Un meilleur sort pour la littérature "grise" ou "non conventionnelle" Introduction Celui qui recherche une information dans la littérature doit passer au crible une masse sans cesse croissante de documents imprimés.
Au fil des années, on a mis au point divers outils donnant passablement satisfaction lorsque le document recherché se présente sous la forme d'un livre ou d'un article dans une revue paraissant régulièrement. Mais il existe une autre masse de documents qui n'offre guère de prise à ces bibliographies, bases de données, index, etc. Il s'agit de ce qu'on appelle la littérature « grise », désignation qui regroupe des documents tels que des rapports de recherche, des thèses, certains documents officiels et des communications à des conférences, qui n'ont pas été publiés par les canaux de publication traditionnels.
Cette énumération ne donne qu'une indication des types de documents composant la littérature grise : en pratique, la notion n'est pas délimitée, de sorte qu'elle est impossible à définir uniquement au moyen d'une liste de ses composants. « À l’école, pour éduquer au numérique, il faut d’abord apprendre aux élèves à s’en passer » Cet article a été initialement publié par Basta !.
Les écrans et le numérique prennent de plus en plus de place dans l’enseignement et dans la vie des jeunes élèves. Faut-il en avoir peur, pour la qualité de l’apprentissage comme pour la santé, notamment chez les plus jeunes ? Tout dépend de l’utilisation qui en est faite, clament certains. Rj 2016 CAPES externe Documentation 618942. Communs, Biens Communs, littératie des Communs : de quoi parle-t-on ? Le 5 octobre, le festival Le Temps des Communs va être lancé.
De nombreuses animations, conférences, ateliers sont proposés peut être près de chez vous. Depuis quelques mois, on entend parler de « Biens Communs » et « Communs » aussi dans le domaine de l’information-documentation. Facebook, faux ami de la démocratie - LireLactu. L'apprentissage du codage à l'Ecole. À l'heure de la société de la connaissances où il est important que chaque citoyen ne soit pas un simple consommateur de technologie, nous avons des défis à relever autour des sciences du numérique et de l'informatique qui doivent avoir la même place que les sciences de la vie et de la Terre dans la formation d'un individu.
L'égalité des chances du XXIe siècle passe par une éducation au numérique et il est crucial de pouvoir développer une éducation au numérique afin de donner aux jeunes élèves une maîtrise progressive du numérique. Pour cela il est important de pouvoir observer, étudier « la grammaire » du numérique, de créer et coder des objets numériques. En 2016, le code informatique arrive à l’école. Pour faire face à la révolution numérique, il est impératif que les enfants, mais aussi les enseignants et les parents, comprennent l’enjeu de l’introduction de ce nouvel enseignement.
C’est peut-être avec surprise que les parents ont découvert un nouvel enseignement dans l’emploi du temps de leurs enfants : le code. En effet, comme dans d’autres pays autour de nous, l’Education nationale a inscrit aux programmes de l’école et du collège une initiation à l’informatique, appelée « algorithmique », ou bien « fondements du numérique », ou encore « code », ou « informatique ». Plus précisément, « l’enseignement de l’informatique (codage, algorithmique) est introduit au collège et une sensibilisation au code est proposée à l’école primaire », ce qui s’ajoute aux cours déjà proposés au lycée.
Garder l’esprit critique Pour en rester à la vie professionnelle, il est essentiel que chacun ait accès à ces compétences pour avoir les moyens de choisir, de trouver sa vocation. Le cynisme est un métier. Et le grand n'importe quoi un projet politique. <Mise à jour du 6 septembre au soir> Interview dans le journal de 22h de France Culture. Réécoutable ici à partir de 3'40. Et parution Mercredi 7 Septembre dans la version papier de Libération. <Mise à jour du 6 septembre> Le site Reflets.info reprend également cette tribune et interroge (en vain) le ministère. Le site Handicap.fr s'en fait également l'écho et rappelle que le fait de ponctionner le FIPHFP pour tout autre chose que ce à quoi il est supposé servir est hélas une vieille habitude, démarrée sous l'ère Sarkozy :
In Defense Of (some kind of) Trolling : Les internets entre Trollarchie et Algocratie ? Avant la rentrée, laissez-moi vous conter 3 lectures qui sont entrées en résonance les unes avec les autres.
La première est un article a beaucoup tourné sur mes internets personnels. Il est intitulé "Pourquoi je quitte Twitter". Et son auteur y explique (en gros) qu'il en a marre des Haters et autres Trolls qui lui semblent être devenus la quintescence de ce réseau jadis si prometteur.