Koz ن sur Twitter : "Blog | Ma mère, c'est sacré (et la liberté d'expression) #Charlie #Islam #Pape #Responsabilité. Ma mère, c’est sacré (et la liberté d’expression) Ils sont allés le chercher à l’autre bout du monde et, à l’autre bout du monde, les mères, c’est sacré. Notez que, sous nos latitudes, ça nous a valu une coupe du monde de football et nombreux sont ceux qui ont considéré qu’ainsi Zidane avait sauvé l’honneur. Toujours est-il que le pape a déclaré, au survol des Philippines, que si l’un de ses amis insultait sa mère, il fallait qu’il s’attende à recevoir un coup de poing, ce qui était normal. Le propos eut pu être mieux aujsté, du fait notamment du risque d’interprétation a fortiori qu’il comporte. Mais il ne faut pas non plus donner une portée magistérielle à une illustration légère.
Car, non, le pape ne suggère pas qu’il soit légitime d’abattre celui qui offense son sentiment religieux. Que la légèreté du propos qui précède ne vous abuse pas – c’est mon petit côté canaille et libre dans l’expression – nous touchons là un point saillant. Véritablement. Ne pas confondre le légal et le moral. (vu en gros 57 fois) Koz ن sur Twitter : "Alors, on se la fait, cette petite guerre civile ? (bis) #Dijon #JouéLesTours #Islam. Alors, on se la fait, cette petite guerre civile ? Depuis les envolées de Gilles D quand j’avais 14 ans jusqu’aux discours du GUD quand j’en avais 20, les saisons ont passé, la prophétie a été reportée mais elle est toujours là : nous allons au devant d’une guerre civile. Au cours des années, la prophétie a un peu muté. Ce n’est plus exactement leur origine qui est reproché aux autres, c’est leur religion. Je n’ai, pour ma part, jamais pu me départir d’un doute : s’agit-il d’une prophétie à regret, ou d’une prophétie impatiente ?
Aussi prématurée que soit leur analyse, les événements de ce week-end – la vidéo de Daech de vendredi et les événements de Joué-les-Tours et de Dijon – ne manquent pas de conforter ces oracles, malgré les 157 passages en psychiatrie du dernier gars. Ils constituent peut-être un point de basculement, rendant plus difficile encore, si cela est possible, un discours pondéré sur l’islam, et annonçant des positions plus violentes encore demain qu’hier. Comprenez que je tente d’explorer les alternatives. « L’islam que j’aime, l’islam qui m’inquiète » "L'islam que j'aime, l'islam qui m'inquiète" tient la corde pour être mon "livre de l'été". Certes, il est sorti à l'hiver, mon été a commencé tard et il n'est aujourd'hui en compétition qu'avec un nouvel épisode des aventures de Jason Bourne. Notez tout de même que je l'ai lu en moins de temps qu'il n'en faut pour lire un Ludlum, ce qui n'est pas le moindre des indices de l'intérêt de ce livre d'entretien avec Antoine d'Abbundo.
Il est d'ailleurs probable que je le relise, alors que je me contenterai d'une seule lecture de Ludlum. Jason Bourne et Christian Delorme ne sont pas dépourvus de points communs. Figurez-vous que, dans cet opus-là, Bourne est aux prises avec une organisation islamiste initialement mise sur pied par les nazis, la Légion Noire. Les voies du dialogue Allez pourtant savoir d'où je tiens cette intuition que l'islam n'est pas intrinsèquement violent, obscurantiste et nuisible. Ma conviction est toutefois, avec le Père Delorme, que le dialogue n'est pas une option. Surgissement d’un monstre. L’horreur a jailli dans la campagne. L’impensable a fait effraction dans le débat. Deux jours durant, la France est restée en état de sidération devant la sauvagerie froide du tueur.
Sept victimes, avec quatre jours d’écart à chaque fois, le temps de réaliser son geste, le temps de préméditer le suivant, et celui d’après, le plus horrible, parce qu’il touche le visage de l’innocence, le symbole de l’espoir, celui de l’avenir. Parce que, dans ses détails suffocants de haine implacable, il défie notre humanité. Et la campagne fut suspendue. C’est à tout le moins ce que l’on aurait souhaité. La retenue, l’unité, fut officielle tandis qu’officieusement la France a bruissé des polémiques et supputations politiques. L’ambassadeur d’Israël, Avi Pazner, a ainsi témoigné de l’émotion ressentie du fait de la minute de silence très largement respectée, et qui a manifesté au monde « les vrais sentiments de la France ». N’oublions pas leurs noms – Mohammed Legouad, Imad Ibn Ziaten. COMPRENDRE. La charia dans le monde - Monde.
Si les dirigeants occidentaux s'inquiètent d'entendre dans les pays arabes des hommes demander une application de la charia, c'est que les exemples de l'Iran ou des talibans afghans ont jeté l'ombre d'une éventuelle régression dans les pays de la révolution arabe. Pourtant, la charia n'est pas toujours ce que l'on croit. En fait, la loi islamique on en fait ce qu'on en veut et elle ne préjuge pas systématiquement d'un retour à une politique archaïque. Les sunnites qui composent 88 % des musulmans dans le monde se réfèrent, en plus du Coran, à la sunna (les hadits) : la tradition du Prophète Mohamed, ses faits et dires.
Les chiites ne reconnaissent pas la sunna, invoquant le fait que les propos rapportés ne sont pas exacts. Certes la charia est l'ensemble des lois censé régir la vie quotidienne des musulmans dans tous les domaines du droit (famille, commercial, pénal...) mais elle n'est pas toujours appliquée stricto sensu. Différentes écoles Voile, répudiation...
Inspiration. Sauver Asia Bibi. Mais comment ? Le 19 juin prochain marquera le deuxième anniversaire de l'incarcération d'Aasiya Noreen Bibi, Asia Bibi. Et chaque jour qui passe la rapproche de la mort. Par l'exécution de la sentence prononcée le 8 novembre 2010, par un assassinat dans sa cellule, comme fut assassinée Zarmina, la musulmane de la cellule voisine, ou à sa libération, comme furent abattus Rashid et Sajid. Deux ans à vivre dans ses excréments, deux ans dans une cellule sans fenêtre, deux ans à l'isolement pour sa sécurité, deux ans interdite de promenade. Et cela non pas du fait de quelques preneurs d'otages, mais sur décision de "justice". Deux ans ainsi et, au bout, la pendaison peut-être, pour avoir un jour relevé la tête, refusé d'être juste une "chienne de chrétienne", pour avoir une fois décidé de ne pas taire sa foi.
"Je suis blessée de l'intérieur. 5 jours après, Asia Bibi est arrachée aux siens par la foule, battue, traînée au commissariat, jetée dans un van. Et c'est dangereux d'être un symbole. Quoi d'autre ? Mohammed Moussaoui : « Je penche plutôt pour des mosquées de proximité » - Religion - la-Croix.com. ENTRETIEN Mohammed Moussaoui était jeudi 7 avril l'invité de l'émission « Face aux chrétiens » animée par Dominique Chivot. Il répondait aux questions de Clémence Houdaille (Radio Notre-Dame), Romain Mazenod (RCF) et Anne-Bénédicte Hoffner ( La Croix). Le ministre de l'intérieur et des cultes, Claude Guéant, a affirmé lundi 4 avril que « le nombre de musulmans et certains comportements pouvaient poser problème ». Comment réagissez-vous ? MOHAMMED MOUSSAOUI : D'après son entourage, cette phrase visait surtout des comportements comme les prières dans la rue, qui - je précise - restent extrêmement marginaux.
La situation s'est même nettement améliorée depuis quelques années grâce à la construction de lieux de culte. Y a-t-il une forme de provocation dans le choix de certains musulmans, lorsqu'ils ne trouvent pas place dans la mosquée, de prier dans la rue ? Êtes-vous favorable à la construction de mosquées à taille humaine ou de très grands édifices, comme à Marseille ? International : En camp d'été contre le terrorisme islamique. À Warwick, de jeunes musulmans apprennent à lutter contre l'extrémisme. Pendant trois jours, près de 1300 jeunes musulmans, hommes et femmes, venus d'Angleterre, mais aussi des États-Unis et du Canada, se sont rassemblés près de Birmingham, dans les locaux de l'université de Warwick, pour trouver des solutions à la montée de l'extrémisme, notamment dans les écoles et les universités.
«Al-Hidayah 2010», sorte de «camp d'été antiterroriste», comme le décrivent les médias britanniques, proposait conférences, débats et activités multiples autour d'un thème central : comment faire face aux arguments des islamistes radicaux ? Parmi les outils proposés : des passages du Coran et des extraits de textes religieux. «Avec ce que nous avons appris, je suis persuadé que nous pouvons empêcher nos amis, nos voisins et nos collègues de se laisser convaincre par les terroristes», raconte Dawud Qadri, 23 ans, vendeur à Manchester. Mettre un frein à la «contamination idéologique»
Burqa.