Lecture Zen - 3 raisons de revoir Ben-Hur ! Posté le 17.10.2014 à 15h50 Des projections du chef-d’oeuvre de William Wyler, tout le weekend du festival. Une histoire d’amour contrariée Amis d’enfance, unis comme des frères, le romain Messala et le juif Judah Ben-Hur se retrouvent après plusieurs années de séparation. À la suite d’un désaccord d’ordre politique, les deux amis se brouillent, conduisant le Romain à haïr Ben-Hur au point de ruiner sa vie et celle de sa famille.
Cette histoire de dispute sur fond de politique paraissait bien légère au réalisateur William Wyler pour donner à cette histoire de vengeance une grandeur épique. Un vrai méchant de cinéma Le Messala de Stephen Boyd vole d’ailleurs bien la vedette à Charlton Heston. Une mise en scène grandiose En revoyant Ben-Hur, la modernité et le spectaculaire de la mise en scène de William Wyler surprennent.
Mieux vaut revoir l’original avant… le remake ! Elsa Colombani. Les dieux du stade, de Leni RIEFENSTAHL. Ce documentaire allemand de 200 à 220 minutes de 1938 de la réalisatrice officielle du Reich allemand, Leni Riefenstahl raconte par l'image et le son les Jeux Olympiques d'été de 1936. Se déroulant à Berlin, ces Jeux Olympiques furent une véritable oeuvre de propagande pour le régime hitlérien ; l'Allemagne écrase ses concurrents, avec un total de 89 médailles, les Etats-unis n'arrivant que deuxième avec 56 médailles. 49 nations et 3963 athlètes y participèrent et ces Jeux furent l'occasion pour le Troisième Reich de prouver sa puissance et la "suprématie de la race aryenne".
C'est surtout sur le plan intérieur que ce fut une réussite pour le régime : cela renforça notablement l'adhésion populaire. Ces Jeux renforcèrent en eux-mêmes le régime nazi, malgré le boycott par une partie du monde sportif et par les Fronts populaires français et espagnols qui organisèrent des Olympiades populaires à Barcelone la même année, ceux-ci étant d'ailleurs interrompus par le pronunciamento militaire. Ben-Hur (film, 1959) Ben-Hur est un film américain de William Wyler, sorti en 1959. Synopsis[modifier | modifier le code] Prologue[modifier | modifier le code] Avant le titre, la Nativité est racontée en plusieurs tableaux : le recensement, la crèche, l'Étoile de Bethléem, la visite des bergers et des mages, et se termine par un berger sonnant le chophar.
Ce récit, tiré des évangiles selon Luc 2 1-20 et selon Matthieu 2 1-11[1],[2], est un élément en rapport avec le sous-titre du livre : A tale of the Christ (en français Une histoire du Christ) repris dans le titre du film. Résumé détaillé[modifier | modifier le code] Jérusalem au Ier siècle. Peu après, alors que le nouveau gouverneur, Valerius Gratus, parade en ville, des tuiles tombent de la maison de Judah et manquent de tuer le Romain. Au départ de la course, Messala arrive dans l'arène avec un char grec dont les roues sont munies de pointes, servant à détruire les chars adverses ou blesser les chevaux. Effondré, Ben-Hur rentre chez lui.
Films Télévision. Les films sur le sport - Les chariots de feu. Année de sortie : 1981 Réalisateur : Hugues Hudson "Les chariots de feu" revient sur le destin croisé de deux véritables athlètes britanniques, Harold Abrahams et Eric Liddell, qui ont participé aux Jeux Olympiques d'été de 1924 à Paris. Le premier a dû lutter contre l'antisémitisme, le second défendre ses convictions religieuses, protestantes.
Le film a pris quelques libertés vis-à-vis de la réalité. Dans la fiction, Liddell apprend qu'il devra courir le 100 m un dimanche (ce que sa religion lui interdit) au moment d'embarquer pour la France. En réalité, la délégation olympique anglaise connaissait le calendrier de la compétition bien avant d'embarquer. C'est ce qui a permis à Liddell (et ce que le film ne montre pas) de s'entraîner pour courir le 400 m et le 200 m, quelques mois avant les JO. Et aussi : La fiche de Les chariots de feu. Invictus, le jeu politique de Nelson Mandela. Le 24 juin 1995, Nelson Mandela (Morgan Freeman) félicite François Pienaar (Matt Damon) pour la victoire des Springboks en Coupe du monde de rugby A gauche de la route, des gamins noirs jouant au football sur un terrain de terre battue où des bouts de bois servent de poteaux de but.
A droite, des jeunes Blancs portant des maillots immaculés qui se passent un ballon de rugby sur un terrain au gazon soigné. Au centre, sur la route, un cortège emmenant Nelson Mandela vers la liberté. Nous sommes le 11 février 1990. Dans le film Invictus, sorti dans les salles ici vendredi dernier (il débarquera en France le 13 janvier prochain), le réalisateur Clint Eastwood dépeint comment le premier président noir de l’Afrique du Sud, considéré alors comme un "Ben Laden", va s’appuyer sur l’équipe nationale de rugby, les Springboks, et son capitaine, François Pienaar, chéris par les Afrikaners, pour rallier la minorité blanche à sa cause de la réconciliation nationale.
La bande-annonce d'Invictus. Invictus ou le sport comme enjeu politique. 1 «Invictus», film réalisé par Clint Easwood et produit en 2009. 1Invictus1: derrière ce titre à la fois facile à décrypter et quelque peu énigmatique, se cache un homme, Nelson Mandela; c’est en effet le nom, célèbre, d’un court poème (1875) de l’écrivain britannique William Ernest Henley, qu’affectionnait particulièrement le premier président de l’Afrique du Sud post-apartheid.
Deux vers reviennent comme un leitmotiv dans ce film réalisé par Clint Eastwood, et sont au cœur des propos du personnage : I am the master of my fate, I am the captain of my soul. 2Mais c’est aussi toute l’énergie d’un nouveau pays émergent, de retour sur la scène africaine et internationale depuis une quinzaine d’années, l’Afrique du Sud, qui est, avec le président Mandela, dans le contexte de la finale de la Coupe du Monde de rugby de 1995, le centre de ce film, sorti en France le 13 janvier 2010.