Bucknell University. Entretien avec Ryōko Sekiguchi : « Je ne pourrais jamais être l’écrivain d’une seule langue » Olivier Sécardin s’entretient avec Ryōko Sekiguchi au sujet de ses années d’apprentissage – entre le Japon et la France – et de son métier de traductrice, d’une langue à l’autre.
Vous êtes née à Tokyo, le 21 décembre 1970 et depuis 1997, vous vivez à Paris. Les lecteurs français vous connaissent bien, avec un rythme de publication au moins annuel et des écritures très diverses, depuis la poésie – Cassiopée Peca ou Adagio ma non troppo – jusqu’au récit autobiographique ou à l’essai – par exemple, la Voix sombre – nourrit de vos expériences, de vos deuils et de vos voyages, même si vous restez par ailleurs très discrète dans vos annotations. C’est d’ailleurs une qualité remarquable de votre écriture qui est capable de livrer une sensibilité sans impudeur.
À cette époque, Shinjuku était aussi un quartier littéraire avec ses éditeurs, ses relieurs, ses imprimeurs. Pour s’imaginer Shinjuku, il faut changer d’échelle. Yoshihara Sachiko 吉原辛子 – Buenos Aires Poetry. Yoshihara Sachiko (1932-2002) nació en Yotsuya, Tokio, la más pequeña de cuatro hermanos y entre padres lectores.
Entre 1944 y 1945, la familia tuvo que abandonar la ciudad debido a los bombardeos Aliados. The Geisha who Brought Kabuki to the West. Gozo YOSHIMASU "KI-SE-KI: gozoCine" Le Japon comme un long Koto... Le Kojiki selon Pierre Vinclair. Laurent Albarracin : Une lecture du Kojiki « repris » par Pierre Vinclair. © : Laurent Albarracin.
Mis en ligne le 15 janvier 2012. Ce compte rendu paraîtra dans le n° 0 de la revue des Éditions des Vanneaux, en mars 2012. Frayer dans la frayeur, une lecture du Kojiki, « repris » par Pierre Vinclair, Calligraphies de Yukako Matsui, Éditions Le Corridor bleu, 2011. Interview with Yoshimasu Gozo. Translated by Colin Smith Click here to read the Japanese version of the interview.
Yoshimasu Gozo.
Yosano Akiko, poétesse féministe. Poétesse japonaise, Yosano Akiko (1878 – 1942) publie des textes et des recueils de poésie audacieux, célébrant la sensualité féminine ou affirmant ses positions féministes et pacifistes.
Elle est considérée comme l’une des premières féministes japonaises. Une enfant passionnée de lecture Troisième enfant de Hō Tsuya et de Hō Soshichi, Akiko (« fille de l’automne ») naît le 7 décembre 1878 à Sakai, une ville de la préfecture d’Osaka au sud du Japon. Le pays connait alors une période de grand bouleversement, marquée par la fin d’un isolationnisme de deux siècles et le renversement du système féodal, connue sous le nom d’ère Meiji. Les parents d’Akiko tiennent une ancienne confiserie et la jeune fille leur prête parfois main-forte, tout en étudiant à l’école ; elle y découvre notamment la littérature et la musique. Yonejirō Noguchi. The hidden heart of Natsume Soseki. Dec. 9 marks the 100th anniversary of the death of Natsume Soseki (1867-1916), a novelist widely regarded as being the one of the greatest writers of modern Japan.
Events commemorating this anniversary have been held throughout 2016 but, in case you think it will all be over by Christmas, another milestone will be celebrated in 2017 — the 150th anniversary of his birth. Fascination twinned with veneration of Soseki is exceptionally high in Japan. Ayukawa Nobuo : Poèmes 1945-1955. Traduit du japonais par Karine Marcelle Arneodo (édition bilingue) postface de Karine Marcelle Arneodo & Olivier Gallon.
Ko Un : Poèmes de l’Himalaya / Fleurs de l’instant. Chuchotements1, rédigé au retour d’une marche de quarante jours dans l’Himalaya en 1997 était une suite de poèmes de « mise au point » autobiographique (Pendant ces quarante dernières années / je restais toujours un sanglot incomplet).
Il y figurait déjà des poèmes inspirés par cette épreuve physique et mentale que s’était imposée Ko Un à 65 ans. Cette fois d’un bout à l’autre des Poèmes de l’Himalaya2 nous cheminons avec lui. Qu’y est-il allé chercher ? L’Illumination, l’Éveil ? June 2011. Some ‘bamboo verse’ by early Japanese women poets: Let us plant in a warrior's garden.
May you become bows, may you become arrows. そらはあおいです (sora wa aoi dess)
Hagiwara Sakutarô. EU・ジャパンフェスト. Taiwan Scooter Poet 台灣機車詩人. 秦野市役所公式ホームページ/Memorial Room Of Yuuguremaeda. Hadano Municipal Library Maeda Yugure was born at Minamiyana-mura, Osumi-gun (the present Minamiyana, Hadano City) in Kanagawa Prefecture.
His real name was Maeda Yozo. Yugure went to Tokyo in March 1904 to become a disciple of Onoe Saishu, and published his maiden anthology entitled "Shukaku" in 1910. Together with Wakayama Bokusui who published "Betsuri" at about the same time (only one month afterwards), he attracted public attention as a leading poet of naturalism, and marked a new epoch called the "Yugure - Bokusui Period" in the history of literature. He established Hakujitsu-sha to publish a monthly tanka journal named "Shiika", thus giving opportunities for tanka poets including Miki Rofu, Yamamura Bocho, Saito Mokichi, Murou Saisei, Hagiwara Sakutaro and Takamura Kotaro to contribute their tanka, thereby nurturing many poets.
Action Books. 日付変更線 International Date Line, 田中恭吉・画、萩原朔太郎著『月に吠える』感情詩社、大正6年 TANAKA Kyōkichi... La Littérature Japonaise HAGIWARA Sakutaro(1886-1942) 萩原 朔太郎 - La Littérature Japonaise. HAGIWARA Sakutaro, né en 1886 à Maebashi (Gunma) est à la fois poète, essayiste et critique. Il est considéré comme le père de la poésie japonaise moderne. Il a été parmi les premiers poètes à rompre avec la tradition telle qu’elle est pratiquée dans le tanka et le haïku.
HAGIWARA a été profondément influencé par les philosophes nihilistes européens, et ses poèmes, qui sont souvent centrés sur l’angoisse existentielle, sont empreints de mélancolie et de nostalgie. HAGIWARA est né dans une famille de classe moyenne et son père est un médecin renommé. Des haïkus en français : compte-rendu d’un atelier d’écriture au Japon. Qu’est-ce qu’un haïku ? Le haïku [3] est un poème court de 17 pieds répartis en trois vers (‘phrases’) composés respectivement de 5, 7, 5 pieds. Un haïku doit obligatoirement comprendre un mot dit ‘de saison’ (kigo).
Gozo Yoshimasu. Takuboku. SHIKI. Hagiwara Sakutarō (1886–1942): Seven poems translated by Hiroaki Sato. Poèmes de Hagiwara Sakutarô. Les poèmes qui figurent sur ce site ne constituent que des extraits de recueil. Le choix de ces poèmes est le reflet de la passion qui anime le traducteur. Tout en m'étant appliqué à conserver autant que possible l'harmonie de chaque recueil, j'ai souhaité vous offrir un aperçu de la richesse thématique de l'oeuvre poétique de Sakutarô. Comme dans les éditions parues à son époque, tous les poèmes en japonais respectent la graphie ancienne. Pour les japonisants, ou simplement pour tous ceux qui aiment à contempler la beauté de l'écriture japonaise, et qui ne voient pas les caractères s'afficher, je vous invite à vous rendre sur ce site, afin de télécharger une police de caractère qui remédiera à cet inconvénient: ( Exécuter le fichier et laissez-vous guider par les instructions.
Pour accéder à un recueil, cliquez sur l'image. Aboyer à la lune Chat bleu Rêve de papillon Recueil de petits morceaux ingénus. Sakutarō Hagiwara’s “Cat Town” - Words Without Borders. Reviewed by John W. W. Zeiser Translated from the Japanese by Hiroaki SatoNew York Review Books Poets, 2014. PE24 - S.Dudouit sur G.Yoshimasu - Revue Paysages écrits. Sans titre. Takuboku Ishikawa: engaged observer. The society of Takuboku Ishikawa’s era was in dramatic political flux, and its complex issues became his personal obsessions.
After his death, Takuboku’s preoccupations came to be seen as a symbol of the social and emotional upheavals of his times. The key word in the last two decades of the Meiji Era (1868-1912) was “polemics.” Intellectuals and socially conscious people were actively involved in a nationwide discourse, played out in all aspects of the culture — literature, theater, graphic arts, journalism — as to what the nature of future Japanese society should be. In essence it is the same current that continues to rage today: Should society be open to ideas on the basis of their true merit, creating a fluid situation that leads to the betterment of all classes? Takuboku wrote about the downtrodden because he saw himself as one of them. He is best remembered for his tanka (literally, “short poems”).
Anthologies de haikus. Recalcitrant words (article) - Japan. In his ‘Self Introduction’ (Poetry International Japan March 2012) Tanikawa lists a number of verifiable facts about himself, and casually says “All the above are facts, but / once I put them down in words like this, somehow they do not ring true.” Heianch bunka. Biographie de Hagiwara Sakutarô. Cette biographie observe la forme traditionnelle de la chronologie. Pour en faciliter la lecture, j’ai séparé les différentes périodes de la vie du poète en six parties, directement accessibles grâce aux liens du sommaire. Sommaire. Interview with Yoshimasu Gozo. Translated by Colin Smith Click here to read the Japanese version of the interview. Yoshimasu Gozo. Untitled, 2008. Forrest gander Yoshimasu gozo.
Gozo Yoshimasu. Forrest gander Yoshimasu gozo. Tendo Taijin (Japón, 1943) Des haïkus en français : compte-rendu d’un atelier d’écriture au Japon. (582)A young poet who continues to garner attention. A desire to spin words that blend in with the scenery Yumi Fuzuki. No. 582 A young poet who continues to garner attention A desire to spin words that blend in with the scenery Fourth Year, School of Education. Tanikawa Shuntaro: The Art of Being Alone: Poems 1952-2009. Io » Rechazar, un video de Shuntaro Tanikawa.