Ok pour la sauvegarde… et si on parlait restauration ? En l’espace de deux décennies, la richesse de l’entreprise a basculé de sa capitalisation immobilière, principalement composée de la valorisation de ses actifs immobiliers, à ses données et sa capacité à les traiter pour générer de la valeur.
Aujourd’hui, selon Nathalie Malicet, vice-présidente de la commission numérique et innovation à la Compagnie nationale des commissaires aux comptes (CNCC), la donnée représente plus de 80% de la valeur des entreprises. Surtout que, dans le même temps, nous nous sommes engagés dans la transformation numérique, qui change nos paradigmes et nos modèles économiques, ainsi que les environnements technologiques - avec le big data et les analytiques, l’IA (Intelligence Artificielle) et l’IoT (Internet des Objets) - qui tous désormais reposent sur la donnée. Cela mérite bien que l’on s’intéresse à la sécurité des données. Microsoft continue de s'adapter à la demande croissante de ses services cloud.
Microsoft continue de répéter qu'elle s'efforce d'augmenter sa capacité en termes de Cloud, afin de pouvoir répondre à la demande croissante des services Azure et des autres services Cloud Microsoft.
L'entreprise a déjà indiqué avoir donné la priorité aux professionnels de la santé et autres collaborateurs en première ligne. Elle a également restreint certains services moins essentiels afin de maintenir le rythme. Le 23 avril, Microsoft a fait part de mesures supplémentaires mises en place pour pouvoir répondre à la demande. Des améliorations d'infrastructure. EDF se lance dans le Cloud computing et les projets blockchain. Le numérique est un secteur énergivore.
Selon l'Ademe, les datacenters pourraient représenter 13 % de l'électricité mondiale en 2030, et 51 % pour le secteur informatique dans sa totalité, soit respectivement l'équivalent de 1 130 et 4 400 réacteurs nucléaires. Revendiquant une démarche écoresponsable, EDF se lance dans le Cloud computing pour revendre ses ressources informatiques de Cloud et de stockage inutilisées.
Via sa filiale Exaion, le groupe annonce une offre de "Blockchain as a service" (BaaS), ainsi qu'un hébergement de datacenters en containeurs. Par ailleurs, il lancera fin 2020 un service de coffre-fort sécurisé pour des portefeuilles de crypto-actifs. Ces services s'adresseront aux « entreprises de toutes tailles, ayant un fort besoin de puissance de calcul pour leurs projets numériques » précise le groupe dans un communiqué. « Exaion accompagne le développement d'une économie numérique sans transiger ni sur la sécurité ni sur l'impact environnemental.
Le Cloud computing est plus coûteux, plus compliqué et plus frustrant que prévu, mais toujours essentiel. La migration vers le Cloud semble être sur la liste des tâches de tous les DSI ces jours-ci.
Mais malgré le battage médiatique, près de 60 % des entreprises britanniques pensent que le Cloud a fait l'objet de promesses excessives et d'attentes insuffisantes, selon un rapport commandé par la société de conseil Capita. L'étude a été menée auprès de 200 décideurs informatiques au Royaume-Uni, et a révélé que neuf personnes interrogées sur dix ont admis que la migration vers le Cloud avait été retardée dans leur organisation en raison de « facteurs imprévus ».
En moyenne, les entreprises ont commencé à planifier leur migration vers le Cloud en 2015, et ont lancé le processus en 2016. Selon le rapport, une raison s'est clairement dégagée comme étant le facteur qui a poussé à adopter le Cloud computing : 61 % des entreprises ont commencé à le faire principalement pour réduire les coûts liés à la conservation des données sur site. 5 % ont effectué leur migration vers le Cloud avec succès. Pourquoi le cloud devient un passage obligé pour les entreprises. Hyperfonctionnel et économique, le cloud computing devient la solution privilégiée par de plus en plus d’entreprises, partout dans le monde.
Avec lui, plus besoin d’acheter des serveurs et de mettre à jour logiciels et systèmes d’exploitation. A ses fonctions de sauvegarde, de mise en réseau et d’analyse de données (voire de mégadonnées ou big data), d’accès à des applications bureautiques standard, mais aussi d’exécution de systèmes opérationnels plus complexes (à l’instar d’un service de diffusion vidéo en continu comme Netflix), s’ajouteront bientôt des interactions améliorées avec les objets connectés grâce aux progrès de l’intelligence artificielle et une meilleure communication M2M («machine to machine»).
Cloud computing : connaître les risques et savoir l'utiliser. L'informatique dans les nuages, le cloud computing, modifie notre façon de conserver les données en les déplaçant de notre disque dur à internet.
Quelles sont les risques et les précautions à prendre pour se protéger ? Le vol de données (piratage) Le risque de piratage n'est pas nouveau et existait déjà bien avant qu'on évoque le cloud computing. Mais cette nouvelle façon de gérer les fichiers facilite le travail des pirates. Alors qu'ils devaient auparavant s'introduire dans un réseau d'entreprise ou sur l'ordinateur d'un particulier pour accéder à des données, il leur suffit maintenant de trouver les identifiants d'un compte en ligne.