Filmographie. 1 Réédité en 1994 par Actes sud dans la collection de L’Institut Lumière.
Francis Lacassin y corrige (...) 2 Emmanuelle Toulet, « le Cinéma comique de la Belle Époque (1908-1914) », 1895, n°1, 1986. 1On doit les premières recherches sur les séries comiques à Francis Lacassin, décédé voici deux ans, le 12 août 2008. Après de nombreuses années passées à hanter les cinémathèques (Toulouse, Bruxelles, Paris, Lausanne et bien d’autres…), sa cinéphilie nomade l’a porté à éditer en 1972 Pour une contre-histoire du cinéma1, véritable livre de référence pour de nombreux cinémathécaires : à l’inverse d’une histoire du cinéma imprégnée par la politique, l’esthétique, et les grands mouvements officiels, il y développe une approche radicalement historique, humaine et thématique, rompant avec les usages et les codes habituels. 4Enfin, je remercie tout particulièrement Noëlle Huard de Jorna et Patricia Novillo (Archives françaises du film-CNC), ainsi que Laurent Guido pour leur aide et leurs conseils.
25 Essential Films For An Introduction To New Brazilian Cinema. Brazil has a long tradition in moviemaking: the art was introduced to the country in the early twentieth century, and during the first decades emerged local cycles in key states.
The Best Documentaries of All Time. Introduction The new Sight & Sound Documentary Poll is the result of a ‘why didn’t we think of that before’ moment.
In the light of the amazing recent success and cultural impact of several nonfiction films, a group of curators, myself included, were chewing over what the BFI might do specifically for documentary films and television. It soon became obvious that we were not sure exactly what it was that we were trying to discuss. I’m usually loath to do anything that takes lustre away from Sight & Sound’s ten-year poll of the Greatest Films of All Time but a new poll seemed to me the most obvious solution to getting a full view of the documentary canon. What’s remarkable about the Top 50 documentaries list is that it feels so fresh. The top 50 1. Dziga Vertov, USSR 1929 (soundtrack here by Michael Nyman) 100 votes David Abelevich Kaufman is documentary’s Jumpin’ Jack Flash. Top 10 des films tombés dans le domaine public qui se regardent encore très bien, et gratos en plus.
Les années qui passent et les absences administratives de certains ayants droit viennent régulièrement grossir les rangs des films tombés dans le domaine public.
Ces films sont donc téléchargeables, gratuits et parfois très bons. Cette liste aurait pu compter des films fondateurs dont la valeur historique est indiscutable (Le Voyage dans la Lune, Nosferatu...), on a préféré lister les films qui, malgré les années, restent de très bons divertissements. (les liens renvoient vers les versions VOST quand elles sont disponibles ou vers le site de téléchargement libre Archive.org) La Nuit des Morts Vivants de George A.
Romero (1968) Une étourderie, et hop, pas de renouvèlement du copyright. Et vous, vous préférez le cinéma quand il est gratuit ? Crédit photo : La Nuit des Morts Vivants de George Romero. ANDREW BUJALSKI : « Le mumblecore, c’est d’abord une blague très drôle que j’ai racontée à un journaliste » Adulé chez lui, ignoré chez nous.
On se serait presque excusé auprès de Bujalski de ne pas avoir vu ses films précédents. La raison en est simple. Aucun n’a été distribué en France. Ni Funny Ha Ha, son premier long métrage, qu’on dit fondateur de la mouvance « mumblecore ». Ni Mutual Appreciation, ni son avant-dernier Beeswax qui fut présenté à Berlin en 2009. Aux États-Unis, on dit que vous êtes le parrain du mumblecore. Je suis probablement la pire personne à qui poser cette question.
Pouvez-vous nous parler du Austin Film Festival, où le mumblecore est en quelque sorte né ? En 2005, je présentais un film là-bas, tout comme Joe Swanberg et les frères Duplass. Le projet Computer Chess a été proposé sur le site usaprojects.org afin de trouver des financements directement auprès du public. C’est une possibilité qui n’existait pas il y a quelque années et ça a explosé dernièrement, tout le monde sait de quoi il s’agit. La caméra date en fait d’avant la VHS. Docu cinéma underground new yorkais. Jim Jarmusch, Debbie Harry ou Thurston Moore: on croise beaucoup de visages familiers dans Blank City.
Ce documentaire, réalisé par la Française Céline Danhier, retrace l’épopée du cinéma underground new-yorkais à la fin des années 70 et au début des années 80. A cette époque, de nombreux artistes et cinéastes en devenir réalisent des films avec les moyens du bord et convertissent les squats du Lower East Side en studios de fortune. Pendant cinématographique de la no wave en musique, ce mouvement donne naissance à des œuvres singulières et parfois trash, pour la plupart introuvables aujourd’hui, mais dont l’influence sur le cinéma indépendant américain continuera de se faire ressentir des décennies plus tard.
Céline Danhier nous raconte la genèse du projet. Que faisais-tu avant de réaliser Blank City? Du droit. Comment as-tu eu l’idée du film? J’ai toujours été passionnée par New York et le cinéma. Debbie Harry © Rapid Eye Movies.