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Marry Me in Bassiani

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(LA)HORDE. Ballet National de Marseille - Centre chorégraphique national. Fondé en 2013, (LA)HORDE est un collectif qui réunit les trois artistes Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel.

Ballet National de Marseille - Centre chorégraphique national

Ensemble, elle.il.s questionnent les codes de différentes disciplines artistiques, notamment dans les champs du spectacle vivant et de l’art contemporain. À la tête du Ballet national de Marseille depuis septembre 2019, (LA)HORDE crée des pièces chorégraphiques, des films, des installations vidéo et des performances avec comme sujet principal permanent, le corps en mouvement. À l’aide de mediums multiples, elle.ils développent des scénarios et des actions qui prennent racine dans des problématiques contemporaines et se déclinent sur plusieurs espaces de narration. (LA)HORDE collabore avec des communautés d’individus en marge de la culture majoritaire pour un bout de chemin solidaire et artistique : septuagénaires, non- voyants, fumeurs, adolescents ... Opposés à toute forme de hiérarchie et d’appropriation culturelle, ils pratiquent l’interrelation et la coopération.

Marry Me in Bassiani - Dossier de présentation du spectacle. MARRY ME IN BASSIANI Teaser.

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Le collectif (La) Horde présente Marry me in Bassiani - Journal La terrasse. Marine Brutti, Jonathan Debrouwer et Arthur Harel forment le collectif (La)Horde, tout récemment arrivé à la direction du CCN Ballet de Marseille.

Le collectif (La) Horde présente Marry me in Bassiani - Journal La terrasse

D’une voix, ils nous parlent de leur nouvelle création. Cette création a en commun avec votre précédente pièce la question des pratiques post internet, de la communauté, et de la jeunesse. Qu’est-ce qui a primé ? Collectif (La)Horde : Pendant To da bone, on échangeait beaucoup de vidéos entre nous et on a découvert des vidéos de répétitions de ballet géorgien, avec des gestes repris dans des vidéos de mariages. Avec la viralité d’internet, on a mis du temps à localiser leur origine. Quel est le lien avec Bassiani, nom d’un club techno de Tbilissi ? Marry me in Bassiani par (LA)HORDE. Marry me in Bassiani chorégraphie (La) Horde - M La Scène. (La) Horde, le collectif récemment nommé à la tête du Ballet national de Marseille, s’empare d’un événement brutal survenu en 2018, en Georgie, dans sa nouvelle création, Marry me in Bassiani.

Marry me in Bassiani chorégraphie (La) Horde - M La Scène

La danse peut-elle jouer un rôle politique et lutter contre un pouvoir établi ? Une Rave révolution en Géorgie Dans la nuit du 11 au 12 mai 2018, à Tbilissi, la capitale de la Géorgie, des policiers cagoulés, masqués et armés, font une descente musclée dans deux clubs techno, dont « Le Bassiani », très en vogue auprès d’une jeunesse éprise de liberté. Face aux forces conservatrices du pays ( gouvernement, église orthodoxe, groupes d’extrême droite), les clubs offrent des espaces d’évasion et de sécurité, notamment, pour la population LGBT. Durant ce raid, de nombreuses arrestations ont lieu. Pour protester contre ce coup de force, la jeunesse géorgienne se rassemble alors devant le parlement de Tbilissi. . « We dance together, we fight together », Lire une autre critique danse M La Scène. Marry me in Bassiani : danse, techno et Géorgie. Marry me in Bassiani !

Marry me in Bassiani : danse, techno et Géorgie

La MAC de Créteil présente, avec le Théâtre de la Ville, le spectacle le plus intrigant de la saison : on y fête un mariage et on danse comme des fous, jusqu’à ce que la tradition, le machisme et les politiques éclatent en morceaux. Une rencontre endiablée entre danses traditionnelles géorgiennes et musique techno. (La) Horde, ce sont trois jeunes artistes qui ont le vent en poupe.

Depuis la rentrée, ils dirigent le Ballet National de Marseille, autrement dit, le Centre Chorégraphique National de la Cité Phocéenne. S’ils ont été sélectionnés, contre plusieurs chorégraphes très chevronnés, pour lui donner une nouvelle identité, c’est justement grâce à une série de spectacles totalement insolites, dont ils ont le secret. Collectif (La) Horde - Marry me in Bassiani - Télérama. «Marry Me in Bassiani», traditions et techno. Une séquence du film de Levan Akin voit le jeune Merab suivre un groupe de travestis jusqu’à Bassiani, un club techno mythique de Tbilissi, emblème de la frange progressiste de la Géorgie postsoviétique, qui a fait l’objet d’un raid de l’armée en mai 2018.

«Marry Me in Bassiani», traditions et techno

Face à cette violence, des milliers de clubbers, venus parfois d’Arménie ou d’Azerbaïdjan, s’étaient fédérés pour créer une rave party devant le Parlement, une contestation pacifique pendant trois jours pour célébrer la «liberté des corps». Levan Akin n’avait pas attendu cet événement pour écrire son film (il dit en avoir eu le besoin à la suite de la répression d’une marche des fiertés en 2013). Mais trois jeunes chorégraphes français, eux, nouveaux directeurs du Ballet national de Marseille, s’en sont inspirés pour créer une pièce qui, coïncidence éloquente, tourne en même temps que la diffusion du film, sur des thématiques jumelles.

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