Atos : lance son data-center numérique. Apple : 1,7 milliard d’euros dans les data centers. Un data center écologique en Norvège. Comme la falaise de Preikestolen qui culmine à 604 m, le data center Green Mountain se situe dans le Lysefjord / © Doug Pearson La numérisation de nos activités fait exploser nos besoins d’énergie. D’abord pour recharger nos appareils et les laisser en veille, mais aussi pour faire fonctionner les data centers, dans lesquels nos données sont stockées. Parmi les data centers les plus écologiques de la planète, celui de Green Moutain, dans le sud-ouest de la Norvège, qui consomme 100% d’énergie renouvelable. Les data centers sont des centres informatiques qui stockent nos données, nos photos, nos comptes en banque, et qui ont besoin de toujours plus d’énergie pour faire tourner et refroidir leurs ordinateurs.
En France, les data centers représenteraient déjà plus de 9 % de la consommation totale d’électricité du pays. Dans ce contexte, Green Mountain fait figure de très bon élève. Sophy Caulier. Interxion et Telecity Group fusionnent. Deux géants européens des datacenters, l’anglais Telecity Group et le néerlandais Interxion ont annoncé avoir entamé un processus de fusion d’action visant à terme à la création d’une co-entreprise rassemblant les deux sociétés. La fusion prendra forme à travers un échange d’actions et la nouvelle structure ainsi crée sera détenue à 55% par les actionnaires de Telecity Group et 45% pour ceux d’Interxion.
Cette fusion valorise les actions du groupe Interxion à 26,47 dollars, au dessus de son cours de clôture, valorisant la société à 2,4 milliards de dollars. Les conseils d’administration espèrent que la fusion sera achevée au second semestre 2015. Les deux acteurs font partie des sociétés les plus importantes sur le secteur des datacenters européens : Interxion dispose de 39 datacenters repartis dans 11 pays européens tandis que Telecity s’appuie de son coté sur 37 datacenters, également dans toute l’Europe. Dix postes technologiques clés pour votre budget 2015. Nous sommes de nouveau à la période de l'année où le département informatique doit établir ses plans pour l'année à venir et se préparer pour les discussions relatives au budget. Voici dix postes de dépense qui devraient arriver en tête des listes d'achats informatiques des entreprises en 2015. 1.
Optimisation du réseau étendu Avec la multiplication des nouvelles applications web pour les clients et employés qui travaillent sur le terrain, le département informatique d'entreprise doit veiller au bon état du réseau interne, ainsi qu'à la qualité de l'expérience de l'utilisateur final sur internet. De nouveaux investissements informatiques seront réalisés dans les terminaux de réseau qui mesurent le "trafic extérieur" et dans les solutions basées sur le cloud computing qui peuvent surveiller le trafic internet à travers le monde, réacheminant le trafic en cas de besoin. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. Le datacenter est un contributeur majeur des initiatives de durabilité d'entreprise. 9. 10. Apple : 1,7 milliard d'euros pour des datacenter en Europe...
Apple poursuit ses investissements massifs dans les datacenters à énergie propre, cette fois en Europe. La firme annonce en effet qu'elle va dépenser 1,7 milliard d'euros pour bâtir deux centres de données en Irlande et au Danemark. Tous les deux seront alimentés à 100% par des énergies renouvelables. "Ces installations, situées dans le Comté de Galway en Irlande et en Jutland-Central au Danemark, hébergeront les services en ligne d’Apple, notamment l’iTunes Store, l’App Store, iMessage, Plans et Siri pour des clients de toute l’Europe", peut-on lire dans un communiqué. Les deux centres de données, mesurant chacun 166.000 m², devraient être opérationnels en 2017. À Viborg, au Danemark, Apple éliminera tout besoin de générateurs supplémentaires en plaçant son centre de données juste à côté de l’une des plus importantes sous-stations électriques du pays.
"Nous sommes convaincus que l’innovation doit nous permettre de laisser derrière nous un monde meilleur. Webaxys va construire un data center près du Havre. Après un premier data center à Sotteville-les-Rouen (Seine-Maritime), Webaxys, spécialiste de l’hébergement de systèmes d’information, s’apprête à en construire un deuxième dans la région du Havre (Seine-Maritime) et envisage la construction d'un troisième à Caen (Calvados) en 2017. Hébergeur de systèmes d’information et opérateur télécom pour les entreprises, la société Webaxys s’est équipée en 2011 de son propre data center qui héberge 400 clients (PME et grands comptes régionaux). L'entreprise a réalisé 1 million de chiffre d'affaires en 2014 et emploie 6 salariés. Installée à Sotteville-les-Rouen (Seine-Maritime) à côté de Rouen, Webaxys a l’ambition de créer deux autres data centers en Normandie.
C’est ce qu’a confié son dirigeant-fondateur Emmanuel Assié mardi 24 février en faisant visiter ses installations au président de la région Haute-Normandie Nicolas Mayer-Rossignol. La carte du régional La carte du "green" Claire Garnier. GT Advanced, Apple va reconvertir l’usine de verre saphir en datacenter. Livres blancs #9 : DevOps, evolution du business et des technologies. Marges de Cisco : HP et Facebook se rebiffent. En mars prochain, HP va commercialiser de nouveaux modèles de commutateurs de réseau embarquant une couche logicielle open source. Ce sont les entreprises Accton Technology (partenaire depuis 20 ans d’HP) et Cumulus Networks qui fourniront le hardware et le software ; HP se contentant de vendre et d’assurer le support mondial du matériel.
Cumulus Networks fournit également depuis l’an passé Dell, concurrent d’HP, sur ses outils réseau d’entrée de gamme. Cette annonce est en ligne avec la nouvelle stratégie du géant américain, dont Meg Whitman, la CEO, annonçait en octobre dernier la scission en deux entités distinctes. Il s’agit pour HP désormais de capitaliser sur les services, et de déléguer tout ce qui n’a pas une valeur ajoutée aussi forte. 6 pack, le switch réseau de Facebook, censé montrer ses muscles face à Cisco. (Crédit : Facebook) Pour autant, pas question de laisser des parts de marché à la concurrence. Mais le monde des datacenters est en pleine évolution.
Analyse : un PRA à tout prix ? Pas question ! Le coût des pannes informatiques est le sujet favori des éditeurs de solutions de sécurité. C’est un argument de vente puissant. Même s’il est presque impossible de quantifier l’impact des pannes. Pour se rassurer les DSI peuvent être tentées par la mise en place d’un PRA, soit un Plan de Reprise d’Activité. « Quand un actionnaire met de l’argent dans une société, et que l’IT est un ‘asset’ clé, du point de vue de l’actionnaire, il vaut mieux avoir un plan B » souligne Sylvain Defix de NTT Com Security, société de conseil en sécurité de l’information et en gestion du risque. Il précise : « Il y a une émergence de la notion d’inéluctabilité de l’incident ». L’idée donc : positionner à distance du site de production informatique qui prend le relais en cas de panne sur le site principal. Quel RTO, quel RPO ? « La question du Plan de Reprise d’Activité, c’est quelle est la durée d’indisponibilité tolérable ? Car mettre en place un PRA ne permet pas une reprise d’activité immédiate.
Le marché IT chinois se nationalise à grande vitesse. Le cabinet d'étude note que les entreprises IT locales sont de plus en plus compétitives, et ce dans des domaines tels que la qualité de service, les prix, ou encore la souplesse de configuration des produits. Huawei et Lenovo sont deux des acteurs les plus connus, « mais des milliers de petits vendeurs ont amélioré de manière significative leurs capacités en termes de R&D, de marketing, de support et de service », dit le Gartner, qui mentionne toute fois que le prix reste le point fort de ces acteurs. Conséquence : des pertes de part de marché des grands de l'IT sur le marché chinois, au profit d'acteurs locaux. « Cette tendance est particulièrement forte sur le marché des serveurs, où les vendeurs locaux cannibalisent rapidement les vendeurs internationaux » explique Jimmie Chang, du Gartner.
Sur le marché du stockage, Huawei devrait être en position de défier rapidement EMC poursuit l'expert, qui précise également que Cisco perd régulièrement du terrain face à ses concurrents chinois.