À un voyageur - Poème Victor Hugo. Voyage de nuit, poème de Victor Hugo. Poème voyage - 16 Poèmes sur voyage. Poèmes et poésie sur le voyage. Ainsi, mon cher, tu t'en reviensDu pays dont je me souviensComme d'un rêve,De (continuer...)
Lorsque ce grand courrier de la philosophie,Condamine l'observateur,De l'Afrique (continuer...) A M. Ch.RotsogeTon visage écarlate ton biplan transformable enhydroplanTa (continuer...) Oui, j'ai quitté ce port tranquille,Ce port si longtemps appelé,Où loin (continuer...) A Frédéric Boutet.Tu chantes avec les autres tandis que les phonographes (continuer...) Au seul souci de voyagerOutre une Inde splendide et trouble- Ce salut soit (continuer...) À La Comète de 1861Bel astre voyageur, hôte qui nous arrivesDes profondeurs (continuer...)
La chair est triste, hélas ! Si La nuit rime avec la mortl'oubli prouvera que tu as tortSi la mort défie (continuer...) Assez vu. L'étoile du berger trembloteDans l'eau plus noire et le piloteCherche un briquet (continuer...) Du fond de mon passé, je retourne vers toi,Mytilène, à travers les siècles (continuer...) La trompette a sonné. . « Prends ma main. Le Voyage. Anthologie de poèmes sur le thème du voyage Horizons Nous levons l’ancre, qui se balance à l’avant : les grandes voiles se gonflent ; les bonnettes donnent à plein ; les trois cacatois s’incurvent sous la brise, qui nous poursuit au large comme une chienne hurlante.
Toute toile dehors, comme un épervier aux ailes étendues, nous faisons glisser notre ombre sur la mer, et, tanguant et roulant, nous fendons l’onde salée.Où allons-nous ? Où cinglez-vous, mariniers ! Herman MELVILLE, Mardi, trad. Départ L’horizon s’inclineLes jours sont plus longsVoyageUn cœur saute dans une cageUn oiseau chanteIl va mourirUne autre porte va s’ouvrirAu fond du couloirOù s’allumeUne étoileUne femme brune La lanterne du train qui part P. Savinien de CYRANO DE BERGERAC, (1619-1655), Histoire comique de la Lune et du Soleil, in Paul Éluard « Première anthologie vivante de la poésie du passé, Seghers.
Route Nationale 7 Charles TRÉNET (né en 1913), Breton in A. La terre Escales L’Escale. L'invitation au voyage - Charles BAUDELAIRE. Charles BAUDELAIRE (1821-1867) Mon enfant, ma soeur,Songe à la douceurD'aller là-bas vivre ensemble !
Aimer à loisir,Aimer et mourirAu pays qui te ressemble ! Les soleils mouillésDe ces ciels brouillésPour mon esprit ont les charmesSi mystérieuxDe tes traîtres yeux,Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n'est qu'ordre et beauté,Luxe, calme et volupté. Des meubles luisants,Polis par les ans,Décoreraient notre chambre ;Les plus rares fleursMêlant leurs odeursAux vagues senteurs de l'ambre,Les riches plafonds,Les miroirs profonds,La splendeur orientale,Tout y parleraitÀ l'âme en secretSa douce langue natale. Vois sur ces canauxDormir ces vaisseauxDont l'humeur est vagabonde ;C'est pour assouvirTon moindre désirQu'ils viennent du bout du monde.- Les soleils couchantsRevêtent les champs,Les canaux, la ville entière,D'hyacinthe et d'or ;Le monde s'endortDans une chaude lumière.
Le voyage - Charles BAUDELAIRE. Charles BAUDELAIRE (1821-1867) A Maxime Du Camp.
Pour l'enfant, amoureux de cartes et d'estampes,L'univers est égal à son vaste appétit.Ah ! Que le monde est grand à la clarté des lampes ! Aux yeux du souvenir que le monde est petit ! Baudelaire à l'île Maurice : un voyage initiatique. Portrait de Baudelaire par Emile Deroy Lorsque le général Jacques Aupick, beau-père détesté du jeune Charles Baudelaire, (la mère de celui-ci s’était remariée en 1828 après la mort de son père François Baudelaire), prend la décision d’un voyage aux Indes afin de le soustraire aux influences néfastes de la vie parisienne, il ignore que ce voyage, qui s'arrêtera aux Mascareignes, va influencer toute l’œuvre du poète.
Le général voit déjà son beau-fils diplomate alors que celui-ci ne rêve que poésie ! Inscrit à la faculté de droit, il fréquente une pension au 11, rue de l’Estrapade et entretient une liaison avec une prostituée juive, Sarah dite la Louchette. Il lui dédiera un de ses premiers poèmes à une fille perdue. On voit beaucoup le jeune dandy dans les cafés de la Rive gauche où il rencontre la bohème du Quartier latin. C’est donc le 1er septembre 1841 que le navire français, Paquebot des Mers du Sud, commandé par le capitaine Saliz, jette l’ancre en rade de Port-Louis.
Sources :