Glaucome. Le Centre d’investigation clinique de l’hôpital des Quinze-vingts (Paris) bénéficie des technologies de pointe en matière d’imagerie médicale.
Des outils de plus en plus performants permettent des observations toujours plus précises des différentes structures de l’œil. Le balayage au laser offre par exemple la possibilité d’observer un trabéculum obstrué. Épilepsie. La manifestation la plus typique de l’épilepsie est la crise épileptique, dont on distingue deux types : la crise généralisée et la crise focale.
Mais les troubles associés de la cognition, du sommeil ou du langage... font aussi partie du syndrome épileptique. Toutes ces manifestations ont des conséquences délétères sur le bien-être, l’insertion scolaire et socioprofessionnelle, la vie quotidienne et la qualité de vie des personnes malades. Les crises généralisées Elles sont liées à l’excitation et à la synchronisation de neurones issus d’emblée de plusieurs zones réparties dans les deux hémisphères cérébraux. Elles associent une perte de conscience transitoire (absence de quelques secondes à quelques minutes) à des signes moteurs toniques (contractions musculaires), myocloniques (secousses musculaires), tonicocloniques (associant les deux) ou atoniques (sans tonus musculaire). Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Les chercheurs tentent en parallèle de trouver de nouvelles cibles thérapeutiques.
Un pigment epithelium-derived factor (PEDF) est en cours de développement. Il s’agit d’un facteur anti-angiogénique et neuroprotecteur naturellement produit par les cellules épithéliales pigmentaires rétiniennes, mais déficient en cas de DMLA. Autisme. Les personnes atteintes d’autisme semblent peu accessibles aux autres.
Elles établissent difficilement les contacts nécessaires à la construction d’une relation interpersonnelle, en particulier les contacts visuels. Le plus souvent, elles ne répondent pas lorsqu’on les appelle. Elles sourient très rarement et semblent ne pas comprendre les sentiments et les émotions des autres. Les troubles de la communication associés à l’autisme touchent à la fois le langage et la communication non verbale.
Une importante proportion – mais pas une majorité – des personnes atteintes de TSA présente des troubles du langage : répétition incessante des mêmes phrases, modulation et formulations inhabituelles, non utilisation de termes abstraits, etc. Les personnes atteintes d’autisme ont souvent des comportements répétitifs (balancements du corps, battements des mains, tournoiements …), auto-agressifs (se mordre les mains, se cogner la tête…) ou inappropriés (pleurer ou rire sans raison apparente…). Alzheimer (maladie d') Multidimensionnelle, la prise en charge de la maladie d’Alzheimer combine hygiène de vie, activités, traitement médicamenteux et dispositions médico-sociales, de l’accueil ponctuel de jour à l’hébergement permanent en institution.
Pour les patients, mais aussi pour aider et soulager les aidants… Dans tous les cas, le mot clé de la prise en charge est "personnalisation" : au-delà du fait que chaque patient est unique par nature, tous ne présentent pas tous les mêmes symptômes, ni la même évolution de leur maladie. Il est essentiel que le patient continue ses activités habituelles - cognitives et/ou physiques - et maintienne autant que possible une vie sociale.
L’équilibre de l’alimentation est tout aussi important. Certains centres prônent une démarche plus active consistant à "stimuler" le patient en lui proposant des activités. Toutefois, lui proposer, voire lui imposer une activité qui ne l’a jamais intéressé avant sa maladie, ou qui le met en échec, ne peut qu’augmenter son stress. Diabète de type 2. En France, la prévalence globale du diabète était estimée à 5% de la population en 2016, le diabète de type 2 (DT2) correspondant à 90% des cas.
Ce chiffre est cependant largement sous-estimé puisqu’il ne tient pas compte des personnes non traitées ou non diagnostiquées. Or, compte tenu du caractère silencieux de la maladie, on estime que de 20 à 30% des adultes diabétiques ne sont pas diagnostiqués. Cette part diminue avec l’âge, tombant à 13 % chez les 55-74 ans. L’incidence du DT2 augmente avec l’âge. La maladie se manifeste généralement après 40 ans et elle est diagnostiquée à un âge moyen proche de 65 ans. Accident vasculaire cérébral (AVC) La "reperfusion cérébrale" en cas d'AVC ischémique L’association de la thrombolyse et de la thrombectomie est le traitement de référence depuis 2015 en cas d'infarctus cérébral avec occlusion d’une artère proximale (facilement accessible depuis l'artère fémorale pour procéder à la thrombectomie : terminaison de l'artère carotide interne, premiers centimètres de l'artère cérébrale moyenne - artère sylvienne - ou tronc basilaire).
Cette stratégie d’intervention offre les meilleures chances de récupération. La thrombolyse intraveineuse Il s'agit du traitement de base d’un infarctus cérébral, consistant en l’administration par voie veineuse d’une molécule nommée rtPA (pour recombinant tissue Plasminogen Activator ou "activateur tissulaire du plasminogène recombinant"), capable de dissoudre le caillot sanguin obstruant l’artère. France Alzheimer. Maladie de Parkinson : Parcours de soins (Haute Autorité de Santé) Union Nationale des Aveugles et Déficients Visuels » Malvoyance et cécité : définitions Légalement en France, l’OMS situe à 1/20ème la frontière entre malvoyance et cécité.
Malvoyance. Soins et maladies - Ministère des Affaires sociales et de la Santé. Institut national de la santé et de la recherche médicale.
Infections sexuellement transmissibles (IST)