Accès distant - L'accès distant et les fédérations d'identités. Par Carole Letrouit et André Dazy Les fournisseurs d’accès à des ressources électroniques payantes exigent qu’une procédure d’authentification des usagers soit mise en place afin de s’assurer que la ressource est bien utilisée par la population autorisée dans le cadre de la licence signée par l’établissement.
Cette authentification peut reposer sur des mots de passe, méthode inadaptée à une population qui se compte en milliers, sur des adresses IP, qui identifient non pas des individus, mais des ordinateurs connectés au réseau informatique de l’établissement signataire de la licence, ou bien encore sur un annuaire de personnes autorisées. Les services d’accès distant visent à offrir aux membres de l’établissement la possibilité d’accéder aux ressources documentaires où qu’ils se trouvent.
Ils supposent le passage d’une logique «physique», celle du réseau informatique, à une logique «communautaire». Reverse proxy [2] extensions. Le signalement des ressources électroniques dans les outils des bibliothèques AMU inclut le reverse proxy pour permettre l’accès hors campus.
Ce qui peut obliger l’usager à passer par le site des bibliothèques pour consulter certains documents. Cette contrainte est particulièrement lourde lorsque l’on souhaite simplement consulter un article dont on a reçu l’adresse URL dans un mail, via twitter, ou simplement alors que l’on se trouve sur la page de l’article dont on ne voit que l’abstract parce que l’accès hors campus n’est pas activé. Pour permettre la connexion à la volée en un clic, nous mettons à disposition des extensions pour les navigateurs Chrome et Firefox ainsi qu’un bookmarklet (marque page scripté).
Si la ressource est disponible dans les abonnements AMU, après authentification, la page se recharge et l’on accède au contenu intégral. Par contre si la ressource ne fait pas partie des abonnements AMU, le reverse proxy peut retourner une erreur. en remplacement de. Davidolib. Le paramétrage des sources est relativement simple, pourvu que : La base soit répertoriée dans la liste présente sur le site d’OCLC.
C’est le cas le plus simple, il suffit de relever le paramétrage et de l’insérer dans votre fichier. Seul hic, la dominante est anglo-saxonne, ce qui signifie que vous ne trouverez pas les paramétrages pour les bases "françaises", et que même si vous les trouvez, il faudra vérifier que l’URL est bien la bonne. Exemple : le paramétrage de Lexisnexis pointe vers la bas anglo-saxonne, vous devrez remplacer l’URL par celle que vous utilisez couramment.La base ne soit pas trop tordue dans son mode de fonctionnement.
Shibboleth tu m’embêtes* Tester accès distant...sur place. Ami bibliothécaire, dans ta grande bonté d’âme, tu offres à tes lecteurs la possibilité de consulter depuis chez eux les bases de données auxquelles ta bibliothèque est abonnée à prix d’or.
Que ce soit grâce à Shibboleth, EZProxy ou un VPN, peu importe, mais ça existe et ça marche. En es-tu si sur ? Parfois, quand même, au beau milieu de la sieste d’après déjeuner nuit , un doute t’assaille : "Et si ça ne marchait pas ?. Ça marche quand je teste depuis mon bureau mais depuis l’extérieur ? " Heureusement Malheureusement, ce doute te quitte dès que tu franchis le seuil de ta bibliothèque pour rentrer chez toi. L’ami, j’ai un petit truc qui va te permettre de tester depuis ton bureau tes accès distants.
Read Full Post » C’est donc le CRI qui me fournit les liens via Shibboleth qu’il faut mettre en place depuis notre portail. J’utilise Dreamweaver MX 2004. Read Full Post » Shibboleth/EZProxy allégorie. Après avoir laissé un commentaire sur le blog de @mdelhaye je me suis décidé à laisser ici "du matériel" pour faciliter l’accès distant aux ressources des éditeurs qui ne laissent consulter que les utilisateurs se trouvant à l’intérieur de l’université ou qui sont identifiés comme en faisant partie.
L’outil le plus répandu pour gérer l’accès nomade c’est le proxy inverse (reverse-proxy) et le plus connu est EZproxy. Cela fonctionne comme une porte. Je frappe. Le portier me demande qui je suis. Il me connait alors il me laisse passer mais quand il m’annonce, il ne dit pas qui je suis et en plus il ment en disant que je ne viens pas de dehors mais de dedans. L’autre moyen c’est la propagation d’identité (Shibboleth).
Ah, oui, il y a deux portiers distincts, l’un utilise le mensonge, l’autre la confiance. Comments ? Tous les éditeurs ne proposent pas l’accès Shibboleth et les bibliothécaires commencent même à trouver ce système un peu maladroit… Bon d’accord ! Par exemple : Comment ? Like this: