Ponctuation et orthographe. Parfois c’est une chance de recevoir pas mal de visiteur, car certains osent nous proposer des liens de manière intelligente… Je ne parle pas d’échange de liens (là, mis à part quelques personnes… Au fait, Clo, on « s’échange » quand ?).
Je ne parle pas des courriers sous forme de harcélement de multiples «communiqués de presse» que nous savons être des centaines (milliers) à recevoir. La ponctuation Le genre de courrier que j’apprécie, c’est par exemple celui de Karine qui me présente : la ponctuation. Voici le message que j’ai reçu : Bonjour, On a tous tendance aux abus de points de suspension, de points d’exclamation, etc. (NDB —Note Du Blogger— j’ai l’impression qu’elle a lu mon blog avant de m’écrire Pourtant la ponctuation possède aussi ses règles.
Arguments contre le livre numérique. Depuis des années, on entend des amoureux de la lecture clamer leur amour du livre en papier, et lutter de toute leur force heuristique contre les livres numériques.
Je voudrais reprendre ici quelques uns des arguments que j'ai le plus souvent entendus. 1 - Je préfère le papier car j'aime le "charnel", j'aime toucher. Le livre numérique est "dématérialisé", on l'appelle d'ailleurs parfois "livre virtuel". Je préfère le réel au virtuel. 2 - Le livre en papier est plus plus naturel, plus traditionnel. 2 bis - Le livre en papier est plus "authentique". 3 - Un livre en papier (codex) encourage la rencontre avec une oeuvre complète, alors que la liseuse électronique encourage la fragmentation de la lecture. Ces arguments, je les entends depuis toujours et je ne les ai jamais compris. Je réponds brièvement à ces arguments. La lecture en éclats : article. Un texte de Christian Vandendorpe Dossier : L'art de lire en suspens Thèmes : Livres, Revue d'idées Numéro : vol. 11 no. 1 Automne 2008 - Hiver 2009 En novembre 2007, la National Endowment for the Arts faisait grand bruit dans les médias en publiant un rapport sur les habitudes de lecture aux États-Unis[1].
Selon cette enquête, les Américains consacrent de moins en moins de temps à la lecture et 53 % de la population n’a pas lu un seul livre au cours de l’année précédente. Une fois passée la première onde de choc causée par la publication de ces données, diverses critiques ont relativisé cette étude en soulignant qu’elle portait sur la lecture de livres et non sur la lecture en général, qui s’effectue de plus en plus sur écran.
De fait, les questions portaient sur les livres de littérature − roman, nouvelle, pièce de théâtre − lus pour le plaisir. On peut toutefois s’interroger sur les conséquences à long terme de cette désaffection à l’égard du livre et de la littérature. NOTEs [4] Cf. La grandeur inutile de la lecture. Il n’y a pas si longtemps, me semble-t-il, l’on voyait encore dans les transports en commun des quidams – femmes, hommes, jeunes gens – se livrant à ce vice solitaire : la lecture, et si absorbés dans cette occupation qu’il leur arrivait parfois d’oublier de descendre à la bonne station.
Ce spectacle est devenu insolite quand il n’a pas carrément disparu. Ce ne sont plus désormais que zombies accrochés à leur iPod, leur iPad, leur Netbook ou leur iPhone, l’œil aussi vague ou hébété que celui des vaches méditant sur l’herbe qu’elles viennent de brouter. Si bien que l’on s’émerveille de croiser, de temps à autre, cette espèce en voie d’extinction, un lecteur, indifférent au tohu-bohu qui l’assaille, enfermé dans son plaisir, un sourire aux lèvres et un livre en main. Lire ? Si tu crois tout ce que tu lis, tu ferais mieux de ne pas lire. Je n'aime pas lire. Incapables d’entrer dans une histoire qui les emporte ailleurs, certains ne se plongent jamais dans un roman, ni même dans un magazine.
D’où vient ce rejet ? Giulia Foïs La lecture sacrifiée La dernière fois que j’ai lu, c’était il y a plus d’un mois, avoue Élise, 33 ans. Pourquoi est-ce si difficile de se séparer des livres? "Vous pouvez tout jeter mais vous ne pourrez pas toucher à mes livres.
" C'est ainsi que m'a accueillie un jour une dame dont les murs entiers étaient remplis de livres. L'espace était étouffant, mais elle se sentait incapable de s'en séparer: "J'ai tout lu vous savez! " S'attendait-elle à ce que je sois impressionnée? En tout cas, elle n'avait pas dû lire mes livres sur le désencombrement. C'était certain! Les livres un marqueur social Autrefois les livres valaient une véritable petite fortune.
Charles Dantzig : "Il faut lire parce que ça ne sert à rien"