Le musée du parfum ouvre ses portes: expérentiel, pédagogique, ludique. Sis dans l’ancienne maison de couture Christian Lacroix face au Bristol, le Grand Musée du Parfum ouvre ses portes aujourd’hui.
Il invite à une expérience qui conjugue olfaction, culture et design dans ce magnifique écrin. Cette nouvelle institution culturelle offre un parcours fondé sur l’émotion, la sensorialité et le plaisir, reflétant par là-même les qualités intrinsèques du parfum. La dimension ludique en plus ! Ce nouveau musée version 2.0 est fortement empreint des nouvelles technologies et du design. Parcours interactif, tablettes smartguide, installations contemporaines design ou laser, scénographie aux formes organiques et vaporeuses et aux dispositifs olfactifs, holograme. En s’appuyant sur du fond, puisque la visite démarre avec la présentation des racines du parfum. A l’étage, c’est le métier de parfumeur qui est ici éclairé de façon pédagogique et ludique. Au dernier étage, ce sont les matières premières qui sont mises en exergue.
Dans "Innovation" Interactive art. Music Room (1983), Jean-Robert Sedano and Solveig de Ory Montpellier (France)[1] The Tunnel under the Atlantic (1995), Maurice Benayoun, Virtual Reality Interactive Installation : a link between Paris and Montreal Maurizio Bolognini, Collective Intelligence Machines series (CIMs, from 2000): interactive installations using the mobile phone network and participation technologies taken from e-democracy.[2] 10.000 Moving Cities (2018), Marc Lee, Augmented Reality Multiplayer Game, Art Installation[3] Interactive art is a form of art that involves the spectator in a way that allows the art to achieve its purpose.
KAMITOPEN - WORKS. TOIRO Saitama, Japan / 2012 "Junin toiro (many men, many minds)" 'TOIRO' is The rent space which a country manages.
In this facility that is named after "junin toiro", I imagined the personality of each person as "colors". When you walk across the white space, your shadow will be colored by the principle of "(*)additive mixture". This allows the space to become a place where people are able to see the "color" they primarily possess, but not seen usually. Irakli Sabekia turns razor wire fence into radio transmitter. Designer Irakli Sabekia has developed a device that can turn the border fence between Russia and his native Georgia into a radio transmitter.
Using the fence as an antennae, the specially tuned transmitter broadcasts the names and coordinates of villages that were erased during 2008's Russo-Georgian War, in Morse code. "Stating the names of the cities, and placing them on their proper locations forces the fence to voice what it's meant to hide," explained Sabekia, who was born in a town that now lies behind the occupation line. According to the designer, Russia's presence in the provinces of South Ossetia and Abkhazia destroyed many villages and many nationally-important buildings. Enrichir l'expérience muséale par le numérique - neodigital neodigital. L’émergence des technologies du numérique et de l’internet ont profondément remis en question la majeure partie des gestes de notre quotidien, plus de 82% des foyers sont reliés à ce réseau mondial et l’utilise pour se repérer, s’informer, apprendre, communiquer, à travers le monde et en temps réel.
Un terrain de jeu à portée de main qui permet au plus grand nombre de se cultiver autrement et davantage. Parallèlement, on observe une baisse de fréquentation des musées chez les jeunes et leurs parents où l’usage du smartphone est devenu la norme. Alors, la gratuité ponctuelle des musées, les journées du patrimoine, les grandes expositions médiatisées … peuvent-elles répondre à ces publics en quête d’émotion et d’interactivité ?
Les technologies numériques peuvent elles être un levier de découverte ou de réappropriation des musées autrement ? Les technologies numériques ont investi nos vies pour le meilleur comme pour le pire, semble-t-il, soit ! 1 – s’ouvrir à tous publics. ÉducArt, une plateforme numérique pour apprendre par l'art. Un texte de Catherine François Il s’agit du plus important projet d’éducation dans lequel le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) se soit jamais impliqué.
C'est à l’initiative de la directrice du Musée, Nathalie Bondil, que cette plateforme est née. Je voulais que les collections du Musée s'invitent dans toutes les classes d'écoles dans tout le Québec. En 2010, le Musée avait envoyé des affiches représentant des œuvres d’art dans les écoles secondaires du Québec : c’est à partir de là que Nathalie Bondil a eu l’idée de développer cette sorte de « bibliothèque numérique ». Le projet a été lancé il y a quatre ans : quelque 800 personnes y ont participé et 15 000 kilomètres ont été parcourus au Québec pour aller à la rencontre d’enseignants et d’experts pour concevoir cette plateforme. . « La mécanique qu'on a mise en place, c'est de partager notre collection avec des experts de différents domaines, explique Mme Deveault. . « L’art est polyglotte » Cas pratique Un bon début. Exposition « Mise à jour – Apprendre à l’ère numérique »