Mémo - Poétique de ... : Antonin Artaud : Remise en cause de la représentation : l’acteur « athlète affectif » et médium rend présente la vie réelle. Il donne à vivre au spectateur - ArchiThea les Greniers de l'Archipope. Mémo - Poétique de... : Antonin Artaud : Remise en cause de la représentation : l’acteur « athlète affectif » et médium rend présente en direct la vie réelle.
Il donne à vivre et révèle au spectateur-participant l’intensité d’une vie oubliée. « Il s’agit de donner à la représentation théâtrale l’aspect d’un foyer dévorant et d’amener une fois au moins au cours du spectacle, l’action, les situations, les images à ce degré d’incandescence implacable, qui dans le domaine psychologique ou cosmique s’identifie à la cruauté. » [Le théâtre et son double, 1938] * Artaud part de la conviction que le théâtre occidental est décadent, négatif, superficiel et banalement psychologique. Il n’aurait pour fonction que de divertir des spectateurs passifs, jouisseurs et spirituellement infirmes.
. * La fonction du théâtre dépasse donc celle d’un spectacle. . * Ainsi le « désir d’Eros » est une pulsion d’association et de vie [voir Eros / Thanatos chez Freud] . * Que devient le texte ? * L’acteur artaudien. Antonin Artaud. Poète, auteur dramatique et acteur français (1896-1948) dont les théories et l'oeuvre ont suscité le développement de tout un courant de théâtre expérimental. 97 citations (Page 1 sur un total de 5 pages) La vie est de brûler des questions.L'Ombilic des limbesCitations de Antonin ArtaudRéférences de Antonin Artaud Livres de Antonin Artaud Biographie de Antonin ArtaudPlus sur cette citation de Antonin Artaud issue de L'Ombilic des limbes | Imprimer la citation | Envoyer la citation à un ami Commenter cette citation de Antonin Artaud | Recherche Google livre | Ajouter à mon carnet de citations Citation Notez cette citation :
Antonin Artaud. Antonin Artaud, vie et oeuvre. Biographie résumée d'Antonin Artaud Génie pour certains, fou pour d'autres, Artaud fut poète, auteur et metteur en scène de théâtre, comédien, plasticien, c'est-à-dire un homme un peu hors norme.
Membre du mouvement surréaliste, il incarna un verbe unique, étrange, toujours aux confins de la folie, sa poésie et son théâtre furent le reflet de son âme et de ses pratiques toxicomanes. Aujourd'hui ce qu'il nous reste de lui : une oeuvre unique, grinçante, inscrite dans l'absurde d'une vie que l'on détourna du bien-pensant. Prenons garde alors que ses mots ou ses maux, plus que jamais trouvent à nous dire quelque chose... L'oeuvre notamment théâtrale d'Antonin Artaud a d'abord été connu par les surréalistes, mais il sera exclu en 1926, suite à son Manifeste sur le Théâtre. Antonin Artaud est né en 1896 à Marseille, dont il dit n'y avoir fait que passé « parce qu'en réalité je ne suis jamais né et qu'en vérité je ne peux pas mourir » (lettre à Marthe Robert du 29 mars 1946).
Antonin Artaud. Antonin Artaud Antonin Artaud, de son vrai nom Antoine Marie Joseph Artaud, est un écrivain et poète français, né à Marseille le 4 septembre 1896 et mort à Ivry-sur-Seine le 4 mars 1948. Il est l'auteur de poèmes (L'Ombilic des limbes, 1925) et de textes sur le cinéma et le théâtre (Le Théâtre et son double, 1938), où il fait l'éloge du « théâtre de la cruauté » et qui influenceront plus tard de nombreux metteurs en scène dans le monde entier. Il a également scénarisé La Coquille et le Clergyman et joué dans 25 films en douze ans, notamment dans le Napoléon d'Abel Gance ou La Passion de Jeanne d'Arc de Carl Theodor Dreyer. =Biographie= Qui suis-je ? Le plan foudre d'Artaud. Recensé : Jacob Rogozinski, Guérir la vie.
La Passion d’Antonin Artaud, éd. du Cerf, 2011. 211 p., 28 €. Cette recension est publiée en partenariat avec le Collège international de philosophie qui organise le samedi 26 novembre 2011 (10h-13h), un débat autour de ce livre. Salle audiovisuelle, Médiathèque Marguerite Duras, 115 rue de Bagnolet, 75020 Paris. Intervenants : Gisèle Berkman, Jean-Michel Rey, Jacob Rogozinski, Diogo Sardinha. Il appartient à l’écriture, à la figure et au destin tragique d’Antonin Artaud, d’avoir suscité une fascination singulière sur tout un pan de la pensée française des années 1970. Contre la fascination d’Artaud Guérir la vie n’est pas un livre de plus « sur » Artaud, mais un livre écrit « avec » Artaud, à son contact, à même la chair de son écriture, l’éclat de ses cris, la sismographie de ses gestes. Un livre à thèses La deuxième thèse du livre pourrait s’énoncer en ces termes : toute mise de vérité est un pari sur la vie (et inversement).