Des barres, des roulements, des poulies et des ficelles : le Core XY avance – Dirty Marmotte. « Prendre des p’tits bouts d’truc et puis les assembler ensemble… » J’ai enfin monté tout mon petit bazar, et voici l’histoire du Core(X,Y) fishing line édition! Enfin plutôt « butcher line » parce que c’est de la ficelle de boucher. En bougeant les moteurs à la main, tout a l’air bon, alors j’attaque l’électronique.
Au départ, je voulais utiliser grbl sur mon arduino uno, mais hélas il ne gère pas nativement le CoreXY. Alors j’ai opté pour Teacup, qui le gère et qui propose des sorties PWM (qui vont me permettre de contrôler la puissance de mon laser). Les Pololu Bon j’avoue, j’en ai un peu chié avec ces pololu. Je vais vous donner la solution directement, c’est plus pratique: Teacup Alors Teacup, c’est d’abord un poil de configuration. Pour que ça compile, il faut aussi renommer ThermistorTable.single.h en ThermistorTable.h. Dans le config.h, il y a un paramètre pour indiquer qu’on utilise une mécanique CoreXY: [code] #define KINEMATICS KINEMATICS_COREXY [/code] #define MAXIMUM_FEEDRATE_X 20000.
Paramétrage des impressions double extrusion sur Simplify3D. Dans nos précédents articles concernant Simplify3D, nous vous présentions les différents réglages à optimiser pour obtenir des impressions d’une bonne précision ainsi que le paramétrage de plusieurs process sur la même pièce. L’article de cette semaine sera quant à lui articulé autour du paramétrage des impressions à double extrusion. Cette fonctionnalité offerte par les imprimantes disposant de deux buses d’extrusion (voir plus) permet la création d’objets imprimés de deux couleurs différentes ou l’impression d’objets comportant des porte-à-faux importants supportés par un matériau soluble.
La configuration de telles impressions sur Simplify3D nécessitent l’optimisation d’un certain nombre de paramètres. Nous allons vous détailler ce processus dans cet article qui conclut notre série de tutoriels sur le logiciel Simplify3D. Paramétrer ses impressions bicolores sur Simplify 3D La sélection du modèle auquel le process doit s’appliquer s’effectue lors de l’édition du process en question.
All Lasercut 3D Printer (Prusa I3) Under 200$ Outstanding Performance No Printed Parts! The printer uses the same mechanical an electronic parts as other prusa printer. Mechanical: 1. Smooth Rods 8mm diameter, 2 * 380mm X axis, 2 * 410mm Y axis, 2 * 320mm Z axis totaling to 2220mm but get a few centimeters longer so your not short after cutting. 2. Threaded Rod 8mm diameter, 2 * 450mm totaling to 900mm but get a few centimeters longer so your not short after cutting. 3. 4. 10 * Linear Bearing LM12UU 5. 2 * 300mm T8 8mm Leadscrew with copper nut 6. 2* Motor to Leadscrew Flexible Coupling 5*8 7. 8. 2 * GT2 Timing pulley 20 Teeth 5mm bore, 2 * GT2 Timing Pulley Idler 20 Teeth 9. 12 * 8mm Nut and Washer for threaded rod 10. 60 * M3 screw 15mm length 11. 75 * M3 screw 10mm length 12. 10 * M3 screw 30mm length 13. 150 * M3 Nut and Washer 14. 15. 4 * Spring for Bed Electronics: 1. 1 * RAMPS Board 2. 1 * Arduino Mega 2560 3. 4 * Pololu A4988 Stepper Motor Driver 4. 3 * Endstop w/ cables Optional 5. 1 * Power supply 12 V 15 A w/ cables 6. 1 * MK2 PCB Heatbed 200*200mm 7. 1 * 100K Thermistor 9. 10. 11.
Converting your file. Imprimante 3D : Prusa I3 Rework 1.5, Trouvez les meilleurs prix |3dnatives. L’adhérence, un problème ? Les solutions « Wiki Filimprimante3D. Tout bon imprimeur est confronté un jour ou l’autre à des problèmes d’adhésion des pièces au plateau de son imprimante 3D, tout comme des problèmes de warping (déformation des extrémités de la pièce durant l’impression). De nombreux paramètres entrent en jeu : le type de filament, le plateau (matière et température), la distance de la buse, etc. Si les premières couches n’ont pas adhéré correctement, la réussite de l’impression est grandement compromise.
Il existe bon nombre de solutions afin de pallier à ces problèmes. Nous allons vous donner ici le panel des solutions pouvant être mises en œuvre pour améliorer l’adhérence. Le plateau, d’abord Commençons par le commencement : le plateau de l’imprimante 3D. Les types de plateau Un des plus courant est le verre, utilisé pour sa bonne résistance à la chaleur, aux rayures mais également pour sa solidité et sa planéité : vous pourrez y associer une très grande partie des matériaux d’adhésion que nous citerons par la suite. Le BlueTape. L'impression 3D à base de coquilles d'huître, une initiative française ! Au fil des mois, de nombreuses initiatives ont vu le jour afin de développer des matériaux d’impression 3D toujours plus propres conçus en respect avec l’environnement. The Plastic Bank dévoilait ainsi avoir mis au point le premier filament pour imprimante 3D issu de déchets plastiques recyclés en juin dernier.
D’autres acteurs proposaient eux des plastiques écologiques issus de ressources naturelles, comme le filament FilaSoy à base de soja, le SWF à partir d’algues, le filament à base de noix de coco ou encore ceux à base de paille ou bien de bambou. Le filament pourrait contenir jusqu’à 20% de coquilles d’huître Aujourd’hui, l’Université de Bretagne-Sud, par le biais de son département technique composiTIC, annonce expérimenter un nouveau filament biodégradabe pour imprimante 3D à partir de poudre de coquilles d’huître.
La poudre, dénommée Ostrécal, est produite par l’Usine de Kervellerin, située dans le Morbihan. Plus d’informations ICI. Figurine Fight girl imprimée sur Micro d'EnvisionTEC avec le matériau HTM140 - via ARKETYP 3D | Impressions 3D | Pinterest | Figurine, 3D et Filles. Imprimantes 3D | Tobeca - fabricant imprimantes 3D françaises et open source RepRap. Tobeca 2 (RepRap) - Imprimante 3D Fabriquée en France. Omote 3D, un photomaton qui produit… une statuette. Une fois la statuette créée par l'imprimante 3D, elle devra être délicatement peinte pour en faire une effigie présentable. © Omote 3D Shashin Kan Omote 3D, un photomaton qui produit… une statuette - 2 Photos Une entreprise japonaise a-t-elle conçu le photomaton du futur ?
Du 24 novembre au 14 janvier 2013, les visiteurs de la galerie d'art Eye of Gyre à Harajuku, un quartier de Tokyo, pourront entrer dans une cabine photo Omote 3D Shahin Kan et en ressortir avec une réplique d'eux-mêmes d'une vingtaine de centimètres. Voilà une nouvelle utilisation de la technologie en vogue des imprimantes 3D. L'appareil japonais scanne la personne toute entière pour en livrer une version miniature haute, au choix, de 10, 15 ou 20 cm. Le fabricant présente cette invention comme une nouvelle façon de concevoir le traditionnel portrait de famille. Mieux qu'une photo encadrée : une petite statuette posée sur le bureau... A voir aussi sur Internet Sur le même sujet.