AUTO 1/43. Entre 1890 et 1899, la firme De Dion-Bouton va prendre une grande place dans l'industrie automobile française.
Avec son moteur monocylindre à pétrole, son fameux pont De Dion, la marque va marquer de son empreinte ces dix dernières années du siècle et permettrent à de nombreux petits constructeurs de se lancer dans l'aventure. Depuis la création de l'entreprise, les modèles se succèdent, De Dion désirant régner sur l'automobile française. En 1899, le Type D, ou "vis-à-vis", préfigure la voiture moderne. Dotée d'un châssis en tube d'acier, d'une transmission par cardans et de suspensions modernes, indépendantes à l'avant, elle est dotée d'un monocylindre de 400 cm3 refroidi par eau. Elle dispose également d'une invention majeure pour l'automobile, le fameux pont De Dion, breveté en 1893. 2970 "vis-à-vis seront vendus entre 1900 et 1902, un véritable succès pour la marque. En parallèle à sa production d'automobiles, la marque s'est lancée dans la production de camions et d'autobus.
La Course Paris - Rouen. C’est ce nom de " Concours des voitures sans chevaux" que “Le Petit journal” avait choisi pour organiser cette compétition, ouverte à des véhicules qui devaient être “sans danger, aisément maniables pour les voyageurs et ne pas coûter trop cher sur la route”.
Il s’agissait donc plus d’une démonstration que d’une course de vitesse. Les véhicules inscrits faisaient appel aux énergies motrices les plus disparates, ce qui n’est pas très étonnant dans ces périodes de début, d’invention et d’innovation. La plupart des voitures n’existaient qu’à l’état de prototype voire de projet. Beaucoup n’eurent pas d’avenir. Il y avait en effet, en plus des “traditionnelles” voitures à vapeur et des plus récentes voitures à essence : des voitures actionnées " par gravité " et notamment par le " poids des passagers " ; des voitures " hydrauliques " ; des voitures à air comprimé; et d’autres encore : des systèmes à leviers, automatique (sic), pendulaire, à pédales, avec liquides combinés (?)
British Racing Green. Voir le sujet - Bordeaux-Paris 1895-2007. C'est effectivement un détail intéressant du règlement de cette épreuve.
L'article 2 du règlement stipulait que l'épreuve était accessible aux véhicules "montés au moins par deux personnes". L'article 4 précisait qu'un prix de 2500F serait attribué au premier arrivé à Paris, 1000F au second, 500F au troisième et 250F aux quatre suivants. Ce qui est plus curieux c'est l'article 5 : "le premier prix ne pourra être attribué qu'à une voiture de quatre places et au dessus". En conclusion, l'inscription de Levassor sur la numéro 5, à deux places, était parfaitement en accord avec le règlement mais il ne pouvait prétendre au premier prix de 2500F... De même le second véhicule arrivé, une Peugeot, ne comportait que deux places. Le règlement de l'épreuve de 1895 est consultable sur le site de la FFVE: voiture qui ne roule pas est une voiture qui s'abîme... GOTTLIEB DAIMLER. 005_2007_6_2_062x071.
Un stress soudain met le cerveau humain en mode survie. Otherpublications-stress_fr.pdf. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! La mise au point des différentes classes d’antidépresseurs a suivi l’évolution des hypothèses biochimiques concernant la dépression.
Une première hypothèse formulée durant les années 1960 ciblait la noradrénaline comme le neurotransmetteur principal impliqué dans la dépression. Cette hypothèse dites «des catécholamines» proposait que la dépression était due à une déficience en noradrénaline dans certains circuits cérébraux, alors que la manie correspondait à une surabondance du même neurotransmetteur. Bien qu’encore reconnue, cette hypothèse n’explique pas tout, et en particulier pourquoi des fluctuations du taux de noradrénaline n’affecte pas l’humeur de certaines personnes.
Durant les années 1970, l’implication d’un autre neurotransmetteur, la sérotonine, fut postulée dans ce que l’on a appelé l’hypothèse «permissive» de la dépression. Fluoxétine (Prozac)