressources familiales se plaignent de revenus moindres. Le Regroupement des ressources résidentielles adultes (RESSAQ), qui représente 1250 membres, a déposé mardi une pétition de 2537 noms à l'appui de sa cause. Il espère rencontrer la ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse et à la Santé publique, Lucie Charlebois, pour lui faire part de ses récriminations face aux effets pervers de ce système de classification sur la rétribution des ressources. «Dans n'importe quel autre domaine de travail, normalement quand tu fais du bon travail avec un client ou pour une compagnie, ils vont te rémunérer en conséquence.
Nous, c'est le contraire. Si ton client va de mieux et mieux et que tu as réussi à faire un rétablissement avec lui, à ce moment-là ta cotation baisse», a critiqué au cours d'une entrevue, mardi, le président du RESSAQ, Réjean Simoneau. M. Il affirme que ses membres ne peuvent pas non plus compenser le manque à gagner en acceptant d'héberger un plus grand nombre de clients. La fin de la gratuité de la procréation médicalement assistée : une injustice en santé ? Au Canada, il est estimé que la prévalence de l’infertilité était de 12 à 16% en 2009-2010[1].
Au Québec, le gouvernement libéral avait instauré la gratuité des traitements de PMA en août 2010. À l’époque, le ministre de la Santé et des Services sociaux Yves Bolduc affirmait : « On va permettre à des parents, à des couples, ou à des personnes qui ne peuvent pas naturellement avoir des enfants, d'avoir un bébé avec de l'aide médicale. IRASD - Le "travail" et la pression fiscale de l'économie...
Quand nos gouvernements cesseront-ils de cibler le corps des femmes? Posted on February, 16 2016 by Action Canada La semaine dernière, les Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis ont diffusé un avertissement directement aux femmes, au sujet de la consommation d’alcool. Cet avis soulignait les risques d’une trop grande consommation d’alcool qui, selon les CDC, incluent : blessures/violence, infections transmissibles sexuellement et grossesses non planifiées. Peu après, l’administrateur en chef de la santé publique du Canada affirmait dans un rapport que « [l]es femmes peuvent être plus vulnérables aux agressions sexuelles ou à d’autres formes de violence lorsque leur consommation d’alcool est trop importante » – négligeant d’inclure des avertissements aux hommes ou quoi que ce soit au sujet des auteurs proprement dits de la violence sexuelle.
Pour ce qui concerne la grossesse (et, en particulier, le corps des femmes), le degré de contrôle que notre culture sociale cherche à exercer est disproportionné par rapport à l’information que nous avons. La lutte au Québec. 28 janvier 2013 : Les 25 ans de la décriminalisation de l’avortement vus du Québec Par la Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN), www.fqpn.qc.ca Mise en contexte … Au Canada, aucune loi ne fait mention de l’avortement avant 1869, date à laquelle le Parlement canadien adopte la Loi sur les infractions contre la personne qui le criminalise et menace d’emprisonnement à vie toute personne qui tente de s’avorter ou de procurer un avortement à une femme.
Security Check Required. Les éclaireurs. Ce magazine, à la fois ludique et rigoureux, traite de consommation et de santé, des sujets qui préoccupent nos contemporains. Sophie-Andrée Blondin et ses collaborateurs, présents durant toute l'émission, déboulonnent les mythes qui ont souvent cours dans ces domaines. Pour en connaître davantage sur la population et ses besoins : des documents à votre portée - Bulletin – CIUSSS MCQ. Pilule abortive, qu’est-ce que ça change?
Dès cette année, les quelque 84 000 Canadiennes qui interrompront leur grossesse auront accès au Mifegymiso, mieux connu sous le nom de pilule abortive. Trop grosse pour se faire avorter? Oui, ça se peut. Pour une loi protégeant les patientes. Les enjeux cachés du méga-traité de libre-échange transpacifique. L’Accord de libre-échange transpacifique paraphé le 5 octobre dernier, à Atlanta, s’est immiscé dans la dernière campagne électorale fédérale au grand bonheur du premier ministre sortant.
Stephen Harper, qui adorait se poser en champion de l‘économie et du libre-échange, espérait en tirer profit pour sa réélection. Arrêtons de laisser mourir les gens! l’AFEAS appelle à l’action ! L’Association féminine d’éducation et d’action sociale (AFEAS) lance aujourd’hui son appel à l’action dans le cadre de sa campagne de mobilisation Les cancers qui touchent les femmes : l’AFEAS appelle à l’action pour combattre l’iniquité au Québec en matière d’accès aux meilleurs médicaments contre les cancers qui touchent les femmes. « On n’a pas le droit de laisser mourir quelqu’un parce ça coute trop cher pour garder la personne en vie.
Cachez ce problème que je ne saurais voir. Depuis 2009. Quand ils ont reçu le signalement, au Protecteur du citoyen, ils sont allés tout de suite sans s'annoncer, «coucou, on est là, on vient voir comment ça se passe chez vous». Atlas sur les Inégalités de Santé et de Bien-Être en Mauricie et Centre-du-Québec. Atlas sur les Inégalités de Santé et de Bien-Être en Mauricie et Centre-du-Québec. Un contraceptif controversé. 7 millions de femmes soignées pour des complications liées à un avortement risqué. Injonction accordée pour repousser les opposants. Pour la quatrième fois, trois cliniques montréalaises viennent d’obtenir une injonction afin d’empêcher les manifestants anti-avortement de brandir des pancartes à leurs portes.
Et elles voudraient maintenant obtenir une loi anti-harcèlement, qui créeraient des zones tampons plus vastes et exposeraient à des peines criminelles les militants indisciplinés. Comme en Colombie-Britannique et dans huit États américains. Un contraceptif controversé.