Les faux aliments japonais. Au Japon, les faux plats en résine des restaurants sont l'une des attractions favorites des touristes étrangers.
Voyage au pays de ces faux aliments ultra-réalistes qui savent mettre en appétit ! Au Japon, trouver un restaurant proposant un menu en anglais peut s'avérer très vite compliqué. Le fugu Un poisson mortel. Le fugu, un poisson-poison pour gastronomes téméraires. Ce n'est pas qu'il soit spécialement savoureux, mais le poisson-lune attire les curieux et les amateurs de sensations fortes.
Son secret : le poison qui coule dans ses veines, que seuls de rares cuisiniers savent neutraliser... Il est rare, (très) cher, et en principe impropre à la consommation. Mais la star du poisson-lune, c'est surtout son cuisinier : ils ne sont que quelques dizaines au Japon à savoir préparer le fugu, en retirant de plusieurs de ses organes (le foie, les ovaires et les yeux) la tétrodotoxine, un poison mortel. Un certificat d'Etat est même obligatoire pour ouvrir un restaurant de fugu au Japon, dont la plupart se situent autour de deux ports qui rapportent le plus gros des prises du célèbre poisson : Shimonoseki (à l'extrême sud-ouest de Honshu), et Oita, entre la station thermale de Beppu et Usuki (Kyushu). La première s'est même autoproclamée "capitale japonaise du fugu", et rend hommage à son poisson fétiche chaque année, le 9 février.
Sashimi et nabe. Le fugu, ce poisson mortel qui se mange ! Le terme « fugu » désigne en réalité plusieurs espèces de poissons toxiques.
Très abondants dans le Pacifique sud, ils sont connus par quasiment tous les peuples asiatiques mais sont surtout appréciés par les Japonais. Les caractéristiques du fugu Les fugus regroupent toute la famille des tetraodontidés : les sphoeroides, les diodons, les lagocéphales et les takifugu. Ces poissons ont de petites nageoires et des yeux placés de face comme ceux de l'homme. Fugu, le poisson mortel adoré au Japon. Le fugu, un mets à haut risque. Les poissons pêchés au large de la centrale accidentée de Fukushima sont interdits à la vente en raison du risque de contamination par la radioactivité, et, d'une manière générale, les Japonais sont désormais regardants sur l'origine des produits de la mer des étals des poissonneries.
Des KitKat au saké au Japon. Depuis le 1er février, les Japonais peuvent déguster des KitKat goût saké.
De la poudre de saké a été placée entre le chocolat et la gaufre, et la friandise contient 0,8% d'alcool, comme indiqué sur l'emballage. Après les KitKat au melon, au thé vert, à la fraise, au cookie, à la cerise, au wasabi, cette nouvelle saveur vient s'ajouter aux quelques 200 variétés de cette confiserie ultra-populaire au Japon. A lire aussi : Elle réclame des KitKat à vie après une mauvaise surprise On avait même eu droit il y a quelques années à une "pizza KitKat", crée par Nestlé et plusieurs chaînes de pizzerias. Les KitKat très populaires au Japon La popularité de KitKat tient en partie à son nom. Dancing squid bowl dish in Hakodate.
Jats Takkola : Le cola japonais au bon goût d’ail. 06 Fév2015 Publié par Takumisensei.
Publié dans Le japon insolite Petite bizarrerie du jour : La petite ville de Takko dans la préfecture d’Aomori est la capitale japonaise de l’ail comme vous pourrez le voir sur ce site de vente qui propose tout un tas de spécialités à base d’ail. Japon : découvrez le Dragon Ball Nabe de Danke Dinning. 20 Nov2015 Publié par Takumisensei.
Publié dans Le japon insolite Voilà quelque chose qui risque fort de faire baver certains fans de Dragon Ball amateurs de cuisine japonaise. Le restaurant Danke Dinning situé à Nagoya au Japon propose sur son menu un Nabemono qui a pour thème le manga d’Akira Toriyama. En plus de proposer des morceaux de viande, de légumes et de tofu, le nabe a aussi les sept boules de cristal en prime. Celles-ci sont faites de gelée avec des carottes pour les étoiles et ont l'air délicieuses. Insolite : un Japonais cuisine des mini plats avec des mini ustensiles. 23 Fév2015 Publié par Takumisensei.
Publié dans Le japon insolite Pour bien commencer cette nouvelle semaine, je vous propose de découvrir la chaine Youtube d’un japonais qui fait dans la cuisine miniature. Non seulement il créé des ustensiles et des cuisines à échelle réduite mais en plus il concocte divers plats japonais et autres avec tout ça. Les nouveaux explorateurs - Fred Le globe cooker au Japon. « Amezaiku », la sculpture de sucre venue du Japon. Des tempuras crevettes en 5 secondes - WTF Japon. LES DÉLICES DE TOKYO - Bande Annonce.
Cuisine japonaise ? Nippon ni mauvais. Lucie Gillot.
Pour cette chronique « Sur le pouce », j’ai souhaité mettre la cuisine japonaise à l’honneur. Il faut dire que celle-ci connaît, en France, un succès grandissant. Premier signe tangible de l’attrait croissant pour ces cuisines, la multiplication du nombre de restaurants japonais. Si l’on en croit le site « japoninfos.com », il y a quinze ans de cela « ultraconfidentielles », les enseignes japonaises seraient désormais aussi nombreuses que celles proposant des hamburgers, c’est-à-dire près de 1600 [1]. Deuxième petite chose qui met la puce à l’oreille, l’introduction, dans les cuisines françaises, d’ingrédients ou de plats typiquement japonais : les produits à base de soja et le fameux tofu, ou encore l’agar-agar (une algue gélifiante), le wasabi, etc… Dans les émissions culinaires, on vous explique désormais comment réaliser vos propres sushis et makis.
Vous évoquez l’aspect « santé » et diététique de cette cuisine. La concurrence se durcit sur le marché des sushis. Challenger des chaînes Sushi Shop et Planet Sushi, Eat Sushi lance un «drive» dans la banlieue de Bordeaux.
La concurrence s'intensifie dans la restauration rapide japonaise. Alors que le leader Sushi Shop conserve une longueur d'avance sur son rival, Planet Sushi, c'est au tour du challenger de monter au créneau. Eat Sushi, qui a réalisé l'an passé 28 millions d'euros de chiffre d'affaires, lance un nouveau concept, le Sushi Drive. Il espère répliquer le succès de ce canal de distribution en plein essor dans l'univers des sushis. «Nous avons l'espoir avec le Drive de passer n°2 en France d'ici trois à quatre ans», confie Mourad Benamer, cofondateur avec son frère en 2006 de Eat Sushi, qui veut démocratiser les sushis en France. Eat Sushi, qui a levé 3 millions d'euros et planche sur un second tour de table pour 2013, a lancé en décembre son premier Sushi Drive dans la banlieue de Bordeaux. Évolution des modes de consommation.
Sushi Art : Quand les sushis deviennent des oeuvres d’art. Le Sushi Art pourrait bientôt envahir les restaurants japonais français. En effet, cette nouvelle branche du Food Art connait un réel succès au Japon, grâce au chef tokyoïte Tama-Chan, à l’origine de cette nouveauté culinaire. Fini le simple bout de saumon enroulé dans sa pâte de riz, désormais, les sushis et makis deviennent artistiques : des dessins s’invitent au coeur même de leurs préparations pour un effet original, même un peu trop parfois… Célèbre tableau, fleur, foetus, cerveau ou encore mappemonde, pas facile d’avaler à tous les coups les créations les plus originales. En utilisant les mêmes ingrédients que pour les sushis et makis traditionnels mais en y rajoutant des colorants consommables, Tama-Chan a tout simplement bousculé le monde de la cuisine japonaise et notre vision de ces petites pièces dont on ne fait qu’une bouchée .
On avoue que toutes les créations ne sont pas forcément très appétissantes mais soulignons tout de même la prise de risque. Des esquimaux parfum spaghettis bolognaise — WTF Food. Quand les Japonais s’occupent de créer un nouveau parfum de glace, ça donne un esquimau aux éclats de sauce bolognaise complètement WTF ! Avec les beaux jours qui reviennent, l’heure des sorbets et des crèmes glacées approche tranquille. Du classique vanille-fraise aux goûts plus funky comme bonbon Schtroumpf, huile d’olive ou encore thé vert, il y en a pour tout le monde. Au Japon, c’est un tout autre niveau : la société Gari-Gari Kun s’apprête à lancer un nouveau parfum légèrement WTF. Après la glace en forme de spaghettis, voici l’esquimau au goût spaghetti bolonaise avec des éclats de sauce tomate à l’intérieur ! Vivement les parfums poisson pané et chou de Bruxelles. Le gâteau-goutte d'eau qui s'évapore en 30 min : le dessert du futur.
Tout droit sorti du Japon, le Misu Shingen Mochi est un gâteau futuriste un peu particulier : il est transparent comme de l’eau, et s’évapore si on ne le mange pas assez vite ! Le gâteau d’eau est translucide, rond comme une goutte, à la fois gélatineux et liquide. Fabriqué au Japon, c’est un gâteau de riz à la composition un peu particulière, qui pourrait s’évaporer au bout de trente minutes ! C’est efficace pour ceux et celles qui ont tendance à s’éterniser sur le dessert : le compte à rebours est lancé.
Les combinis, ces super supérettes - Carte postale du Japon. Vu du Japon, le débat français sur le travail le dimanche fait sourire… et rappelle aux Français-es qui vivent là-bas le luxe de pouvoir trouver à peu près n’importe quoi, n’importe quand. Outre les horaires généralement tardifs des magasins, on rencontre des supérettes absolument partout. Besoin de pain à 21h ? Il est 6h12 et vous n’avez plus de déodorant ? Les bonbons japonais surprenants, ou ma fascination du moment. Les bonbons japonais, c’est la grosse passion de Margaux dans la vie. Voici une sélection de ses préférés ! Au Japon on mange des feuilles mortes (et c'est normal)
La Ramen Pizza, la nouveauté fast-food décadente. La pizza ramen, une nouveauté fast-food tout droit venue du Japon ! Les pâtisseries japonaises mignonnes à l'effigie d'animaux du zoo. Le succès mondial de la cuisine japonaise enflamme la demande en riz pour saké. Le saké est principalement fait de riz et d’eau. On peut utiliser le riz que l’on mange d’ordinaire dans la cuisine mais pour la fabrication de saké de bonne qualité, on utilise des variétés spéciales de riz, cultivé dès le départ pour être brassé.
On appelle ces variétés « shuzô kôteki mai », qui se différencient des variétés de riz ordinaire. Les femmes japonaises et la cuisine. Au Japon, le début du XXe siècle a coïncidé avec l’émergence de maîtresses de maison à plein temps chargées, entre autres tâches, de nourrir leur famille. « Washoku », la cuisine japonaise au patrimoine culturel de l’humanité.