Alain Tanner. Ursula Meier. Née en 1971 à Besançon (France), de nationalités suisse et française, Ursula Meier suit des études de cinéma en section Réalisation de 1990 à 1994 à l'Institut des Arts de Diffusion (IAD) en Belgique, où elle obtient son diplôme avec Grande Distinction.
Les succès de son court métrage de fin d'études Le songe d'Isaac, puis celui des Heures sans sommeil,lui permettent de se consacrer à ses propres réalisations, tout en travaillant parallèlement comme seconde assistante sur deux films d'Alain Tanner Fourbi et Jonas et Lila, à demain. Dans son travail de réalisatrice, Ursula Meier alterne aussi bien les fictions qui jouent avec les genres que les documentaires singuliers, aux univers aussi différents qu'Autour de Pinget ou Pas les flics, pas les noirs, pas les blancs. Frédéric Mermoud. Né en 1969 à Sion, Frédéric Mermoud décroche une Licence de Lettres et un DES en philosophie du langage à l'Université de Genève.
Il entreprend ensuite une formation de réalisateur à l'Ecole cantonale d'art de Lausanne (DAVI) dont il sort diplômé en 1999. Durant cette période, il réalise deux courts métrages remarqués: Son jour à elle et Les électrons libres, primé au festival de Locarno en 1999 et sélectionné dans une vingtaine de festivals. Il renoue en 2003 avec le court métrage en signant L'escalier, Prix du cinéma suisse 2004, primé 18 fois et présenté dans une quarantaine de festivals. La même année, il réalise son premier téléfilm Bonhomme de chemin, Prix du meilleur téléfilm suisse au Festival de Genève Cinéma Tout Ecran 2004. En 2006, il réalise Rachel, présenté sur la Piazza Grande et dans une vingtaine de festivals, dont Clermont-Ferrand (en compétition).
Lionel Baier. Lionel Baier naît en 1975 à Lausanne dans une famille suisse d'origine polonaise.
Dès 1992, il programme et cogère le Cinéma Rex à Aubonne. Michel Soutter. Claude Goretta. Il y a une année à peine, j’ai pris un café sur une terrasse de Locarno avec Gilles Pache, directeur des Programmes de la Radio Télévision Suisse (RTS).
Le but de cette conversation était d’examiner les collaborations possibles entre nos deux institutions. Je lui ai fait part de mon souhait de réaliser, au sein de la Cinémathèque suisse, un travail de longue haleine pour préserver et mettre en valeur le travail de nos cinéastes majeurs. Il m’a confirmé son désir de faire la même chose. Et Claude Goretta s’est tout de suite imposé comme une évidence. Parce que son oeuvre est exceptionnelle, mais qu’elle n’a sans doute pas eu toute la gloire qu’elle mérite. Le café achevé, la décision était prise. Avec le Pass Goretta (40 francs), entrée libre à toutes les séances de la rétrospective du 1er novembre au 31 décembre 2011 et 10 francs de réduction sur le prix du double DVD Goretta édité par la Cinémathèque suisse et la RTS. Richard Dindo. Navigation Service-Navigation Sprach-Navigation Suche News «La vanité» nommé au Prix Lumières 2016 «Heidi» – Un classique du cinéma suisse part à la conquête du monde SWISS FILMS Rétrospective: la jeune génération suisse ainsi que des coproductions prestigieuses ont marqué l’année cinématographique 2015.
Markus Imhoof. Christoph Schaub. Marthe Keller. Destinée à devenir une danseuse classique de talent, Marthe Keller voit son rêve brisé à l'adolescence après une mauvaise chute.
La jeune Suisse décide alors de devenir comédienne, fréquentant au milieu des années 60 les cours de l'Ecole Stanislavsky de Munich. En ce tout début de carrière, elle partage son temps entre l'Allemagne et la France, entre la scène (Un jour dans la mort de Joe Egg), le grand écran (Mes funérailles à Berlin puis Le Diable par la queue et Les Caprices de Marie, tous deux signés Philippe de Broca, son compagnon de l'époque) et la télévision (La Demoiselle d'Avignon) qui la révèle au grand public en 1972. Marthe Keller décide de s'installer aux Etats-Unis au milieu des années 70 pour entamer une carrière hollywoodienne. Celle-ci démarre sur les chapeaux de roue, avec le thriller Marathon Man (1976), qui la voit côtoyer Dustin Hoffman, puis avec Bobby Deerfield (1977), où elle donne la réplique à Al Pacino, et le Black sunday (id.) de John Frankenheimer. Jacqueline Veuve. Bettina Oberli. Andrea Staka. Born in 1973 in Lucerne, Switzerland. 1993-98 Attends ZHdK (Zürcher Hochschule der Künste), Film and Video Department. 1998 Receives degree from ZHdK.
Receives numerous awards for “Hotel Belgrad” and “Yugodivas”. 2006 Awarded Golden Leopard in Locarno for “Das Fräulein”. 2007 Swiss Film Award, Best Screenplay for “Das Fräulein”. 2007 Cofounds Okofilm Productions together with director and producer Thomas Imbach. Member of the European Film Academy. Geboren 1973 in Luzern, Schweiz. 1993-98 ZHdK (Zürcher Hochschule der Künste), Studienbereich Film/Video. 1998 Diplom ZHdK. Ihre Filme «Hotel Belgrad» und «Yugodivas» wurden mehrfach ausgezeichnet. 2006 Goldener Leopard des Filmfestivals Locarno für «Das Fräulein». 2007 Schweizer Filmpreis, Bestes Drehbuch für «Das Fräulein». 2007 Gründung Okofilm Productions mit Regisseur und Produzent Thomas Imbach.