Douze millions de pauvres : l’échec du « modèle allemand » Le « modèle allemand » est souvent présenté comme un idéal à suivre : faible taux de chômage, exportations records, plus gros PIB européen…mais que cache vraiment ce « modèle » ?
Selon une association allemande d’aide sociale, la barre record des douze millions de personnes vivant sous le seuil de pauvreté vient d’être franchie. Pauvreté, inégalités, bas salaires, services publiques atrophiés, de nombreux allemands sont obligés de cumuler deux emplois pour boucler leurs fins de mois. Explications. Une pauvreté galopante D’après un rapport de l’organisation d’aide sociale Paritätischer Wohlfahrtsverband (1), la pauvreté a atteint un niveau historique en Allemagne.
C’est le paradoxe de l’Allemagne : si le taux de chômage baisse depuis des années, un fait largement médiatisé et montré comme exemplaire, la pauvreté, elle, se multiplie dans toute la population. Photo : AFP Le poison allemand. «L'État et les banques, les dessous d'un hold-up historique» par Myret Zaki et Etienne Chouard. Cliquez pour agrandir Atlantico : quels sont les principaux enseignements de ce sondage ?
Yves-Marie Cann : Les résultats du sondage réalisé par Elabe pour Atlantico témoignent du climat particulièrement dégradé auquel doivent faire face aujourd'hui les organisations politiques et ceux qui les animent. Invités à préciser ce qu'évoquent aujourd'hui pour eux les partis politiques, une large majorité de répondants (74%) se positionnent sur un item négatif : 40% éprouvent de l’inquiétude à propos des partis politiques et jusqu’à 34% de la colère.
S’ajoute à cela le fait que les partis politiques suscitent l’indifférence de 22% des personnes interrogées. Au final, seuls 4% nous donnent une réponse positive : 1% répondent que les partis leur inspirent de l’enthousiasme et 3% de la confiance. Cette situation n'est pas sans conséquences pratiques puisque comme le montre notre sondage la marque partisane s'avère extrêmement faible dans la perspective de l'élection présidentielle. Je m'abonne. [Vidéo] Vote sur l’état d’urgence : un député fond en larmes, l’Assemblée est quasi-vide… L’Assemblée nationale a voté lundi soir l’article 1er du projet de révision constitutionnelle visant à inscrire dans la loi fondamentale le régime de l’état d’urgence, disposition contestée par certains écologistes et le Front de gauche, comme par certains députés de droite.
Ce premier volet du projet de loi constitutionnelle, qui prévoit que l’état d’urgence sera « décrété en Conseil des ministres » soit « en cas de péril imminent résultant d’atteintes graves à l’ordre public », soit en cas de « calamité publique » (événements naturels), a été adopté par 103 voix contre 26, en présence notamment de Manuel Valls. Mais deux scandales entachent cette votation : 1) Un très petit nombre de députés présents.
Une retraite de 36.000 euros par mois pour François Hollande? « Je ne paye plus l’impôt car je sais où va l’argent » · Le petit rapporteur du net. Posté par lepetitrapporteur dans : Non classé , trackback Y en a qui ont la trouille, mais Ghis, de moins en moins.
Après s’être retrouvé en prison pour avoir refusé de payer un impôt qu’elle estime mal affecté, elle se confie dans la Voix. Sur ce territoire allobroge offrant l’hospitalité à la libre expression, nous accueillons aujourd’hui une Québécoise. Ghislaine Lanctôt est une ex-directrice de clinique exclue de l’ordre des médecins dans les années 1990 après avoir publié un livre, La mafia médicale, qui décrivait un milieu où l’on s’affaire d’abord à entretenir la maladie.
Aujourd’hui, cette grand-mère de 67 ans se fait appeler Ghis et dit avoir évacué sa laine, car elle ne veut plus être un mouton. Cette attitude a conduit Ghis à passer deux mois en cellule au printemps 2008, séjour qui l’a incité à écrire un nouveau livre (Madame Ghis, évasion en prison). Ghis, pourquoi refuser de payer l’impôt ? Et vous, vous avez trouvé ? Mais dans la pratique, on ne vous force pas à payer ? Émission - Chronique des Matières Premières. Chroniques du Grand jeu - La géopolitique autrement, pour mieux la comprendre... L’ordonnance est passée en France: désormais, une banque pour se renflouer pourra ponctionner les comptes de ses clients. Pas de débat, pas de loi, une simple ordonnance.
La directive est passée inaperçue dans le creux de l’été. Si votre banque fait faillite, elle pourra se renflouer en aspirant vos comptes, sans plus de façons. Il s’agit de la « Directive européenne sur le redressement des banques et la résolution de leurs défaillances » (Bank Recovery and Resolution Directive). D’abord expérimentée à Chypre où les comptes ont été largement siphonnés, la mesure est désormais applicable en France depuis le 20 août.
Elle est passée en douce par ordonnance. Ce qui a attiré l’attention des observateurs, c’est la Commission européenne qui s’impatiente. La fin du droit de propriété Lorsqu’une banque comme n’importe quelle entreprise fait faillite, les actionnaires sont solidaires, ce qui est logique, de même que les détenteurs des obligations émises par la banque.