Projet. • L’auteur s’engage à proposer un texte dont le contenu réponde aux objectifs du site : un récit de vie ou d’expérience (portant de manière privilégiée sur une expérience professionnelle, un moment-clé de la vie, un moment critique ou de tensions particulières), non l’expression d’une opinion ou d’une conviction. Une fois envoyé, le récit sera mis en ligne par le web éditeur après validation du contenu. • Le texte que l’auteur propose à la publication comprendra entre 5 000 et 40 000 signes. L’auteur devra respecter les règles élémentaires d’orthographe et de syntaxe.
Le style télégraphique et « SMS » devra être au maximum évité. L’auteur est également encouragé à structurer son texte autour de paragraphes et de chapitres, si la longueur le justifie. • L’auteur accepte que des modifications minimales soient apportées à son texte par le web éditeur, pour en améliorer la syntaxe et la compréhension. • Les auteurs ont un droit de retrait de leur texte. La gouvernance par la responsabilité ? 1A qui incombe la responsabilité de prévenir et de traiter les problèmes d’environnement contemporains ?
« C’est l’affaire de tous et de chacun » semble désormais être la réponse convenue, en effet, dans ce domaine (comme dans d’autres comme la santé, l’insertion, l’éducation, la sécurité…) l’invocation d’un principe de responsabilité semble être devenue une réponse systématique face à une perte de centralité de l’Etat, face à l’intrusion de la sphère marchande dans le champ politique et face à la valorisation des capacités d’action individuelle des citoyens/consommateurs. Le recours à des mécanismes de responsabilisation tour à tour institutionnels, publics privés, collectifs ou individuels, est aujourd’hui au cœur de la gouvernabilité des sociétés « post-modernes » qui se trouvent confrontées à des situations de risques et d’incertitude engendrées par leur propre mode de développement (Salles, 2006). 4Quelles sont les origines du processus de responsabilisation ?
Pour un renouveau démocratique. PREVENTION DES CONFLITS DINTERETS DANS LA VIE PUBLIQUE. Qui sont les députés français de la Ve République ? Les auteurs tiennent à remercier David Bounie et Eric Dubois pour leur aide respective à la réalisation de cette note. Introduction L’enquête sur les députés français de la cinquième République soulève deux enjeux principaux. Le premier porte sur la correspondance de ces élus par rapport à la population française. Sont-ils représentatifs de la population française, ou au contraire, représentent-ils un groupe socialement et économiquement homogène, et distinct des électeurs, monopolisant le pouvoir politique ? Il est difficile de répondre à cette question qui renvoie aux différentes définitions possibles de la « représentation » par les élus .
Si certains auteurs mettent l’accent sur l’impératif d’une représentativité « organique », c’est-à-dire d’une concordance entre élus et électeurs [1], l’essentiel des définitions contemporaines insiste bien davantage sur le respect du mandat électoral ou du programme partisan. Un portrait du député de la Ve République La difficile ascension des femmes. La représentation nationale non représentative de la nation - le cri du peuple. A propos de l'affaire DSK, certains politiques et journalistes évoquent aujourd'hui ouvertement le comportement des hommes politiques français qui apparaissent de plus en plus comme des machos pratiquant pour la majorité d'ente eux la gaudriole (que l'on renomme gauloiserie) et la main au cul.
Et certains ou plutot certaines y voient une des conséquences de l'absence de parité sexuelle. Il est vrai que si l'on ne tient compte que du parlement (assemblée nationale et sénat) on ne dénombre dans ses rangs que 182 femmes soit 19.8% des 920 parlementaires. Or en France les femmes représentent la majorité de la population soit 51.4%. On peut bien dire qu'effectivement le parlement n'est pas du tout représentatif de la population en terme de sexe en France.
Maintenant poussons l'analyse un peu plus loin, et étudions la population parlementaire en fonction d'autres critéres et comparons avec l'ensemble de la population française. Le Groupuscule des Vieux Profession de fois Tenir et Résister. Les objectifs d’Anticor. L’association est un groupe de pression militant et une force de propositions qui a pour objectif de rendre les citoyens plus vigilants et les hommes politiques plus rigoureux dans leur gestion des affaires publiques. Il s’agit pour ses membres de fédérer toutes les initiatives éparpillées de citoyens, de journalistes d’investigation, de personnalités issues du monde judiciaire pour agir contre le constat impuissant du « tous pourris », pour donner une voix à ceux qui subissent au niveau local des situations d’injustice, pour mettre en marche des dispositifs démocratiques ou juridiques, et enfin pour médiatiser les affaires relatives à des délinquants politiques. Elus et citoyens affirment qu’il est possible de faire de la politique autrement, sans pratiquer le clientélisme, sans tricher et en écartant de la scène politique tous ceux qui ont commis des délits dans l’exercice de leur fonction.
Forum pour d'autres indicateurs de richesse. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir FAIR. Le collectif « Forum pour d'autres indicateurs de richesse », ou encore FAIR (acronyme en forme de clin d'œil qui signifie juste ou équitable en anglais)[1] regroupe une cinquantaine de chercheurs et de militants associatifs réfléchissant d'une manière critique à la question des indicateurs économiques et des indicateurs de progrès des sociétés. Ce regroupement au départ informel est rapidement passé de la réflexion à la diffusion, puis de la diffusion à l'action avec l'ambition d'intégrer de larges collectifs contribuant à la contestation des indicateurs économiques dominants que sont le PIB ou la croissance économique puis à l'élaboration de nouveaux indicateurs alternatifs. Historique[modifier | modifier le code] FAIR date du début 2008.
Ce débat collectif déboucha au premier trimestre 2008 sur la création de FAIR, comme réseau de la société civile. Premières activités[modifier | modifier le code] Forum pour d'autres indicateurs de richesse (FAIR) Plusieurs membres du FAIR ont été conviés individuellement à participer aux travaux des quatre réunions de la Commission de concertation sur les indicateurs complémentaires au PIB (Florence Jany-Catrice, Dominique Méda, Géraldine Thiry, Patrick Viveret) et ont assisté aux trois premières réunions (17 février, 3 mars, 17 mars).
L’objectif de cette Commission coprésidée par le CESE et France Stratégie est de « proposer un tableau de bord d’une dizaine d’indicateurs afin d’éclairer les décisions de politiques publiques. Ce tableau de bord pourrait notamment répondre aux attentes de la proposition de loi visant la prise en compte des nouveaux indicateurs de richesse dans la définition des politiques publiques, proposition de loi adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale mercredi 29 janvier 2015. FAIR se réjouit de voir la thématique des nouveaux indicateurs de richesse progresser lorsqu’elle contribue à aller au-delà du PIB. Lire la suite... 1LES METHODES D’EVALUATIONDE LA SATISFACTION DES USAGERS. Qu’est-ce qu’une société juste? Redécouvrir le solidarisme : un enjeu de taille pour lâéconomie sociale et solidaire.
Introduction A l’heure où les risques contenus dans les conceptions économiques et politiques qui ont prévalu au 20e siècle se font cruellement sentir, la redécouverte de la pensée solidariste constitue une très bonne nouvelle pour tous ceux qui appellent et travaillent à l’émergence d’une « économie sociale et solidaire ». En plus de renouer avec une doctrine qui a joué un rôle important dans la structuration de cette « autre économie » (Azam, 2003), c’est en effet pour eux l’occasion de réaffirmer l’ambition politique d’un mouvement qui est né dans la lignée des mouvements associationnistes du 19e siècle – laquelle ambition est ultimement contenue dans l’idéal moderne d’émancipation des individus (Caillé et Chanial, 2011). 1. Aux fondements du solidarisme a. Une philosophie de la solidarité b. 2. A. La qualification rigoureuse de l’ESS est une tâche au moins aussi importante qu’elle n’est difficile. B. C. Conclusion BibliographieAudier S., 2010, La pensée solidariste.
Le journalisme d'investigation. Les faits sont-ils construits ? Guide pratique sur le journalisme d'investigation. L'enquête par hypothèse. Franck Lepage : La langue de bois décryptée avec humour - scop le pave.