1940-1944. Les voix bretonnes de Radio Londres - Histoires de Bretagne. L’information a joué un rôle essentiel durant la Sseconde Guerre mondiale, avec l’utilisation de moyens massifs de propagande ou de contre-propagande et le recours aux nouveaux médias de l’époque : le cinéma et la radio.
Plusieurs Bretons ont participé à cette guerre médiatique sur les ondes de la BBC, à travers les émissions de Radio Londres. Commençant par le fameux « Pom, pom, pom, pom », le générique des émissions « Les Français parlent aux Français » fait partie des éléments les plus familiers de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale. Il est vrai que la radio a joué un rôle majeur dans le conflit et c’est d’ailleurs ce média qu’utilise le général de Gaulle pour diffuser son fameux appel du 18 juin 1940 et avec lequel les Français libres vont quotidiennement communiquer. Une guerre des ondes.
Collaboration. Kroaz du. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Jusqu'au XVe siècle[modifier | modifier le code] Certains auteurs récents attribuent son origine à la troisième croisade (1188)[1]. Lors de la première croisade, le basileus Alexis Ier Comnène fit tailler dans ses manteaux de pourpre des croix rouges qu'il fit distribuer aux pèlerins afin qu'ils puissent traverser l'empire byzantin sans encombre[1]. Cette croix fut rapidement arborée par les Croisés. Suivant la tradition, en 1098, à la bataille d'Antioche, les chrétiens ont été aidés par des armées angéliques vêtues de blanc et chevauchant des chevaux blancs. Femmes tondues en Bretagne, les boucs émissaires - France 3 Bretagne. Histoire Parce qu'elles étaient accusées de collaboration, des centaines de femmes en Bretagne ont été exposées sur la place publique, tondues à la Libération.
Ce sujet tabou a longtemps été évité par les historiens et les témoins de l'époque parmi lesquels les résistants. Par Emilie Colin Publié le 12/08/2014 | 11:30, mis à jour le 12/08/2014 | 11:30 © Robert Capa Femme tondue pour avoir eu un enfant avec un soldat allemand, une photo prise le 18 août 1944 par Robert Capa, dans un village près de Cherbourg Le 4 août 1944, Rennes est libérée par l'armée américaine. La tonte, un geste public, théâtral et humiliant Le sujet a longtemps été ignoré, caché et ce pour plusieurs raisons. 1940-1944. Les voix bretonnes de Radio Londres - Histoires de Bretagne. Résistance intérieure française. Ce que l'on appelle aussi « l'Armée des ombres » a rassemblé des hommes et des femmes de tous horizons, exposés tous à une forte répression de la part de RSHA (Office central de la sécurité du Reich dont fait partie la Gestapo), de l’Abwehr, de la Wehrmacht, ainsi que de la Milice française et de la police de l’État français[2].
L'histoire de la Résistance intérieure est indissociable de celle de la France libre. Le général de Gaulle, chef des Français libres, réfugié à Londres, dirige ses agents en métropole occupée par le biais des réseaux du BCRA ou d'envoyés tels que Jean Moulin, Pierre Brossolette et Jacques Bingen. Ces derniers reçoivent la charge d'unifier tous les courants et mouvementes de la Résistance intérieure, sous l'égide de Londres puis d'Alger. [Mémoire Résistance et Déportation dans les Côtes-du-Nord] Centre-Bretagne : coup de force des maquis. Très vite durant l’Occupation, le Centre-Bretagne a été un foyer de Résistance et de petits maquis.
Dès 1943, le câble téléphonique souterrain reliant Berlin à Brest est régulièrement sectionné ainsi que la ligne électrique à haute tension desservant l’arsenal de Brest, plastiquée presque toutes les semaines. En 1944, les maquis sont armés grâce à des parachutages (par exemple en février à Plounévez-Quintin) et les coups de main contre l’occupant se multiplient dans la région (par exemple Mellionnec, Croix Stasset, Gouarec…). Le 5 juin, la voiture du chef d’état-major du général Ramcke est attaquée par le groupe de Marcel Le Madec entre la Pie et Rostrenen.
Trois officiers et un colonel sont tués. Persée. L'Ouest en mémoire. Parcours thématique Fabien Lostec et François Lambert Introduction " Les passions, en Bretagne, sont fortes.
Mouvement breton pendant la Seconde Guerre mondiale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le mouvement breton a connu pendant la Seconde Guerre mondiale des attitudes divisées vis-à-vis de l'occupant nazi, du gouvernement de Vichy et de la résistance. La quasi-totalité du mouvement politique s'engage, sous une forme ou sous une autre, dans la collaboration, notamment le Parti national breton, les Bagadou Stourm, ou le Bezen Perrot. D'autres acteurs du mouvement se retrouvent dans des mouvement de résistances comme Sao Breiz, ou le groupe Liberté de Saint-Nazaire. Cette période de l'histoire va marquer durablement le mouvement, après-guerre comme au tournant des années 2000. Selon l'historienne Jacqueline Sainclivier « l’opprobre en a rejailli abusivement sur l’ensemble du mouvement breton dont l’image a longtemps été ternie ».
Historiographie[modifier | modifier le code] Premiers témoignages militants (1945-1970)[modifier | modifier le code] Premiers travaux scientifiques (1970-2000)[modifier | modifier le code]