Ressources pour réactiver [ mémoire - récupération ] Débat : Célébrer l’éducation et les apprentissages, un combat universel. Dans l’Agenda 2030 des Nations unies, l’accès de toutes et tous à une éducation de qualité constitue le quatrième objectif de développement durable (ODD).
Un ODD parmi dix-sept mais qui les gouverne tous, tant le niveau d’éducation d’une population, et en particulier des filles, est surdéterminant pour les trajectoires de développement d’un pays. Un objectif qui sera célébré ce 24 janvier 2021, ainsi que le 25 janvier 2021, à l’occasion de la troisième Journée internationale de l’éducation. L’éducation a été particulièrement touchée par la pandémie de Covid-19 : avec 184 pays ayant fermé leurs écoles, c’est plus de 1,5 milliard d’élèves qui n’ont pas été scolarisés en 2020, soit près de 90 %. La pandémie vient donc aggraver des situations déjà préoccupantes. Est-ce vrai que notre capacité d’attention est limitée à 15 minutes ? L’apprentissage de la musique « recâble » le cerveau et le rendrait plus performant ! « La musique adoucit les mœurs » selon le proverbe.
Tantôt stimulante, tantôt apaisante, elle est parfois utilisée pour le traitement de certains troubles psychologiques. Mais la musique aurait bien d’autres vertus : des neuroscientifiques affirment que pratiquer la musique dès le plus jeune âge contribue à renforcer les connexions cérébrales. À travers la pratique de la musique, les enfants développent certaines capacités cérébrales qui leur permettent de s’améliorer dans d’autres domaines. Les enfants qui jouent de la musique auraient ainsi davantage de facilité à lire ou à apprendre d’autres langues. La pratique de la musique permettrait de développer les connexions neuronales, conférant au cerveau une certaine plasticité, un atout que l’enfant conservera à vie (même s’il abandonne ses cours de solfège en grandissant). Des connexions cérébrales accrues chez les musiciens La preuve de l’effet bénéfique de tout nouvel apprentissage Source : Journal of Neuroscience, S.
En quoi la disposition des élèves dans une classe influe-t-elle sur leur concentration ? De nos jours, plusieurs élèves rencontrent des difficultés comportementales : manque de concentration, autonomie limitée, bavardages incessants, etc.
Fabrication du Kit ArchiLab. Un pdf récapitulatif de la liste des fournitures à acheter est disponible dans la partie fichier de la documentation. 1 - Bois : • 1A - Pour formes en bois : (les dimensions des tasseaux et tourillons peuvent varier de quelques mm sans problème) -tasseau carré 15mmx15mm (x1) [lien] -tasseau carré 22mmx22mm (x1) [lien] -tasseau rectangulaire 15mmx30 (x1) [lien] -tasseau plat 3mmx30mm (x1) [lien]
Webinaire FAQ Faire classe dehors - Archiclasse. Toutes les réponses pour bien débuter la classe dehors c’est un 1er webinaire FAQ pour répondre aux premières questions qu’on se pose avant de se lancer et faire classe dehors :
Détecter les biais cognitifs liés à l’environnement - CLEMI. Notre cerveau crée des automatismes (heuristiques) qui peuvent induire des erreurs (biais cognitifs) liées à nos sens, notre attention, notre mémoire et notre raisonnement.
Face à une situation complexe, il est attiré par des explications intuitives qui s’adaptent à ses croyances (pour mieux comprendre ces mécanismes, se reporter aux ressources). En prendre conscience peut aider l’élève à interroger son rapport à l’information, notamment médiatique, pour gagner en discernement et agir en citoyen éclairé. Cette activité propose de cerner les biais inhérents au traitement médiatique de l’environnement. Déroulement. #30 Pratiques enseignantes et confinement. En ce début d’année 2021, notre quotidien est toujours rythmé par la lutte contre la COVID 19.
Dix mois après l’annonce du premier confinement, nous en sommes aujourd’hui au temps des premières vaccinations et nous suivons avec attention la progression des nouveaux variants. Dès le départ, cette crise sanitaire a modifié nos repères, tant dans nos vies privées que dans nos vies professionnelles. Crayons ou claviers : le geste d’écriture change-t-il notre rapport au monde ? Pour commencer, j’inviterai les lectrices et les lecteurs de ces lignes à prendre un stylo et à écrire sur une feuille « que fait la main qui écrit ?
», c’est-à-dire à faire l’expérience de l’écriture de manière intentionnelle et consciente du geste. Il est fort probable, que tout comme les étudiants plus ou moins volontaires à qui je demande de passer au tableau et de faire la même chose lors du premier jour de cours, vous ressentiez une certaine surprise, voire gêne, devant la consigne. Ce que les réseaux font aux cerveaux. Dans son dernier livre, Apocalypse cognitive, Gérald Bronner, sociologue, met en relation les techniques les plus modernes de l’information, et les mécanismes les plus archaïques de nos cerveaux, en soutenant que toutes les médiations patiemment construites par l’humanité sont en train d’imploser.
C’est ce qui expliquerait les déflagrations en ligne, mais aussi dans le réel, quand les tenants des fake news descendent dans la rue. Déjà dans L’homme réseau-nable, Lionel Naccache, professeur en neurobiologie, de son côté, avait développé une analogie entre cerveau et réseau, et leurs explosions « épileptiques ». Quels sont les dangers de ces deux extrêmes de la technique et de la vie, les réseaux et les cerveaux ?
Le diagnostic est-il le bon, est-il le même aussi entre le neurologue et le sociologue qui se rencontreront ici ?