Boukerche
Raspberry Pi 3 : SoC plus rapide, Wi-Fi et Bluetooth pour 35 dollars. Le Machine Learning : une menace pour la programmation informatique ? Pourriez-vous passer votre journée à enseigner à une machine à mieux faire son travail ?
Dans un futur où l'automatisation est amenée à se développer, avec plusieurs pétaoctets de données à traduire en informations exploitables, le rôle de l'homme et celui de la machine vont devenir de plus en plus distincts. Celui qui se dessine pour les hommes sera d’améliorer les systèmes d'apprentissage automatique. Avec l'aide des humains, l'apprentissage automatique (Machine Learning en anglais, ndlr) annonce la fin de la programmation informatique telle que nous la connaissons. À l'heure actuelle, les programmes informatiques servent à automatiser les actions.
Mais, pour modifier le comportement desdits programmes, la présence d'un ingénieur logiciel est requise. Apprendre grâce au Big Data. Google ouvre la lutte aux contenus trompeurs intégrés aux pages. Alors que la lutte contre le phising et les sites maveillants n'est pas nouvelle, Google a décidé de s'attaquer à ceux qui intègrent des éléments, parfois publicitaires, tendant à induire l'internaute en erreur.
Une définition qui peut convenir à de nombreux acteurs. Google continue de renforcer ses diverses croisades pour un web « plus propre ». Ainsi, outre les travaux en cours pour l'extension de SSL/TLS ou contre les interstitiels sur mobile, la société a choisi de s'engager afin de lutter contre les différentes formes de contenus trompeurs. La chasse aux contenus trompeurs n'est pas nouvelle Des actions sont en cours depuis un moment à travers son initiative Safe Browsing. En novembre dernier, Google indiquait renforcer ses outils pour prendre en compte un plus large panel d'éléments trompeurs et afficher un message d'alerte.
Les contenus intégrés seront aussi analysés. La voiture autonome de Google provoque un premier accident. Une Lexus autonome dotée de l'intelligence artificielle de Google a heurté le côté droit d’un bus public alors qu’elle tentait d’éviter des sacs de sable situés sur son chemin.
En mai dernier, la firme de Mountain View avait réagi à un rapport publié par l’agence Associated Press et révélé que ses voitures autonomes avaient eu 11 accidents en six ans. Le géant de la Silicon Valley précisait bien qu’aucun des accidents n’avait été causé à la suite d’une défaillance de son logiciel. En effet, les accidents se seraient produits à cause de véhicules tiers ou d’erreurs réalisées par les conducteurs des Google Cars lors des essais en mode manuel. Ce parcours sans faute semble désormais appartenir au passé. Selon un rapport de l’organisme public chargé de l’enregistrement des véhicules et des permis de conduire (DMV) de l’Etat de Californie, relayé par Associated Press, une voiture autonome de Google a provoqué un accident le 14 février dernier.
Le logiciel de conduite a été modifié. Salon Big data : les projets les plus innovants sont… L'édition 2016 du salon Big data Paris, qui s’est tenue les 7 et 8 mars au Palais des Congrès, a attiré plus de 10 600 visiteurs.
Comme chaque année, l'événement a été marqué par la cérémonie des trophées Big data. Quatre projets, sur 52 en compétition, ont été distingués lors de ce palmarès. Présentation. 1er prix - Powerlinx calcule le taux de compatibilité des entreprises La plateforme Powerlinx a été lancée en juillet dernier en Israël et aux Etats-Unis.
BQ : la tablette Aquaris M10 sera proposée avec Ubuntu. Canonical a annoncé hier la toute première tablette embarquant Ubuntu pour une expérience utilisateur décrite comme unifiée.
La tablette se suffit à elle-même ou peut être utilisée comme un ordinateur classique, mais il ne s'agit finalement que d'une variante Ubuntu d'un modèle existant. Canonical n’a pas manqué de souligner son idée de la convergence depuis environ deux ans. La société vise à peu près le même créneau que Microsoft avec une plateforme logicielle capable aussi bien de convenir aux PC, smartphones et tablettes. Google corrige dix failles dans Android 5.1.1 et 6.0.1, dont cinq critiques. La mise à jour de sécurité du mois de février est disponible pour Android.
Téléphonie. Linux : un smartphone sous Ubuntu débarque à 170 euros. C'est un Ovni qui s'apprête à débarquer cette semaine sur le marché du mobile.
L'Aquaris E4.5, nouveau smartphone du fabriquant espagnol BQ fonctionnant sous Ubuntu, le système d'exploitation Linux, ne fait pas dans le déjà- vu. A l'heure où le marché est "trusté" par les géants de la fabrication tels que Samsung, Apple, Sony ou Huawei, et les mastodontes informatiques Google, Microsoft et – encore – Apple, l'Aquaris E4.5 Ubuntu Edition apporte une alternative inattendue. Pas étonnant, donc, que ce produit moyen de gamme lancé uniquement en Europe vise dans un premier temps un public de connaisseurs, friand de nouveautés. Un prix accessible Son prix annoncé, plutôt accessible, de 169,90 euros ne laisse toutefois planer aucun doute sur les ambitions à plus long terme du produit : séduire le grand public.
Appareils photos et écran tactile. Android Studio 2.0 : une bêta enrichie, plus stable et proche de la version finale. L’environnement de développement Android Studio s’avance vers sa prochaine version majeure. Après une première version, elle passe désormais en phase de bêta publique, avec des fonctionnalités enrichies et plusieurs nouveautés. Pendant un temps, le développement des applications Android passait le plus souvent par l’environnement Eclipse équipé des modules idoines.
Google, par souci de centralisation des outils et ressources dans un tout soigneusement contrôlé, a proposé Android Studio, son propre outil dédié à la création d'applications. Oracle corrige une faille critique dans l'installeur de Java.