Sus a la legislation de complaisance. Panama Papers et féminisme. Les «Panama Papers» : ce que cache l’obscurité. Franchement.
« Je ne suis pas », Ils ne sont pas, Nous sommes. Le « je ne suis pas féministe » lancé en mars dernier par la ministre libérale Lise Thériault a déclenché un tourbillon médiatique important.
L’affaire n’a pas mené au remplacement de la ministre de la Condition féminine par une personne reconnaissant – c’est bien le minimum – la nécessité de lutter pour l’égalité entre les hommes et les femmes, soit. Elle aura au moins eu le mérite de déclencher une discussion sur la nature et la pertinence du féminisme, montrant à quel point ce mouvement est des plus dynamiques. Des femmes inspirantes de tous les milieux et de toutes les tendances politiques occupent l’espace public et y font foisonner les débats chers aux diverses branches du féminisme. De dynamiques mouvements communautaires, citoyens ou anonymes (comme #AgressionNonDénoncée) font avancer les revendications féministes dans certains espaces, tandis que d’autres mouvements, plus institutionnalisés ou reconnus, les font avancer ailleurs. Pourquoi ? Paradoxe : l’empathie serait néfaste à la bonne marche du monde. Clic : un «j’aime» pour dénoncer la mise à mort d’un lion par un dentiste ou pour soutenir une campagne d’indignation contre la maltraitance des animaux de boucherie.
Reclic : un «retweet» pour partager avec les siens l’avis de recherche d’une jeune fugueuse, accompagné d’un bien senti : «cauchemar!». Re-re-clic : un drapeau belge ajouté sur la photo de profil de sa page Facebook, par solidarité avec les habitants d’une ville frappée par le terrorisme… Pour un Internet plus ouvert, mais moins surveillé. Pour un Internet libre et ouvert, mais où la vie privée doit être protégée sans compromis.
De passage à Montréal lundi soir, le fondateur de Wikipedia, Jimmy Wales, a rappelé l’importance de maintenir un réseau Internet sans barrières ni contraintes « avec le plus haut degré d’ouverture » et un niveau élevé de concurrence entre les fournisseurs de services et de contenus afin d’enrayer l’assujettissement des internautes à une poignée d’entreprises seulement.
L’homme a également appelé à un débat public sur la protection de la vie privée à l’ère du numérique, pour empêcher l’érosion des libertés civiles par de nouvelles pratiques policières non juridiquement encadrées. Gaël Giraud » Blog Archive » « La fin de la croissance et le conflit des inégalités » Conférence de l'IRIS sur le Revenu minimum garanti. Un revenu social universel garanti – un revenu pour tout le monde. Les membres de la FFQ seront appelées à adopter une position sur le revenu social universel garanti (RSUG) lors de l’Assemblée générale annuelle 2016.
Cette volonté vient des membres qui ont proposé en AGA 2014 et 2015 que la FFQ prenne position sur cet enjeu. par Marie-Hélène Fortier, Rose du Nord Comme moyen de lutte à la pauvreté et inévitablement plusieurs autres problèmes sociaux en découlant, le Front commun des personnes assistées sociales (FCPASQ), a comme projet le Revenu Social Universel Garanti (RSUG). Cette mesure se veut une alternative à plusieurs programmes sociaux incluant la Loi sur l’aide aux personnes et aux familles, plus communément appelé aide sociale.
La mise en application de cette dernière a des conséquences discriminatoires sur les femmes. La question nationale comme vecteur de corruption? Et si la question nationale expliquait une partie du problème de corruption au Québec — et au Parti libéral ?
C’est l’hypothèse avancée mardi par un expert invité au colloque-bilan organisé par l’UPAC pour ses cinq ans d’existence. Un événement tenu sous le signe d’une actualité anticorruption bouillonnante. À chaque mouvement sa date repère : pour l’Unité permanente anticorruption (UPAC), celle du 17 mars est visiblement à marquer d’une pierre blanche. L’économie collaborative. Le Québec, champion mondial de l’économie sociale. L’économie sociale, ou entreprenariat collectif, est une forme d’économie qui n’est pas basée sur le profit, mais plutôt sur le développement de la collectivité.
Les entreprises qui sont basées sur un modèle d’économie sociale redistribuent ainsi les profits au sein de la collectivité, souvent dans le secteur au sein duquel elles évoluent. On retrouve entre autre les coopératives et les organismes à but non lucratif dans cette catégorie. L’économie sociale représente au Québec environ 10% du PIB et plus de 150 000 emplois répartis dans plus de 7000 organismes œuvrant dans une vingtaine de secteurs d’activité, ce qui en fait un modèle d’économie très important.
Ces chiffres ne représentent cependant qu’une partie de l’impact de cette forme d’économie. L’économie sociale influence bien plus que le taux d’emploi et le PIB. La société automatique, par Bernard Stiegler. Association internationale pour une politique industrielle des technologies de l'esprit. Association internationale pour une politique industrielle des technologies de l'esprit.
Le futur, c'était pas mieux avant ? Bernard Stiegler : l'économie de la contribution... ou le chaos ? "La société contemporaine est devenue massivement indigne" du fait des dérives du capitalisme, juge le philosophe Bernard Stiegler dans une interview accordée à l'Express à l'occasion de la sortie de son livre "Pharmacologie du Front National".
Sa thèse ? Le FN entrera au gouvernement dans les années qui viennent, si on n'agit pas rapidement. Pour éviter ce scénario, il propose d'accélérer la mise en oeuvre d'une économie contributive, fondée sur le numérique, seul moyen selon lui de maintenir les savoirs et de valoriser les hommes afin de les éloigner de l'extrême droite. Le problème : un modèle à bout de souffle Si les Français sont 40% a se déclarer en accord avec les idées du Front National, c'est qu'ils "savent très bien que le modèle du XXe siècle est épuisé et attendent des responsables politiques un discours clair sur ce point".
"Quand on est maltraité, on tend à maltraiter plus faible que soi. L’économie collaborative. La consommation collaborative. Les détracteurs de la consommation de masse à l’occidentale ont toujours peiné à faire entendre leur voix. Depuis sa diffusion au début des années soixante, et malgré les critiques, un demi-siècle s’est écoulé sans changement majeur. Seuls les objets de désirs se sont en partie déplacés – moins d’alimentation et d’habillement, plus de communication, de transports et de loisirs. Les dépenses individuelles de masse structurent toujours notre économie et orientent nos représentations sociales. Groupe de réflexion sur l'équité intergénérationnelle. L'IEDM, féministe? Mais jouons le jeu.
Portons notre regard à l’international. Dans leur recherche d’à peine deux pages, on nous dit que la clé pour l’émancipation des femmes est la liberté économique. Pour mettre cela en évidence, les deux auteures prennent le palmarès des pays selon leur liberté économique et le compare avec les conditions de vie et les déterminants sociaux de santé. Ils nous expliquent ensuite que les pays avec le moins de liberté économique sont aussi ceux où il est le plus dur être une femme, et vice versa.
Sans surprise, une femme a plus de chance d’avoir une meilleure santé, une meilleure éducation, un meilleur emploi et une meilleure situation financière si elle vit dans un pays qui lui permet de poursuivre ses études aussi longtemps qu’elle le souhaite, de faire carrière dans le domaine de son choix et d’être couverte par des lois qui reconnaissent que son existence a la même valeur que n’importe quel autre individu. Qu’ont-ils en commun? Les attaques au rôle politique du communautaire – MÉPACQ.
Mémoire du MÉPACQ à la Commission populaire du RQ-ACA.
Le milieu de l’action communautaire autonome fait face, depuis plusieurs années, à une multitude d’attaques réduisant de plus en plus son champ d’action politique et son autonomie en plus d’être maintenu dans des conditions de sous-financement inacceptables. Ainsi, l’État, qui est beaucoup plus intéressé par les services offerts par les organismes qu’à leurs actions politiques visant à s’attaquer aux causes des problèmes sociaux, tente de limiter au maximum leur rôle de transformation sociale. Lettre commune au sujet de la réponse du Canada à la liste de points du PIDESC.
Posted on February, 22 2016 by Action Canada Mesdames les ministres Wilson-Raybould, Bibeau et Joly, Monsieur le ministre Dion, Nous vous écrivons au nom d’organismes de la société civile présents à Genève pour participer à l’examen du rapport du Canada sur le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels. Nous sommes profondément déçus que le Canada réitère une position déjà prise en 1998 à l’effet que la Charte des droits et libertés ne protège pas l’ensemble des droits économiques, sociaux et culturels.
Ceci se reflète dans le paragraphe 3 de la réponse du Canada à la liste de points du Comité. Ce paragraphe informe le comité que le gouvernement n’interprète pas la Charte des droits de façon à y inclure la protection complète des droits économiques et sociaux des personnes les plus vulnérables au Canada. Le temps est venu de reconnaître et de protéger les droits économiques, sociaux et culturels. Les lacunes du Canada relatives à la défense des importants droits économiques, sociaux et culturels (ESC) seront mises sous les projecteurs les 24 et 25 février prochains, lors du premier examen de l’ONU en dix ans, du dossier du Gouvernement en matière de respect du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels. Cet examen sera réalisé par le Comité des droits économiques, sociaux et culturels de l’ONU.
Monsieur Alex Neve, le secrétaire général d’Amnistie internationale Canada section anglophone, a déclaré : « La protection des droits économiques, sociaux et culturels au Canada s’est considérablement détériorée au cours des dix dernières années, mais elle était déjà défaillante plusieurs années avant cela. Le projet de loi 70 va-t-il aggraver les inégalités au Québec? Les jeunes seront les plus durement touchés par le projet de loi 70...
Photo: DR Un montant annuel de 50 millions de dollars. C'est ce que le nouveau ministre de l'Emploi et de la Solidarité sociale François Blais - et avant lui son prédécesseur Sam Hamad - espère faire faire comme économies au Québec en serrant la vis aux bénéficiaires de l'aide sociale. Et ce, grâce au projet de loi 70, qui prévoit notamment de réduire de moitié les prestations des nouveaux bénéficiaires qui rechigneraient à se plier aux démarches d'emploi imposées par le ministère, voire de carrément supprimer toute aide en cas de refus d'une offre d'emploi «convenable» (sans que ce terme soit clairement défini dans le projet de loi!). Une réflexion m'est venue à l'esprit lorsque je me suis penché sur les auditions publiques qui ont eu lieu ces dernier jours à l'Assemblée nationale : «Le ministre Blais voit briller devant ses yeux des millions de dollars d'économies.
Le projet de loi 70 va-t-il aggraver les inégalités au Québec? École au Québec: Progrès et inertie d'un système scolaire (1867-1945) Dès 1867, la formation de la Fédération canadienne introduisit de nouvelles règles du jeu qui ont modifié profondément le visage du système scolaire québécois. Colloque aux HEC : Comment favoriser la sous-traitance et la privatisation du système public de services sociaux et de santé. De l’argent vert pour un géant pétrolier. Présentation des axes thématiques du Forum social mondial à Montréal. Les obstacles au bénévolat et au militantisme. L’auteur est militant à l’Association québécoise pour la défense des droits des retraités (AQDR) Conclusion d’une intervention au Forum solidarité et engagement, organisé par l’Institut Mallet à l’Université Concordia le 14 octobre 2015. La troisième et dernière partie de ma présentation décrit deux nouveaux obstacles récents au bénévolat, au militantisme et à la participation sociale des aînés. Des organismes accusent Québec de privatiser en douce les soins de longue durée.
Aînés en perte d'autonomie : « L'État se désengage » Qui crée la richesse au Québec? Financement prive pour realiser des missions de lEtat. Anticosti, évaluation environnementale et rentabilité. Uncovering Women in Taxation: The Gender Impact of Detaxation Ta. 00000127. Income_Inequality_Fact_Sheet. Reports & Studies. By Lars Osberg October 29, 2015 | National Office by Iglika Ivanova, Marc Lee October 27, 2015 | BC Office. The Wealth Gap: Perceptions and Misconceptions in Canada. Wealth Inequality in Canada. Finances publiques du Canada: le pays est cassé comme un clou. CRSA - Centre de Recherche Sociale Appliquée - Bienvenue. Rendez-vous stratégique sur les inégalités sociales - Institut du Nouveau Monde. Économie et externalités : Les profits et les pertes dont on ne parle pas.
Les inégalités de richesse au Québec. Tax Freedom Day Canada 2015 movie trailer. Fini les dettes d'études à Terre-Neuve-et-Labrador. Le retour des communs – La crise de l’idéologie propriétaire.