Je suis une pute. Imaginez... > Thierry Schaffauser sera au Forum «Le corps, quel engin !»
Organisé par Libération à Montpellier les 8 et 9 novembre. Plus d’informations ici. Imaginez que vous ayez le droit de travailler mais que tous les moyens pour exercer votre travail soient interdits. Le travail du sexe contre le travail. Alors que dans les pays anglophones, le terme de « sexwork » est devenu tout à fait courant, on constate de grosses réticences à parler de « travail sexuel » chez les intellectuel-le-s et militant-e-s francophones.
Que ce soit chez les prohibitionnistes pour qui la prostitution n’est ni un métier ni un travail mais une violence, une atteinte à la dignité des femmes – comme si le « travail » et la « violence » s’excluaient mutuellement – ou chez celles et ceux qui, à l’exemple de Lilian Mathieu, s’opposent à cette prohibition tout en conservent un certain « scepticisme devant la revendication d’une reconnaissance du “travail du sexe”» : ce refus de parler de travail du sexe semble symptomatique des difficultés que rencontrent notamment une partie de la gauche et des féministes à penser le travail des femmes. Si la thématique suscite certes un intérêt croissant, ces difficultés ne sont pas nouvelles. Toute vérité est bonne à dire : témoignage de Sylviane sur son expérience de la prostitution. Je lis vos échanges sur la prostitution depuis quelques semaines et ça me fait bien réfléchir au point où on en est dans notre monde fucké.
Je ne trouve pas que vous dites toute la vérité et avant que vous me disiez de me la fermer parce que je ne serais pas "du milieu", je me présente. Je suis une ex, j’ai commencé à 13 ans initiée par mon petit ami de 20 ans qui avait besoin d’argent pour sa dope et ses études. Pendant deux ans, j’ai été sa vache à lait si l’expression ne choque pas trop sur ce distingué site...
Colloque "Handicap, Affectivité, sexualité, dignité" - Sexualité, intimité : ni violence, ni marché ! Lettre ouverte à madame Véronique Dubarry, Adjointe au Maire de Paris en charge des personnes en situation de handicap, monsieur Ryadh Sallem, président de CQFD copie à monsieur Bertrand Delanoé, Maire de Paris madame Fatima Lallem, Adjointe chargée de l’égalité femmes/hommes monsieur Marcel Nuss, Parrain du colloque Parler de la vie sexuelle et affective des personnes handicapées, lever un tabou… Si le colloque du 26 novembre organisé à la Mairie de Paris Handicap : Affectivité, sexualité, dignité avait vraiment cet objectif, ce que laisse entendre une partie du programme, nous ne pourrions que nous en féliciter.
Mais certaines associations de femmes handicapées, connues pour dénoncer les violences faites aux femmes, manquent à l’appel.
Payer pour 'ça', c'est nul ! Encore féministes ! Action n° 8. LETTRES DE MEMBRES DU RÉSEAU "ENCORE FÉMINISTES !
" + Réponse de Nicole Ameline, Ministre déléguée à la Parité et à l'Egalité Professionnelle, 6 août 2002 Gaëlle Coudurier-Abaléa, 3 juillet 02, à Madame Ameline, ministre déléguée à la Parité et à l’Egalité professionnelle Madame la Ministre déléguée, Je vous écris au sujet des déclarations de Françoise de Panafieu, députée UMP, en faveur de « maisons closes » pour la prostitution. Encore féministes ! Dossier de presse penalisation clients. Encore féministes ! Encore féministes ! prostitution. Tract « Je paie, donc j’ai le droit… » NON aux « viandards » !
La prostitution, ça NOUS regarde ! Le corps d’un être humain n’est ni un jouet, ni un outil, ni une marchandise, parce qu’il n’est pas un objet : il est le corps d’une personne. Les demandes des « viandards », ces millions d’hommes qui paient pour un acte sexuel, justifient la prostitution et les trafics, régis ou récupérés par des réseaux criminels internationaux. Ces « viandards » sont nos pères, nos maris, nos frères, nos voisins. Ils louent l’accès à un sexe, à un corps humain ; ils ne se préoccupent pas de ce que la personne prostituée vit ou ressent ; ils la paient pour l’utiliser comme de la viande. Nous espérons en l’amélioration de l’humanité. Encore féministes ! Voici une synthèse par Richard Poulin, professeur de sociologie à l’Université d’Ottawa, de son livre La Mondialisation des industries du sexe (éd.
Interlignes, Québec ; éd. Encore féministes ! Encore féministes ! Pour sortir du silence…à l’occasion de l’anniversaire de l’adoption par les Nations Unies de la Convention sur la traite des êtres humains et l’exploitation de la prostitution d’autrui le 2 décembre 1949*, de l'anniversaire le 10 décembre de la Déclaration universelle des droits de l'homme*, et de la première manifestation européenne (française) de féministes contre la prostitution le 10 décembre 2002 à Paris. *56 pays ont ratifié la Convention dont l’Algérie en 1963 *tous les pays membres des Nations Unies y adhèrent de facto Wassyla Tamzali, Ex-directrice des droits des femmes à l'UNESCO Il est des sujets que l’on entoure de silences comme certains secrets de famille et qui lient les uns et les autres d’une génération à l’autre.
Encore féministes ! Les textes les plus récents sont en premier.
De nombreux mouvements, associations et partis appellent à des manifestations contre le projet de loi Sarkozy samedi 11 janvier 2003. Titre de l’appel : « Contre la pauvreté, pas contre les pauvres. Défendre les libertés ». Ce projet de loi pour la sécurité intérieure, déjà adopté par le Sénat, sera soumis au vote de l’Assemblée Nationale le mardi 14 janvier 2003.
Il comprend des dispositions sur la prostitution qui nous semblent dangereuses pour les libertés publiques. Le Collectif national des droits des femmes, dont est membre le réseau "Encore féministes ! " Mesdames et Messieurs les députés, Le 14 janvier 2003, le projet de loi pour la sécurité intérieure sera présenté en première lecture à l’Assemblée Nationale. Nous nous inquiétons des termes et mesures introduits dans les articles 18 et 29 au sujet du racolage et de la protection des victimes de la traite. Voici les extraits des articles sur lesquels portent nos demandes. Article 18 1. Encore féministes ! Dworkin.