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Immigration

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Helena Morna sur Twitter : "#E1WE Guillaume Larrivé @Europe1 "l'immigration pose problème en France.La France doit choisir qui elle accueille" Le père de Leonarda : «Hollande ment tout le temps, moi aussi !» VIDÉO - Reshat Dibrani explique comment il prépare son retour en France.

Le père de Leonarda : «Hollande ment tout le temps, moi aussi !»

Selon l'hebdomadaire Valeurs actuelles, il aurait entrepris des démarches pour changer de nom et de nationalité. Kosovars? Nés en Italie? À moins que ce soit en Croatie? Avec des attaches en Serbie? «Mon retour en France, mais je l'ai toujours préparé! C'est d'ailleurs pour cela, poursuit Leonarda, que «dans 2 ou 3 mois, on rentrera en France, le temps qu'on fait l'argent (sic) pour le voyage». Affaire Léonarda : l’indignation de la classe politique. Léonarda confirme les informations de Valeurs actuelles : elle va rentrer en ... Sauf que, sur la même antenne, interrogée, Léonarda confirme les informations de Valeurs actuelles : elle a un passeport Croate.

Léonarda confirme les informations de Valeurs actuelles : elle va rentrer en ...

Elle peut donc rentrer en France en toute légalité. Léonarda est claire : « on attend que notre passeport (croate) soit prêt et on est libre, on peut aller où on veut après. Parce que c’est l’Europe et puis voilà ». Laurent Fabius se trompe, Léonarda a raison En vertu d’accords signés le 1er juillet 2013, les ressortissants Croates sont dispensés d’obligation de visa de court séjour, aussi appelé « visa Schenghen » pour voyager librement au sein de l’espace Schenghen.

L’information qui produit l’effet d’une « bombe » à quatre jours des européennes UMP et FN se sont écharpés tout au long de la campagne sur la question des frontières et de l’espace Schenghen. Exclusif. Comment Léonarda prépare son retour en France. Un rapport que dévoile Valeurs Actuelles Dans ce rapport que Valeurs actuelles s’est procuré, les policiers et les gendarmes en poste relèvent « que M.

Exclusif. Comment Léonarda prépare son retour en France

Reshat Dibrani (…) père de la jeune Léonarda Dibrani, [a changé] de patronyme pour celui de Reshat TAHIRI ». Ce nouveau patronyme « correspond à celui d’un autre membre de la fratrie (…) installé en Croatie ». Au cours de leur enquête, ils se sont aperçus « que M. DIBRANI/TAHIRI […] ne se trouvait plus avec sa famille au Kosovo, qu’il était parti, depuis le 10 février 2014, rendre visite à son frère, installé en Serbie ». Deux hypothèses sont envisageables : la famille de Léonarda cherche à obtenir la nationalité Croate pour bénéficier d’une disposition du 1er juillet 2013 permettant aux citoyens croates d’entrer librement dans tous les états de l’Union européenne avec une simple carte d’identité.

Les politiques embarassés face à la révélation du rapport Ces révélations de Valeurs actuelles plongent les politiques dans l’embarras. Face au CRAN, Zemmour persiste et signe. La fraude sociale de la branche maladie est massive... UE/Turquie: accord sur l'immigration signé. La Turquie a signé aujourd'hui à Ankara avec l'Union européenne un accord de réadmission des migrants clandestins qui doit permettre, à l'horizon 2017, la levée de l'obligation de visa imposée par Bruxelles à ses ressortissants.

UE/Turquie: accord sur l'immigration signé

Le gouvernement turc avait paraphé cet accord en 2012 mais avait suspendu sa signature formelle à un engagement de l'UE à étendre la libre circulation sur son territoire aux citoyens de nationalité turque. Cet accord, salué comme "historique" lundi par le chef de la diplomatie turque Ahmet Davutoglu, a été signé en présence du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan par le ministre turc de l'Intérieur, Muammer Güler, et la commissaire européenne aux Affaires intérieures, Cecilia Malmström. En contrepartie, l'UE s'est engagée à garantir une circulation sans visa aux Turcs dans un délai de trois ans et demi.

"La porte de l'Europe sans visa va désormais être ouverte", s'est félicité M. La Turquie a toujours refusé de signer l'un sans l'autre. Aide médicale de l’État : plus de 3000 euros par bénéficiaire. Les femmes victimes de violences dans les “quartiers sensibles” Aux confins Nord-Est de la Finlande, « on veut rester blancs » "Sous la surface, ça bout", diagnostique Maja Mölsa, inquiète.

Aux confins Nord-Est de la Finlande, « on veut rester blancs »

Dans son grand bureau qui surplombe la rue principale de Lieksa, qui même baignée de soleil semble figée une décennie en arrière, la rédactrice en chef de Lieksan Lehti évoque "une communauté locale bouleversée". Victime de la crise industrielle, ce bourg à la limite avec la frontière russe, à 530 km au Nord-Est d'Helsinki, est passé de 20 000 à 12 000 habitants en vingt ans. Mais surtout, depuis 2009, trois lotissements de logements sociaux que la mairie s'apprêtait à démolir, ont attiré quelque 400 réfugiés somaliens et une centaine de Kurdes d'Irak. "Ce n'est plus du tout mon Lieksa", regrette Hannes Nevalainen, 88 ans, petit homme qui marche d'un pas mal assuré, le bas de jogging remonté à mi-bedaine. Né ici, il est revenu au début des années 80 pour sa retraite.

Socialiste toute sa vie, Hannes a voté Perussuomalaiset ("Vrais Finlandais") pour la première fois aux municipales en 2012.