L'été circulaire - Marion Brunet. De la fête au village à la fête au village , une année qui s'écoule, terne , morne ,sans grand changement , sans changement notable dans la vie des deux soeurs Jo et Céline ....
Pas de grand changement , si ce n'est que Céline sera " maman " , et ce n'est même pas forcément un événement exceptionnel , sa propre mère l'ayant été avant elle et au même âge . Bien sûr , la différence est que Manuel , son père a , au risque de perdre la vie , assumé ses responsabilités en épousant Séverine , sa mère. Chiennes - Marie Vindy. Ce roman se situe dans la cite de Dijon, il nous parle des Caïds, trafiquants de drogues notoires et connus des services de police.
Les filles, quant à elles, subissent la loi de la Cité et en sont les boucs émissaires… Elles se font enlever, violer et parfois tuer afin de prouver que les plus forts ce sont ces caïds ! Le viol devient une arme de destruction et permet de faire taire les plus récalcitrants face au déshonneur ! Même pas morte ! - Anouk Langaney. Minette Galandeau a 88 ans. de nos jours, une petite vieille de cet âge-là passerai plutôt inaperçue.
Chez Minette, cette discrétion est tout sauf un hasard. Ce que vit le rouge-gorge - Laurence Biberfeld. La parole est aux animauxGarance se fait embaucher par un couple d'éleveurs de cochons pour s'occuper à plein temps des enfants des éleveurs.
Mais Garance a un autre but : découvrir ce qui est arrivé à sa fille Sophie, disparue quatre ans auparavant après avoir été recrutée dans la même entreprise d'élevage de cochons.L'histoire écrite par Laurence Biberfeld, si elle propose de nombreux personnages, se déroule en huis-clos entre l'élevage de cochons où a travaillé Sophie et la maison du couple où travaille Garance.Les relations entres les êtres humains sont au coeur du récit de Laurence Biberfeld auxquelles elle mêle les pensées des animaux : cochons, bien entendu, mais aussi le chien de la maison, les belettes et autres oiseaux qui vivent à proximité. Lien :
Les mauvaises - Séverine Chevalier. Pour commencer, et lever le suspense, Séverine Chevalier fait partie de ces auteurs dont tu te demandes, en refermant leurs romans, ce que tu vas pouvoir lire après. « Lipo ne doit pas le décevoir Il acquiesce Ne pose aucune question Même s'il ne comprend pas exactement ce qu'entend le toubib Par Faut être courageux Faut se battre Tout ce vocabulaire guerrier Il opine Il ose pas lui dire Qu'après une fille morte On s'en fout un peu De lutter ».
Poubelle's girls - Jeanne Desaubry. C'est toujours un dur moment à passer qu'un ado qui bourgeonne et bougonne et qui veut se différencier des " vieux" en exigeant tel ou tel smartphone ou jean slim à des prix prohibitifs.
Racket - Dominique Manotti. Les ouvrages de Dominique Manotti sont une plongée dans les turpitudes économiques ou sociales de notre société.
Ici, elle a bâti une fiction ressemblant fort (et de façon avouée dés l'entame) à la prise de contrôle d'Alstom Énergie par General Electric en 2014-2015. L'occasion de rappeler le rôle souterrain des agences d'état US (CIA, NSA…) et de la justice américaine dans la promotion des intérêts économiques américains de part le monde. L'Oncle Sam est pragmatique. L'intérêt de son gouvernement se confond avec celui de ses entreprises. Peu importent les moyens. . + Lire la suite. Reflex - Maud Mayeras. Put*** de bor*** de mer** !!!
J'ai commencé "Reflex" lundi matin et je n'ai plus su le poser, le terminant au soir, lisant sans interruption de 18h à 22h30... Voilà pourquoi je n'étais pas sur le Net lundi 27 janvier soir, je bouffais, je dévorais, je m'empiffrais de ce livre qui m'a transporté ailleurs...Monsieur Ernotte et son "C'est dans la boîte" m'avait déjà ébahie et collé un coup de pied dans les fesses, me laissant sans voix (un exploit), mais madame Mayeras vient de faire encore pire...Âmes sensibles, attention ! Le cheptel - Céline Denjean. Féroce - Danielle Thiéry. Un pavé de 540 pages qui se dévore : Féroce est une majestueuse réussite, à l'image de l'animal de la couverture.L'homme est un loup pour l'homme.
Sauf que sa monstrueuse part d'animalité s'entrechoque parfois avec l'innocence et la volonté de justice.Le roman permet de retrouver l'équipe de flics chère à l'écrivaine, puisque cette enquête se place dans la lignée de celles menées par la commissaire Edwige Marion. Même si elle n'est pas tout à fait prête à passer le flambeau, elle se trouve plutôt en retrait pour laisser la lumière à d'autres, dont Alix de Clavery, jeune psycho criminologue.Personnages récurrents ne veut pas dire qu'il faut hésiter à prendre le train en marche, je suis convaincu que ce roman peut se lire individuellement.
Il en a la force et le mordant.540 pages, donc. On pourrait imaginer que Danielle Thiéry prend tout son temps et fait traîner les choses.