Un mouvement des ''humanistes'' à l'UMP. Cet homme est dangereux (bis) Delpérée a été entendu dans l’affaire Kazakhgate, sa présidence chahutée politique Francis Delpérée (CDH) doit présider la commission d’enquête parlementaire sur le kazakhgate, qui se réunit jeudi pour la première fois.
Mis en ligne Uccle contemple le déclin de De Decker Sondage: élisez la personnalité belge de l’année belgique Parmi les 50 personnalités suivantes, élisez celle qui, selon vous, peut prétendre au statut de Belge de l’année. Mis en ligne 10 ans de prison pour une dispute au Quick hainaut Le tribunal correctionnel de Charleroi a condamné Cezig K. à 10 ans de prison ferme pour une tentative de meurtre survenue au Quick de Châtelineau (Châtelet) en 2015.
Montée de l'extrême droite en Europe : des origines diverses. INTERVIEW - La France n'est pas le seul pays où l'extrême droite bat des records.
La crise et la crainte de perdre l'identité nationale jouent inégalement selon les pays. L'analyse de Stéphane François, politologue et chercheur associé au Groupe Sociétés Religions Laïcités (GSRL) du CNRS. LE FIGARO. - La percée de l'extrême droite dans des pays européens comme la Suisse, la Norvège et les Pays-Bas est-elle comparable à celle du Front national en France? Stéphane FRANÇOIS. - Il faut bien distinguer les deux types de mouvements d'extrême droite qui existent en Europe. D'une part, il y a l'extrême droite «classique», virulente, antisémite, parfois violente. L’Extrême-Droite en hausse ? Attention aux effets d’optique… C’est entendu : un peu comme aux Pays-Bas on édifie des digues pour grignoter des terres, Marine a repoussé le cordon sanitaire qui ligotait le parti de son papa et a annexé quelques provinces de la Droite Républicaine.
Et depuis chacun d'avoir le regard scrutant la ligne bleue foncée des nouvelles conquêtes du FN... Mais c’est oublié la particularité du scrutin de dimanche : l’offre électorale restreinte, à Droite, de ce premier tour. En 2002 et 2007, des partis « parasites » du FN, plus ou moins encouragés par l’UMP, avaient servi de réceptacle à un vote aux frontières de l’UMP et de l’Extrême-droite. Bruno Maigret en 2002, Christine Boutin ou Philippe de Villiers pour les catholiques traditionnalistes, Franck Nihous pour les chasseurs notamment. 64% des électeurs de Nicolas Sarkozy favorables à un accord avec le FN, Election présidentielle 2012 - Les Echos.fr.
L'UMP veut défendre la «valeur travail» Bruno Le Maire préconise d'être «intransigeant sur les valeurs» pour convaincre les électeurs du FN.
Et si l'affrontement annoncé à l'UMP sur la stratégie d'entre deux tours n'avait pas lieu? En décidant, lundi de remettre le «travail» au cœur de son discours, Nicolas Sarkozy a, semble-t-il, réussi à concilier les tenants de l'«autorité» et les adeptes de l'«humanisme». Les membres du comité de campagne qui se sont retrouvés au QG du candidat en sont, en tout cas, repartis avec l'intention d'avancer ensemble dans la même direction. Au-delà de la magie du verbe présidentiel, l'incertitude qui plane sur l'issue du scrutin, et donc sur les législatives, explique sans doute aussi que la majorité sortante serre les rangs. Après le recadrage opéré par Nicolas Sarkozy, les critiques se sont tues, laissant place à de subtiles nuances. LUC FERRY :"J'ai annoncé la défaite de Sarkozy depuis deux ans" Les modérés de l'UMP mettent en garde M. Sarkozy contre une droitisation extrême. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Alexandre Lemarié Faire entendre la petite musique centriste sans pour autant provoquer un vrai affrontement sur la stratégie à suivre avant le second tour du scrutin présidentiel, afin de ne pas obérer les chances de victoire.
Tel est l'exercice auquel s'adonnent certains membres modérés de la majorité, alors que Nicolas Sarkozy est condamné à droitiser encore davantage sa campagne pour récupérer le maximum de voix des électeurs s'étant portés sur Marine Le Pen au premier tour. Le réservoir électoral est en effet plus important de son côté-là pour le président sortant, suite au score de 17,90 % obtenu par la candidate FN, le centriste François Bayrou n'ayant recueilli que 9,13 % des voix. Bruno Gollnisch : "Si Sarkozy est battu, l'UMP ne survivra pas" France-Soir : Êtes-vous satisfait du score de Marine Le Pen même si elle n'a pas atteint le second tour ?
Bruno Gollnisch : Je me félicite de ce résultat, bien sûr. J'analyse également qu'il est supérieur aux prévisions des sondages qui nous ont défavorisés et qui ont, une fois encore, prouvé qu'ils n'avaient pas un rôle informatif mais qu'ils créent l'événement. Sans eux, de nombreux autres électeurs auraient eux aussi voté Marine Le Pen. F. -S. : Comment expliquez-vous cette poussée du FN ? B. Sylvain Crépon : « Le FN recrute toujours dans l’électorat qui vit la précarité ou a peur de la vivre » Thierry Mariani : "L’UMP de 2012 ne peut plus être l’UMP de 2002"
Atlantico : Marine Le Pen a obtenu 18% des voix au premier tour de la présidentielle.
Nicolas Sarkozy se retrouve au deuxième tour en situation délicate face à François Hollande. La montée en force du FN : faux coupable, vrai danger. Zut alors !
On va encore m’accuser de rouler pour Sarkozy, ce que je ne fais assurément pas puisqu’il aurait sans doute fallu commencer par lui offrir mon suffrage pour lui servir à quelque chose, mais tant pis... Et puis le pauvre gars est tellement détesté, de toute façon, que disposer, à défaut d’un allié, de quelqu’un qui ne passe pas son temps à le débiner gratuitement lui mettra peut-être un peu de baume au cœur en cette période difficile.
Donc, tant pis si l’on m’accuse de « sarkophilie » ― une insulte équivalant plus ou moins à une imputation de pédophilie sur nouveau-nés ou d’attouchements sur personnes âgées pendant leur sommeil ―, mais la manière dont « on » est en train d’expliquer la montée du FN par son séjour à l'Élysée est à combattre de toute urgence. Hum, franchement, je doute un peu. Le pari de Marine Le Pen d’incarner la nouvelle droite est voué à l’échec. Atlantico : Marine Le Pen a déclaré ce dimanche soir vouloir incarner désormais la « nouvelle droite ».
Le FN est-il en mesure selon vous de devenir le principal parti de droite de France ? David Valence : Marine Le Pen essaie d'achever la mue du FN, du parti d'extrême droite relativement classique qu'il était dans les années 1970 à un populisme "patrimonial" plus rentable dans les urnes. Pendant longtemps, on a pensé que le FN suivrait une évolution comparable à celle du MSI italien : ce parti néo-fasciste n’avait pas réellement désavoué le legs de Mussolini et était dirigé par l'emblématique Giorgio Almirante. Dans les années 1990, il a été transformé par Gianfranco Fini, d’abord en un parti populiste puis en un parti de droite classique avec une forte tendance jacobine, c’est-à-dire très peu enclin au développement des autonomies régionales. Plus tard, ce parti s’est fondu dans le Parti des Libertés crée par Berlusconi. Pourquoi François Hollande s’intéresse aussi aux électeurs de Marine Le Pen - Blogs Guillaume Tabard.
Nicolas Lebourg: « Marine Le Pen va tenter de faire exploser l’UMP » En arrachant la troisième place lors du premier tour de cette élection présidentielle, Marine Le Pen a réussi son pari. Score-de-marine-le-pen-le-message-de-la-france-des-invisibles_1689734_1471069. FN : le containment a merdé. Le FN au deuxième tour ?
C'est une question à laquelle tu t'abstiendras de répondre négligemment "et pourquoi pas ? " si tu veux être réinvité à dîner. Le marronnier politique est un épouvantail. Cette fois, l'épouvantail est blonde. Bayrou souhaite «rebâtir une majorité centrale» L'appel à la recomposition de la famille centriste risque de rouvrir la guerre des centres.
François Bayrou est déjà dans l'après-présidentielle. Certes, son nouveau pari est ambitieux. Mais le député des Pyrénées-Atlantiques croit en ses intuitions. En 2007, il avait pronostiqué l'éclatement du PS. L'histoire lui a donné tort. Sur le plateau de TF1, dimanche soir, sa directrice de campagne Marielle de Sarnez n'a pas dit autre chose: «La France a besoin d'un pôle central libre et indépendant.» En fait, depuis quelque temps déjà, le président du MoDem se voit en architecte en chef d'une réunification du centre, voire en recours. Un «arc central» Le MoDem, créé en lieu et place de la vieille UDF en décembre 2007, y survivra-t-il? Ce qu'il ne dit pas, c'est que son appel à la recomposition de la famille centriste risque bien, au contraire, de rouvrir la guerre des centres. Raffarin veut un message humaniste. L'ex-Premier ministre Jean-Pierre Raffarin a estimé que, pendant cette campagne du second tour de la présidentielle, le président-candidat de l'UMP, Nicolas Sarkozy, devait également "faire entendre le message humaniste" pour attirer à lui les électeurs de François Bayrou.
Lors d'une réunion de l'état-major sarkozyste autour de son champion au QG de campagne à Paris, il a été "décidé de ne pas considérer l'électorat sous forme de chapelles, mais de parler aux Français dans leur ensemble", a-t-il déclaré à la presse à l'issue d'une rencontre où "le candidat nous a montré tout son optimisme, sa détermination" pour le 6 mai. "Nous pensons que les électeurs de Bayrou sont sensibles à ce qu'on peut proposer en ce qui concerne la discipline budgétaire et la protection du pouvoir d'achat par l'équilibre budgétaire en 2016", a ajouté le vice-président UMP du Sénat, issu de la famille libérale.
La-croix. C’est un coup dur pour François Bayrou. À défaut de réitérer sa performance de 2007 (19 %), au moins pouvait-il espérer jouer le rôle de faiseur de roi. Mais, avec 8 à 9 % des suffrages exprimés, son éventuel soutien pèse moins qu’espéré. Un « score en dessous de nos attentes », a-t-il d’ailleurs reconnu. Vaille que vaille, le président du MoDem a tout de même annoncé qu’il allait s’adresser aux deux candidats qualifiés pour le second tour en leur disant ce qui est pour lui « essentiel en termes de valeur et d’actions à conduire ». Une liste au sein de laquelle devrait bien entendu figurer l’équilibre des finances publiques ou encore la moralisation de la vie publique. « J’écouterai leur réponse et je prendrai mes responsabilités », a ensuite confirmé François Bayrou.
En attendant, François Bayrou s’est contenté de lancer un appel à « tous les démocrates et les républicains » pour construire une « force d’équilibre au centre qui résiste aux extrêmes et aux démagogies ».