« Coney Island métaphore d’une histoire d’amour » : Billy O’Callaghan. © Camille Le Falher-Payat Carine Chichereau nous présente Les Amants de Coney Island, roman de l’écrivain irlandais Billy O’Callaghan qu’elle a traduit et qui vient de paraître aux éditions Grasset.
Les photos de Coney Island insérée dans l’entretien sont signées Camille Le Falher-Payat (Lire ici) Articles similaires Jane Smiley : Comment l'Histoire agit sur les personnages (Notre Âge d'or) Carine Chichereau, traductrice des trois tomes d'Un siècle américain de Jane Smiley, dont le dernier volume, Notre âge d'or, vient de paraître aux éditions Rivages, évoque pour nous une traduction au long cours et ce qui fait pour elle la singularité de cette trilogie. 2 avril 2019 In “Livres” Coney Island, deux livres un lieu : Patti Smith, Marco Mancassola Coney Island en deux livres, pour accompagner les photographies de Camille Le Falher-Payat. 5 décembre 2015 In “Les mains dans les poches”
Jane Smiley : Comment l’Histoire agit sur les personnages (Notre Âge d’or) Carine Chichereau, traductrice des trois tomes d’Un siècle américain de Jane Smiley, dont le dernier volume, Notre âge d’or, vient de paraître aux éditions Rivages, évoque pour nous une traduction au long cours et ce qui fait pour elle la singularité de cette trilogie.
Meena Kandasamy (poet) - India - Poetry International. Saturday 1 September 2007 Meena Kandasamy is a young Chennai-based poet, fiction writer and translator.
Her first book, Touch, was published in 2006. Two of her poems have won prizes in all-India poetry competitions. Her poetry has been published in various journals, including The Little Magazine, Kavya Bharati, Indian Horizons, Muse India and the Quarterly Literary Review, Singapore. She edited The Dalit, a bi-monthly alternative English magazine of the Dalit Media Network in its first year of publication from 2001 to 2002.
Kandasamy's translations include the writings and speeches of Thol. Kandasamy regards her writing as a process of coming to terms with her identity: her "womanness, Tamilness and low/ outcasteness", labels that she wears with pride. Aware that "the site for all subjugation is (at first) at the level of language", Kandasamy believes that political poetry has the "pressing responsibility to ensure that language is not at the mercy of the oppressors". Bibliography Links. Carine Chichereau. (3) Carine Chichereau, "La traduction est un travail de création"
Carine Chichereau : « La traduction est un travail de création » A l’automne 2016, la revue TransLittérature proposait un numéro consacré à des portraits de traducteurs, une manière de mettre à l’honneur ces acteurs essentiels du monde du livre, cependant trop souvent ignorés dans la presse qui parle souvent des livres étrangers comme s’ils s’étaient miraculeusement traduits tout seuls.
Sans les traducteurs, pourtant, qui pourrait avoir un accès aussi large aux littératures du monde ? Chez Diacritik, pas de numéro spécial mais la mention systématique (et naturelle) de leurs noms et des articles réguliers sur le travail de plusieurs d’entre eux, Laurent Margantin, Danièle Robert, Julia Chardavoine pour ne citer que les derniers.
Et aujourd’hui un long entretien avec Carine Chichereau, traductrice de l’anglais. Carine Chichereau est de ces traductrices dont tout lecteur admire le talent à rendre la chair et le rythme de la prose originale. Articles similaires. Carine Chichereau. Chinelo Okparanta, née en 1981 au Nigeria, vivant aux USA depuis l’âge de dix ans, était jusqu’ici connue pour ses nouvelles (Le Bonheur comme l’eau, Zoé, 2014).
Les éditions Belfond publient en cette rentrée son premier roman, Sous les branches de l’udala, dans une traduction française de Carine Chichereau. L’occasion pour Diacritik de profiter de la venue de Chinelo Okparanta à Paris pour croiser, dans un grand entretien, les voix de la romancière et de sa traductrice. Diacritik a toujours eu à cœur de défendre la littérature étrangère et ceux sans lesquels elle demeurerait inaccessible à une grande partie du lectorat français : les traducteurs. Rencontre avec Carine Chichereau. Carine Chichereau « C’est mon goût pour l’écriturequi m’a amenée à la traduction. » Comment êtes-vous venue à la traduction ?
Je suis venue à la traduction tout à fait par hasard, à une époque où je me destinais au journalisme. Je devais faire un stage dans la presse spécialisée, et j’ai eu la chance d’être prise à la prestigieuse revue Europe. Je suivais alors en parallèle des études d’anglais et l’on m’a demandé de traduire des textes sur Beckett, qui ont par la suite été publiés dans Europe. Quand vous parlez d'écriture est-ce de votre écriture personnelle ? Quelle a été votre première traduction ? Vous avez traduit des inédits d’Henry James. Vous traduisez des auteurs que l’éditeur vous propose et d’autres que vous proposez à l’éditeur. Lisez-vous les autres livres de l’auteur quand vous avez un texte à traduire ?