Germany riot targets new ECB headquarters in Frankfurt. Dans les faubourgs d'Athènes, Aube dorée sème la terreur - Page 1. La rage. La situation en Grèce … [Un témoignage sur la situation en Grèce, la situation des Grecs, dramatique pour beaucoup d’entre eux.
Et qui sera peut-être bientôt la nôtre … Il est signé d’un juriste autrichien qui y possède une résidence secondaire et a paru dans le journal viennois Die Presse. Il circule en ce moment sur les listes de discussion de gauche alternative.] « On ne peut rester sans réagir aux diverses déclarations des plus hauts responsables de toute l’Europe, certaines frisant l’imbécillité, au sujet de ces "fainéants" de Grecs qui "refusent d’économiser". Depuis 16 mois, je dispose d’une résidence secondaire à Athènes, et j’ai vécu cette situation dramatique sur place. On se plaint que les plans d’économie ne fonctionnent pas parce que les revenus fiscaux chutent. Réductions des salaires et des retraites jusqu’à 30%. Baisse du salaire minimum à 600 euros. Le renflouement de l’UE repart à 97% vers l’Union On invente de nouvelles charges. La situation en Grèce devrait alerter la vieille Europe.
Grèce : le gouvernement réquisitionne le métro d'Athènes. Grèce : le gouvernement réquisitionne le métro d'Athènes ATHENES - Le gouvernement grec a réquisitionné jeudi le métro d'Athènes pour mettre fin à une grève de huit jours contre des coupes salariales, provoquant un tollé syndical et politique et un blocage des transports en commun dans la capitale grecque.
Bravant, avec le soutien de la centrale syndicale nationale GSEE, la réquisition, qui ouvre la voie au licenciement des grévistes réfractaires, le principal syndicat d'employés du métro, Selma, a annoncé la poursuite de l'arrêt de travail vendredi, pour la neuvième journée consécutive. La centrale ouvrière d'Athènes a enchaîné en appelant à une grève de 24 heures vendredi dans tous les transports en commun, bus, trolleys, tramways, et trains de banlieue. Grèce: un crime se commet sous nos yeux. L’agence de statistique de la Grèce vient de publier ses dernières données (Grèce PIB trimestriel), et elles s’inscrivent en faux par rapport aux « observateurs » qui croyaient en une amélioration de la situation dans ce malheureux pays.
En fait, l’économie continue de s’effondrer et ce sur une pente désormais rapide. En valeur constante le Produit Intérieur Brut est passé de 211 milliards d’euros à 171 milliards, soit une chute cumulée de 19% depuis le premier trimestre de 2009. C’est bien à un véritable désastre que nous assistons. Graphique 1 Souces : HELLSTAT.
Les grecs ont déjà arrêté d’utiliser l’euro. Chaque produit ou service offert en troc est compilé dans un fichier central qui lui attribue sa valeur dans la monnaie TEM (un TEM, un euro).
L’idée s’est étendue à d’autres villes comme Pieria, Chania, Lesbos, Lerapetra, Rodopi et Heraklion. "La fin du monde tel que nous le connaissons" by Dani Rodrik. Exit from comment view mode.
Click to hide this space CAMBRIDGE – Suivons ensemble le scénario. Après une victoire du Syriza, le parti de gauche de la Grèce, le nouveau gouvernement déclare sa volonté de renégocier les conditions de l'entente avec le Fonds monétaire international et l'Union européenne. La chancelière allemande Angela Merkel reste sur ses positions et réplique que la Grèce doit respecter les conditions actuelles.
Dans la crainte d'une catastrophe financière imminente, les détenteurs de comptes dans des banques grecques se ruent au portillon. La Grèce expulsée de la zone euro, tous les yeux se tournent vers l'Espagne. L'économie espagnole continue pourtant de se détériorer et le taux de chômage de se diriger vers le mur du 30 %. Dans un sommet restreint organisé à la dernière minute, l'Allemagne, la Finlande, l'Autriche et les Pays-Bas déclarent leur intention de conserver l'euro comme leur monnaie commune.
Le « chantage grec » s’invite au comptoir d’Yves Calvi. Le plateau de l’émission « C dans l’air », diffusée sur France 5, a parfois des airs de vieux bistrot, avec ses habitués – toujours les mêmes –, son taulier affable et plein de bon sens, et ses sempiternelles discussions de café du commerce.
L’édition du 22 mai 2012, « Europe, la crise dope les extrêmes », le confirme : dans le rôle des piliers, on retrouve notamment Roland Cayrol, ex-sondeur chez CSA, directeur de recherche au Centre de recherches politiques de Sciences Po (34 participations à l’émission depuis mai 2011), Pascal Perrineau, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences Po (26 participations) et un petit jeune plein d’avenir, Jérôme Fourquet, ex-diplômé de Sciences Po, sondeur chez Ifop (seulement 8 émissions depuis mai 2011) [1].
Invitée pour témoigner de la situation en Grèce, Alexia Kefalas n’est pas tout à fait une habituée du plateau de « C dans l’air », avec (seulement) 4 émissions depuis mai 2011. Clichés d’une Grèce en crise / M. Vassilakis. "Mort aux politiciens" “La crise grecque”.
A priori, le vocable réitéré en boucle par les médias est univoque. La Grèce est en récession depuis 2008.
Panique à bord short banned by Germany. Dernier Acte. Surenchère. Ça chauffe ! Suicides (place Syntagma et autres) Résultats de la cure. Les mesures décidées...et leur impact. Qui va trinquer (outre le peuple grec)