Qu'est-ce que le native advertising? La « publicité nouvelle génération » a pour ambition de remettre l’utilisateur au centre du dispositif publicitaire. Les messages sont mieux ciblés, plus qualitatifs et mieux intégrés au contexte du média. L’utilisateur est de nouveau la priorité. Bienvenu dans l’ère du native advertising. Le native advertising est apparu fin 2012 aux Etats-Unis dans un contexte publicitaire en pleine mutation : Une part de plus en plus grande d’agences et d’annonceurs s’interrogeaient sur l’efficacité des formats classiques de publicité tels que les bannières, dont le taux de clic est passé d’environ 10% en 2000 à moins de 0,01 en 2014L’utilisation des formats vidéo pre roll ne convainc qu’à moitié : 80% des vidéos sont passées par les utilisateurs. Le constat général montrait la difficulté à générer de l’engagement grâce à la publicité sur Internet et qu’une majorité d’internautes rejetaient les formes classiques de publicité.
Emerger plus Faire émerger à nouveau la publicité sans gêner l’internaute. La fin du site Internet traditionnel pour bientôt. [Cet article fait partie de la série : tendances marcom à étudier en 2014] (c) Terge Enje Lorsque le Web s’est imposé comme canal principal de communication et de marketing, beaucoup d’entreprises ont créé des sites vitrines à leur image leur permettant de présenter aux visiteurs leurs informations de contact, leur offre et un assaisonnement sur mesure d’informations supplémentaires. Aujourd’hui, ce type de site me semble voué au déclin, particulièrement pour les raisons suivantes : La mort SEO des vitrines figées Si votre site Web constitue un rouage essentiel de votre communication en ligne, il est probable que son bon classement dans les pages de résultats de recherche soit un enjeu de taille.
Au delà de la page 1, l’effet bénéfique (ou délétère dans le cas d’une critique) est déjà plus que faible. (c) Guppiecat Or un site statique a tôt fait de sombrer dans l’invisibilité la plus totale des abysses du classement Google s’il n’est pas mis à jour régulièrement. Tenue mobile exigée Like this: [Expert] Ergonomie éditoriale : tendances et innovations pour 2015. A propos Cyrille Frank est journaliste.
Co-fondateur de Askmedia (dataviz, infographies pour Le Parisien Magazine, Paris Match… ). Il est aussi formateur aux techniques rédactionnelles plurimédia, au marketing éditorial et au data-journalisme ainsi que consultant en stratégie éditoriale (augmentation de trafic, fidélisation, monétisation d’audience) et en usages des réseaux sociaux (acquisition de trafic, engagement…). Retrouvez Cyrille Frank : sur Twitter : @cyceronson site Internet : Mediaculture.fr Le 21 novembre 2014 s’est déroulée la 5e journée de la presse en ligne, organisée par le Spiil.
Les interfaces web – désormais en responsive design – gagnent en horizontalité pour mieux exploiter le format 16-9e, mais aussi pour proposer un maximum de contenus avant l’ascenseur (cf capture ci-dessous, il n’y a plus que 32% de clics sous le premier ascenseur selon Google Analytics). Ce principe se retrouve dans la fin (bienvenue!)
5 grandes erreurs stratégiques de design d’expérience utilisateur — Think digital. En terme de stratégie d’expérience utilisateur digital, de nombreux obstacles et tentations se dressent sur le chemin de la bonne décision. Les 5 exemples suivants illustrent les plus récurrents et les plus tenaces d’entre eux, ceux qui nous éloignent irrémédiablement du design centré utilisateur. C’est peut-être le poison le plus tenace qui empêche actuellement le digital de grandir et de se structurer convenablement. De nombreux décideurs raisonnent comme ils l’ont toujours fait, à savoir, ce sont eux qui décident, qui ont le dernier mot, et qui imposent leurs visions, faisant fi d’un quelconque avis utilisateur.
Comme eux-mêmes ne sont pas ou très peu utilisateurs, ils ne comprennent pas les vrais enjeux du digital et prennent des décisions en suivant leurs instincts. Accouchent le plus souvent dans la douleursont décevants pour les équipes qui ont travaillé dessussont décevants pour les équipes qui ont acheté le projetsont décevants pour les utilisateurs finaux. Medium, le YouTube des articles. Nouveau modèle de journalisme. Par Clara Schmelck, journaliste médias à Intégrales Mag, billet invité De plus en plus de plates-formes hybrides, à l’instar de Medium ou de Contributoria, font le pari de fédérer des contenus, souvent consacrés à l’investigation, mais pas que. Ces médias numériques natifs, qui mêlent curation éditoriale et algorithmique avec des contributions extérieures, présentent-ils une alternative disruptive aux sites de presse traditionnels ?
Médias hybrides Sur Medium, pas de de toolbar ni de plugins ou autres widgets. Cette plate-forme au design épuré compile des billets souvent assortis de photos pleine page, soigneusement organisés sous forme de «collections» thématiques. Souvent comparé à une déclinaison hybride mêlant de The Economist, Tumblr et Pinterest, Medium n’est en réalité ni un réseau social, ni un site d’information en ligne. C'est un peu le YouTube du texte ! Preuve du succès de ce nouveau type de média, des versions italienne et française de Medium ont vu le jour en 2014.
A suivre ! Presse et Internet : l’autocritique du New York Times est passionnante. Le premier paragraphe commence bien : « En journalisme, le New York Times court en tête. De tous les défis auxquels est confronté une entreprise de média à l’ère numérique, produire du grand journalisme est le plus difficile. Notre couverture de l’actualité quotidienne est profonde, large, intelligente et concernante – et nous avons une avance confortable sur la concurrence. » Mais le deuxième est catastrophiste : « En même temps, nous échouons sur un autre critère : l’art et la science d’amener notre journalisme aux lecteurs. Ainsi commence le rapport interne au New York Times, titré simplement « Innovation », qui remet en cause la stratégie du plus grand quotidien américain. Fuite sur Buzzfeed Une autocritique très crue et très fouillée, signé par un groupe de travail que dirige Arthur Gregg Sulzberger, le propre fils du patron et propriétaire du titre, Arthur Sulzberger. « Nous ne nous bougeons pas assez vite » Voici quelques pistes proposées pour réorienter la stratégie du journal.
- Redonner de la valeur aux contenus éditoriaux : le nouveau mix marketing. Collecter le meilleur des infos et des contenus… Crédit photo : ecatoncheires via Flickr.com Submergés de contenus en permanence, stimulés tout le temps et partout, notre accoutumance nous rend plus hermétiques que jamais aux sollicitations éditoriales. Voici quelques recettes et grands principes que j’invite médias et marques à respecter pour avoir une chance d’attirer le lecteur et le fidéliser. Nous sommes de fait littéralement submergés d’infos, et tellement courtisés par les médias et les marques pour récupérer un peu de notre attention, que cet exercice devient de plus en plus compliqué. Il passe d’abord par le respect des règles élémentaires de la communication et du journalisme : des infos justes, clairement exprimées et hiérarchisées. Sur ce dernier point les emballements médiatiques de plus en plus récurrents nous interpellent et nous inquiètent. La recherche d’audience, de couverture, d’attention conduit à en faire trop, trop longtemps, même quand on n’a rien à dire.
Article : Moins de réputation, plus de relation. XEnvoyer cet article par e-mail Moins de réputation, plus de relation Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer Libre opinion Comment l’entreprise peut-elle retrouver la confiance de ses publics ? Conduite par la chaire de prospective du CNAM, en liaison avec le laboratoire de recherches en communication de l’Université catholique de Louvain, une étude de fin janvier 2013 menée auprès d’une vingtaine de responsable en communication des plus grandes entreprises françaises indiquait que, sur un classement des trente premières questions rencontrées dans le métier de communicant en entreprise, le problème apparaissant le plus important était relatif au thème de la confiance.
La conception dominante de la communication repose sur le culte de l’image.