Official Website of Sampat Pal Devi founder of the Gulabi Gang, Gulabi Gang, Sampat Pal, Women for Social Justice in Uttar Pradesh, India's pink vigilante, Indian Rural Areas. Conference on Earth Democracy: Women, Justice, and Ecology. Gulaab Gang. Vandana Shiva. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Vandana Shiva (Dehradun, Uttaranchal, Inde, 5 novembre 1952 - ) est une écologiste, écrivain, et féministe indienne. Vandana Shiva dirige la « Fondation de la recherche pour la science, les technologies et les ressources naturelles » (Research Foundation for Science, Technology and Natural Resource Policy). Vandana Shiva est récipiendaire du prix Nobel alternatif en 1993. Biographie[modifier | modifier le code] Après avoir obtenu une licence en physique, Vandana Shiva a poursuivi ses études par un master de philosophie des sciences Université de Guelph, couronné par un doctorat dans la même discipline décerné en 1978 par l'Université de Western Ontario. Sampat Pal Devi. Arundhati Roy. Gulaab Gang. Gulaab Gang is a 2014 Indian crime drama film centered on the struggle of women in the country, directed by Soumik Sen and produced by Anubhav Sinha.
It stars Madhuri Dixit and Juhi Chawla. The official trailer was released on 10 January 2014.[2] The film was released on 7 March 2014. Upon its release the film received positive-to-mixed reviews from critics; however, the critics raved about Chawla's performance in the film, calling it the best performance of the year.[3] Despite this, the film turned out to be a box office flop. Plot[edit] The Gulaab Gang members are activists and vigilantes in Bundelkhand Uttar and Madhya Pradesh.,[4] They wear pink sarees and take up issues like domestic violence, the dowry system, rape, electricity matters, and education.
Cast[edit] Madhuri Dixit as RajjoJuhi Chawla as Sumitra Devi[5]Tannishtha Chatterjee as KajriDivya Jagdale as MahiPriyanka Bose as SandhyaLata S. Casting[edit] "Actually, there were two reasons to cast Juhi Chawla for the film. Gulaab Gang - Official Trailer. Mauj Ki Malharein Official Song Extended Version. Féminisme « progressiste » - Des anthropologues exaltent l’excision - Point de Bascule Canada. Le New York Times a rapporté que l’American Anthropological Association tenait un congrès international à Washington en fin de semaine dernière.
Des experts critiquent la campagne contre l’excision, y voyant une forme d’impérialisme culturel des féministes occidentales. Le congrès met de l’avant une « troisième vague » représentée par des « féministes multiculturalistes » favorables à l’excision, et créé un « espace discursif émergent » pour des opinions jusque-là ignorées dans le débat mondial sur l’excision. Les femmes africaines doivent-elles être autorisées à continuer la pratique de l’excision?
Les critiques de cette pratique sont-ils justifiés de lutter pour la bannir ou font-ils plutôt preuve d’ignorance et d’impérialisme culturel? Des délégués d’organisations internationales opposés à l’excision ont débattu de cette question avec des anthropologues aux vues opposées, y compris des anthropologues d’origine africaine elles-mêmes excisées. Motifs justifiant l’excision Lire aussi: Écoféminisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L’écoféminisme est une philosophie et un mouvement nés de l’union des pensées féministes et écologistes. Pour ce mouvement, le comportement de domination et d’oppression des femmes est le même que celui qui contribue au saccage environnemental. Histoire[modifier | modifier le code] Dans les années 1970, des villageoises indiennes avaient fondé le mouvement Chipko, un mouvement de protestion contre la déforestation, exemplaire d'une action écoféministe avant la lettre. Le terme écoféminisme fut publié pour la première fois en 1974 dans le livre de Françoise d'Eaubonne : « Le féminisme ou la mort » mais ses principes auraient déjà été énoncés en 62 par Rachel Carson, dans son livre Silent spring (« Printemps silencieux ») qui par son retentissement, contribua à l'interdiction du DDT aux États-Unis.
Des statistiques sur le viol… qui oublient les pays musulmans, mais placent la Suède en 3e position. Nf-002_4879. Le triste sort des femmes mexicaines. La violence que subissent les femmes est un problème endémique dans de nombreuses régions du monde.
Au Mexique, la situation est particulièrement inquiètante. Les résultats d'un sondage effectué en 2006, sur lequel s'appuie un rapport d'Amnesty International rendu public ce vendredi, sont pour le moins alarmants. Selon l'Enquête nationale sur la dynamique des relations dans le foyer, une femme sur quatre subit des violences physiques ou sexuelles de la part de son compagnon. Et, plus effarant, 82% d'entre elles ne se plaignent du sort qu'elle subissent. Les exemples de la violence subie au quotidien sont légion au Mexique. "Venez avec un bleu, nous ferons quelque chose" L'histoire de Marcela est révélatrice de cette indifférence que manifestent les pouvoirs publics à leur égard. Mexique : un pas devant, deux pas derrière.
Entre une première candidate aux élections présidentielles et des féminicides qui perdurent dans le nord du pays, le Mexique avance lentement sur la route de la condition féminine.
Et ce n’est pas le mouvement féministe, fragmenté, qui lui donnera de l’élan… « Quel mouvement? » C’est par cette question que me répond la spécialiste du Mexique Marie France Labrecque lorsque je lui demande de me décrire le mouvement féministe mexicain actuel. L’interrogation de la professeure émérite du Département d’anthropologie de l’Université Laval trouve écho dans les propos de Marta Lamas, l’une des leaders féministes les plus importantes du pays de Frida Kahlo. « Non, il n’existe pas de mouvement uni. Sisyphe - L’essor des femmes d’Afrique subsaharienne. Le choix de commencer cet article par cette remarque m’a semblé nécessaire.
Il part de la dénonciation d’une attitude qui déteint sur les femmes africaines. Quand on parle de ces femmes, c’est souvent par généralisation, oubliant toute la pluralité qui gravite autour d’elles. Cette démarche, sans doute commode sur le plan intellectuel, est réductrice car désormais, ce qui est mis en avant, c’est "ce qui peut susciter une réaction chez l’autre". Femme entravée, privée de ses libertés fondamentales, femme-martyre dans une Afrique exsangue où règnent la misère et la violence, femme sans instruction… C’est ainsi que l’Africaine que je suis se perçoit dans la plupart des études. La femme africaine : bête de somme... ou superwomen. Les femmes africaines n'ont pas la partie facile : pourtant elles représentent, par leur travail acharné et leurs modes d'organisation astucieux, les premiers agents économiques et sociaux du continent noir.
Il vaut mieux naître femme en Afrique qu'en Asie. Cette affirmation peut surprendre de prime abord lorsque l'on a présente à l'esprit la formule employée par des générations de géographes, à commencer par le grand tropicaliste Pierre Gourou : « La femme est la bête de somme de l'Afrique. » Cette affirmation est toujours vraie.
Mais aujourd'hui, ce sont les femmes qui, concrètement, tiennent les leviers de commande du continent. C'est tout le paradoxe du statut de la femme en Afrique. Il est désormais établi que naître femme dans une grande partie de l'Asie est une malédiction : en Inde, la femme souffre de discriminations à tous les âges de la vie... lorsqu'elle a la chance de pouvoir grandir. Catherine Coquery-Vidrovitch : "Les Africaines sont en lutte perpétuelle" Pour l'historienne Catherine Coquery-Vidrovitch, les Africaines restent le moteur des sociétés.© Vincent Fournier pour J.A.
Porteuses de changement, les femmes sont, bien souvent, le moteur des sociétés africaines. C'est ce que nous explique l'historienne française Catherine Coquery-Vidrovitch à l'occasion de la journée du 8 mars, qui leur est consacrée.