Note. Dépendance à Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet (également nommée cyberdépendance cyberaddiction usage problématique d'Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI)) désigne un trouble psychologique entraînant un besoin excessif et obsessionnel d'utiliser un ordinateur et interférant sur la vie quotidienne. Des activités en ligne, telles que l'achat en ligne, si faite en personne, peuvent être considérées comme problématiques si celles-ci sont compulsives. Signes et symptômes[modifier | modifier le code] D'après le spécialiste français Romain Cally « sur le web, la compulsion apparaît lorsque l'internaute ne juge plus son comportement normal, mais ne peut pour autant éviter de se connecter. Symptômes psychologiques allégués[9] : Symptômes physiques allégués[10] : yeux secs ;maux de tête migraineux ;maux de dos ;syndrome du tunnel carpien ;repas irréguliers ou sautés ;mauvaise hygiène personnelle ;insomnies ou changements dans le cycle du sommeil.
D. Psychologie : Dépendance au jeu vidéo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La dépendance au jeu vidéo désigne un trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo. L'addiction aux jeux vidéo entraînerait chez le joueur des comportements au caractère répétitif et compulsif, comme chez les joueurs pathologiques ou les consommateurs de substances psychoactives. Controverse[modifier | modifier le code] Le 6 mars 2012 l'Académie nationale de Médecine précise qu'il est préférable de parler de « pratique excessive » que d'addiction aux jeux-vidéo et cela pour deux raisons[1] : il n'y a à ce jour aucun consensus scientifique sur l'existence d'une réelle addiction aux jeux vidéo ;le terme « pratique excessive » est plus approprié car moins stigmatisant. Ainsi, le psychanalyste Yann Leroux affirme pour sa part qu’« Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo[2]. » De même, Keith Baker, spécialiste de l'addiction, a créé en 2006 un centre de désintoxication.
Internet addiction - cyberd pendance - cyberaddiction. Cyberaddiction, nouvelle "toxicomanie sans drogues" Rsume : LInternet offre des multiples possibilits dans les domaines du travail, de l'ducation, ou dans la communication.
Pourtant il y a des personnes qui dpassent les limites dune connexion "normale" et qui vont dans le sens dune conduite addictive, perdant tout contact avec la vie relle. L'adaptation de la grille des critres de l'addiction selon le DSM-IV prouvent le bien fond d'une telle affirmation. Les critres de laddiction peuvent sappliquer dans la mme mesure au jeu pathologique, lachat compulsif, la sexualit pathologique, le point commun de ces conduites addictives tant la perte de contrle, la recherche de sensations et de plaisir. Dans le cas des cyberaddictifs, on assiste une polyaddiction, somme et intrication de laddiction lInternet, de la addiction communicationnelle, de la sexualit pathologique.
Mots-cls : Internet - addiction - cyberaddiction polyaddiction - addiction communicationnelle - ralit virtuelle 1. Stress numérique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le stress numérique est la conséquence de l’amplification des mécanismes de stress par un environnement numérique omniprésent : en France le nombre de cartes mobiles (ou cartes SIM) actives (80 millions) [1] dépasse le nombre de français (66 millions) et au moins trois réseaux sont simultanément disponibles pour plus de 99% de la population. Cette dénomination, intègre le nouveau paradigme numérique (Cf. section 1), auquel est associé le caractère addictif du numérique[1]. Du stress au burnout ou syndrome d'épuisement professionnel (état d’une personne soumise à des facteurs de stress organisationnels permanents et répétitifs qui altèrent son bien-être et épuisent ses ressources)[2] et d'usages libres aux dépendances numériques (voire à l'association des deux), les enjeux sont multiples. Numérique : nouveau paradigme et nouvelles dimensions, nouveaux risques[modifier | modifier le code] Stress et numérique[modifier | modifier le code]
Nomophobie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La nomophobie est une phobie liée à la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot a été inventé au cours d'une étude menée en février 2008 par la UK Post Office qui accrédita YouGov, une organisation de recherche basée au Royaume-Uni, pour observer les angoisses subies par les utilisateurs de téléphones mobiles[1]. Le terme est un mot-valise construit par contraction de l'expression anglaise « no mobile-phone phobia »[2] et désigne alors la peur excessive d'être séparé de son téléphone mobile[3],[4],[5].
Michael Quinion (en) décrit ce néologisme comme une « affreuse chimère étymologique partiellement construite sur le grec ancien », et observe que le sens le plus logique à associer au terme « nomophobie » devrait être celui de « peur excessive des lois », considérant que le grec ancien nomos signifie « loi »[6].