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L'Enlèvement de Proserpine Comme de nombreuses œuvres de jeunesse du Bernin, la sculpture est une commande du cardinal Scipione Caffarelli-Borghese. Commencé en 1621, le groupe sculpté est achevé l'année suivante. Peu de temps après, la statue est donnée par Scipione au Cardinal Ludovisi qui la transfère dans sa villa. Achetée par l'État italien, elle retourne à la villa Borghese en 1908[1].
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « The Rape of Proserpina » (voir la liste des auteurs). Artemisia Gentileschi. Artemisia Lomi Gentileschi Autoportrait en Allégorie de la peinture 1638-1639, Royal Collection, Windsor signature Artemisia Lomi Gentileschi, née le 8 juillet 1593 à Rome et morte à Naples vers 1656, est une artiste peintre italienne de l'école caravagesque.
Vivant dans la première moitié du XVIIe siècle, elle reprend de son père Orazio la limpide rigueur du dessin en lui ajoutant une forte accentuation dramatique héritée de l'œuvre du Caravage et chargée d'effets théâtraux, ce qui contribua à la diffusion du caravagisme à Naples, ville dans laquelle elle s'installe en 1630. Elle devient une peintre de cour à succès, sous le patronage des Médicis et de Charles Ier d'Angleterre. Remarquablement douée et aujourd'hui considérée comme l'une des premières peintres baroques, l'une des plus accomplies de sa génération, elle s'impose par son art à une époque où les femmes peintres ne sont pas facilement acceptées. Biographie[modifier | modifier le code] Marie Madeleine, 1621-1622. et il ajoute : La Laitière (De melkmeid) La Laitière (Het melkmeisje ou De melkmeid en néerlandais) est un tableau de Johannes Vermeer, dit Vermeer de Delft (huile sur toile, 45,5 × 41 cm), peint vers 1658, et exposé depuis 1908 au Rijksmuseum d'Amsterdam[1].
L'œuvre compte parmi les plus célèbres de Vermeer, et même de l'histoire de la peinture — son utilisation à des fins commerciales n'étant sûrement pas étrangère à sa grande popularité en France. Unique tableau de Vermeer prenant comme sujet principal une femme d'humble condition (il traitera le sujet féminin sous d'autres aspects, notamment avec La Jeune Fille à la Perle), cette scène de genre suggère le calme et la tranquillité des travaux domestiques dans l'atmosphère saine et paisible d'une encoignure de pièce. Une douce clarté partage l'espace entre zones d'ombre et de lumière, et vient illuminer la nature morte de la table du premier plan, notamment le pain dans la corbeille, constellé de petites touches lumineuses. Un modèle de vertu ? Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autoportrait signature Judith Jans Leyster ou Leijster, née le 28 juillet 1609 à Haarlem et morte le 10 février 1660 à Heemstede, est une peintre néerlandaise. Judith Leyster s’est exprimée dans une variété de sujets tels que les sujets de genre, les portraits et les natures mortes. Elle a particulièrement innové dans le domaine des scènes domestiques avec ses scènes paisibles de femmes à la maison, dont le thème ne deviendra populaire en Hollande que dans les années 1650.
Biographie[modifier | modifier le code] Elle est la huitième enfant du brasseur Jan Willemsz et sa femme Trein Jaspersdr qui en auront neuf. Le 1er juin 1636, Judith se marie avec le peintre Jan Miense Molenaer, a trois enfants, et met fin à sa carrière de peintre pour s'occuper de sa famille. En 1659 elle tombe malade et meurt en février 1660.
Leyster et Hals[modifier | modifier le code] Quoique estimée à son époque, Leyster tombe dans l'oubli après sa mort. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Son intérêt ludique réside dans les multiples combinaisons, dans l’importance des prises de décisions et dans ses règles très abouties. Il demande une attention permanente de la part des joueurs que ce soit ou non à leur tour de jouer. Son vocabulaire, très riche[1] et qui peut paraître désuet pour ceux qui ne pratiquent pas le jeu, se retrouve fréquemment dans la littérature française. Historique du jeu[modifier | modifier le code] Le trictrac est un jeu de société qui était très en vogue en France aux XVIIe et XVIIIe siècles, à la cour et dans les milieux aristocratiques.
Le plus ancien traité sur le trictrac a été écrit par Euverte Jollyvet, avocat au parlement de Paris, en 1634[4] dans le but de standardiser les règles du jeu qui devaient se transmettre alors par tradition orale. Le dernier traité d’importance a été publié en 1852[6]. Ancienneté et origine géographique du jeu de trictrac[modifier | modifier le code] Judith Leyster.