Autocars : la guerre des petites lignes. J’ai testé l’autocar Macron : pas cher, mais long et épuisant. Paris-Strasbourg en six heures trois quarts, pas une minute de plus.
Transport par car : les leçons de la libéralisation du marché allemand. Parmi les mesures présentées mercredi 15 octobre par le ministre de l'économie, Emmanuel Macron pour relancer la croissance, figure la libéralisation en France des transports interrégionaux par autocar.
S'appuyant notamment sur l'exemple allemand, M. Macron souhaite développer ces transports peu coûteux, ce qui permettrait, dit-il, aux Français de récupérer 700 millions de pouvoir d'achat. Lire également : Le transport par car va être ouvert à la concurrence L'Allemagne a ouvert son marché interrégional le 1er janvier 2013. Quel est le bilan outre-Rhin, après presque deux années de libéralisation ? Un marché en plein boom Avant le 1er janvier 2013, les bus ne pouvaient rouler en Allemagne que sur des trajets où ils ne faisaient pas concurrence à la compagnie des chemins de fer allemands, Deutsche Bahn. Ouibus est numéro 1 des transports par autocar sur les lignes nationales. Ouibus : 267 000 clients en 4 mois ! Transport Depuis son lancement le 4 septembre 2015, Ouibus, l'offre autocar de la SNCF, a fait voyager à 267 000 clients sur ses 110 lignes françaises.
"C’est très prometteur de voir que 267 000 personnes ont fait confiance à Ouibus pour découvrir le voyage en autocar sur les lignes nationales , souligne Roland de Barbentane, directeur général. Cars Macron : bataille de chiffres entre les leaders de ce marché en pleine ébullition. Ouibus et Isilines se disputent la place de leader.
L'Allemand Flixbus n'est pas très loin derrière… La croissance économique a beau rester atone en France, il y a au moins un secteur en plein boom : celui du transport par autocar ! Pourquoi la Sncf veut doubler son offre low cost en 2016. L’année 2016 sera low cost à la Sncf.
C’est le cap fixé par Guillaume Pepy, le PDG du groupe ferroviaire, qui veut "doubler l’offre" par rapport à 2015. Ce qui doit se traduire par plus de Ouibus, davantage de petits prix dans les Intercités (ex Corail) et plus de trains Ouigo. C’est surtout sur le succès de ces derniers que la compagnie veut capitaliser, alors que la branche classique TGV reste à la peine, avec un taux de remplissage moyen qui ne dépasse pas les 65%. TGV low-cost : jusqu'où pousser Ouigo?, s'interroge la SNCF. Jusqu'où pousser le low-cost pour le TGV dans le but de contrer le covoiturage?
Si la question du développement de Ouigo , l'entité TGV à bas coûts lancée en 2013, ne se pose pas pour la SNCF, celle de son périmètre pour les prochaines années reste à définir alors que la concurrence des autres modes de transport ne cesse de croître. C'est le message passé ce vendredi par la direction de la SNCF à l'occasion d'un conseil d'administration de SNCF Mobilités , durant lequel elle a présenté aux administrateurs sa vision de l'évolution de la mobilité en France qui devrait essentiellement se développer sur le segment de marché des petits prix, et les grandes réflexions stratégiques pour gagner des parts de marché de manière rentable. Coincer le covoiturage "Nous devons continuer de prendre l'entrée du marché.
Ouigo représente 7% du trafic TGV. Loi Macron : pourquoi le transport en autocar se développe en Bourgogne Franche-Comté ? - France 3 Bourgogne. La loi pour la croissance, l’activité et l’égalité des chances économiques, dite "loi Macron", a été publiée au Journal officiel vendredi 7 août 2015.
Cette loi a ouvert à la concurrence le transport des passagers par autocar, qui était jusque-là très réglementé. La société allemande Flixbus propose plusieurs destinations au départ ou à l’arrivée de plusieurs villes de Bourgogne (Auxerre, Mâcon, Paray-le-Monial, Dijon). Un trajet Dijon-Paris est proposé à partir de 15 euros ou un Paray-le-Monial/Nice dès 1 euro. Avec Ouibus, la SNCF domine le transport en autocar. La concurrence cherche à grappiller des parts de marché, quitte à empiéter sur les plates-bandes des transports régionaux.
Quelques mois après la libéralisation des services de transport par autocar, inscrite dans la loi Macron, le secteur est aujourd'hui en pleine expansion. Depuis l'été dernier, de nombreuses lignes longue distance ont été créées par les différents transporteurs qui se livrent une concurrence acharnée à travers le pays. Ouibus, Starshipper, Isilines ou encore Flixbus, chacun tente de s'octroyer la plus grande part de marché en proposant une offre toujours plus complète. Lot : le bus de la SNCF finit dans le fossé sans faire de blessé. Avec Ouibus, la SNCF espère dominer le marché du car longue distance. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Philippe Jacqué Avec 130 liaisons, 35 villes françaises desservies et un prix d’appel de 5 euros, la SNCF « met le paquet » pour mater la concurrence sur le marché de l’autocar longue distance.
L’entreprise publique a dévoilé, jeudi 3 septembre, son plan pour conquérir ce marché libéralisé par la loi sur l’activité et la croissance, dite « loi Macron », promulguée le 6 août. Le groupe ferroviaire a décidé de rebaptiser son service iDBus, créé en 2012 pour tester le marché international du car, en « Ouibus », qui fait écho à son offre de train à bas coût Ouigo. La SNCF a longtemps été hostile à cette libéralisation, vue comme une menace pour ses trains, mais « nous assumons aujourd’hui le risque de cannibalisation avec notre propre offre ferroviaire, indique Barbara Dalibard, qui supervise l’ensemble de l’offre voyageur à SNCF Mobilité. Il vaut toujours mieux être dedans que dehors afin de pouvoir combattre à armes égales ». Ouibus : prix, destinations... L'offre de la SNCF pour rester dans le coup.
Pour demeurer compétitive dans un marché des autocars libéralisé, la SNCF lance OuiBus, qui remplace iDBus. 130 lignes d'autocar se lancent sur les routes. 174 trajets à partir de 2016, 35 villes desservies en France : avec OuiBus, la SCNF ose une offre pour attirer ceux qui veulent se déplacer sans dépenser trop d'argent, quitte à perdre un peu de temps.
La loi Macron étant rentrée en application cet été, la société des chemins de fer a tenu à réagir vite pour ne pas se laisser dépasser par des concurrents déjà rodés à l'exercice, comme le britannique Megabus, l'allemand Flixbus ou encore Eurolines. Que propose-t-elle exactement et à quels prix ? OuiBus affiche des premiers prix à 5 euros, sur bon nombre de trajets, mais souvent à des horaires moins recherchées. Et il faut pour cela s'y prendre bien en avance. EN VIDEO - D'ici fin 2015, au moins une cinquantaine de lignes seront ouvertes en France : Transport en bus: Ouibus domine le marche sur le territoire national.
BUS La filiale de la SNCF, Ouibus, domine le transport en bus sur les lignes nationales... Publié le Mis à jour le Cocorico. La filiale de la SNCF, Ouibus, affirme dominer le marché du transport en autocar sur les lignes nationales. Ce secteur est en expansion, avec la libéralisation du marché durant l’été 2015 avec la loi Macron. L’entreprise française a comptabilisé 267.000 passagers depuis l’été, rapporte France Info ce vendredi. Derrière Ouibus et ses 267.000 passagers, figurent Isilines (250.000 passagers) et Flixbus (162.000 passagers), soit près de 700.000 passagers au total, ajoute la radio. Libéralisé durant l’été, le transport en autocar n’est actuellement pas rentable. Mots-clés : CES de Las Vegas : Emmanuel Macron a fait l'événement. Transports : Ouibus en tête sur les liaisons nationales de bus. Bolloré. Bluebus, nouvel épisode de la saga - Quimper. Emmanuel Macron à la découverte des Maxi Blue bus de Bolloré à Quimper. Inauguration d'une nouvelle unité du groupe Bolloré ce matin, à Ergué-Gabéric, près de Quimper.
Après la Blue Car, l'Autolib, le Blue bus, l'industriel breton se lance dans la production de grands bus électriques. Cette fois le groupe Bolloré s’attaque aux grands formats. Une nouvelle unité d’assemblage et de fabrication de bus électriques de 12m a été inaugurée ce matin dans le Finistère. Le groupe Bolloré espère produire 600 batteries lithium par an dans cette nouvelle usine. Le marché mondial est colossal, puisque toutes les grandes métropoles veulent des moyens de transport non polluants. Pas de bruit au démarrage ni de rejet de particules fines Ces nouveaux véhicules ne font pas de bruit au démarrage et aucun rejet de particules fines dans l’atmosphère. Quand l'économie du partage aveugle les anticapitalistes.
Voyages en car : ça va bouchonner ! Depuis août, grâce à la fameuse loi Macron, ce marché est libéralisé en France. Et, comme espéré, l'offre a très vite explosé. Etat des forces en présence. Depuis cet été, cela se sait peu, les autocaristes se livrent une drôle de guerre sur Internet. «Presque chaque jour, FlixBus tente d'acheter les mots-clés de ses concurrents sur Google.
Du coup, quand on tape notre nom, on peut d'abord tomber sur eux», soupire Roland de Barbentane, le directeur de Ouibus, qui se dit contraint de renchérir sur sa propre marque régulièrement pour qu'elle puisse remonter dans le référencement du moteur de recherche. DÉCIDÉMENT, LES ROIS DU BUS cherchent à se doubler sur tous les terrains.